La Théocratie

contestées par certains souverains. Au nom de l’héritage romain, les empereurs germaniques refusent de voir leur prééminence remise en cause. Ce n’est qu’en 1176, avec la défaite de Frédéric Barberousse, que la papauté s’impose et formule l’idée d’une théocratie pontificale. Conclusion: Au Moyen-Age, la religion n’est pas un choix personnel mais une tradition. Au marges de la chrétienté, le christiannisme évolue militairement, la première croisade est lancé en 1095, elle est un echec mais marque un

conseillers venant de l’Eglise et ce dernier est très avantageux pour Clovis car les gallo-romains préfèrent une roi chrétien et non païens. Clovis sera même baptisé. Il y’a aussi Pépin le Bref qui bénéficie de l’aide de l’Eglise dans la création de la Théocratie qui est fond é sur le rite sacré ce qui veut dire que Dieu désigne un roi pour que sa justice est régné sur Terre par cette élu. Le centre est donc Dieu, et ce processus va mener au fait que le royaume accordera une plus grand importance à l’Eglise

effet secondaire, qui est distribuée par l'administration. Cette drogue empêche les habitants d'être malheureux. Elle agit sur un mode anxiolytique. • Sur le plan religieux, le régime est théocratique. Cela dit, les notions de religion et de théocratie y sont inexistantes et il en va de même pour toutes les autres notions associées à la religion, sauf l'hérésie, qui peut être punie de déportation, et le sacrilège. les personnages principaux de l’histoire sont Bernard marx ,c’est un

référence au charisme d'un homme et à la théocratie (gouvernement des hommes par Dieu) → la restauration de la Res Publica, de la romanité B) Le pouvoir impérial, ses fondements : théocratie et romanité. Les rouages du gouvernement : le palais, l'administration locale (les comtes). L'Europe est fondée sur une monarchie de base religieuse. C'est aussi une royauté qui réalise une théocratie, résultant d'un rite : le sacre du roi d'une part, la théocratie politique d'autre part. Le sacre, mené

plus fort et pour ça, ils ont le souhait de restaurer la puissance romaine. Pour atteindre ce but, ils entretiennent avec l'Eglise une collaboration étroite et cette collaboration est ci importante qu'elle veut engendrer une doctrine politique, la Théocratie. Les Carolingiens espèrent restaurer l'empire romain mais cette réforme demeure purement politique et ne parvient pas a transformer radicalement les choses sur le plan économique ou encore sur l'organisation sociale du royaume de sorte que les

formes de théocratie, nous avançons dans le vide, sans référent ni verticalité capables de nous rassembler et de nous faire « tenir ensemble ». Chacun d’entre nous devient maître de son destin et ses choix personnels ne sont plus dictés par l’obéissance à des règles de conduite consensuelles. L’individu se fonde lui-même et s’autoréférence. La modernité est ainsi marquée par ce que l’on nomme « l’individualisme social »… Pour ma part, je ne nourris aucune nostalgie à l’égard des théocraties religieuses

que se situe historiquement le roman vis-à-vis de l’épopée, de plus le roman apparaît comme le genre par excellence du relativisme des valeurs ainsi que le propose Milan Kundera et Etiemble. On pense à la fameuse citation : « Point de roman, théocratie. Théocratie, point de romans ». Le roman a bien illustré également, nous l’avons vu avec Sartre et Camus, le drame de l’homme moderne dont la solitude absolue peut entraîner une dramatique remise en cause des illusions qui nous font vivre. Néanmoins on

et prendre part à la vie politique pour rendre le pouvoir légitime, juste et égalitaire. Ensuite, Rousseau évoque la religion du citoyen, dite du droit divin civil. Ainsi, elle serait faite de dogmes, de rites, et peut être décrite comme une théocratie. Bien que la patrie soit objet d’adoration des citoyens, la religion est « fondée sur l’erreur », sur le « mensonge ». Elle détournerait les hommes, les rendant crédules et intolérants. Cet esprit du peuple adviendrait donc à un état de guerre

conduire les laïcs au salut. En retour, ceux-ci doivent les défendre et les nourrir (dîme : 1/10 des récoltes).     C)    Église et pouvoir temporel.   La papauté souhaite dominer et contrôler le pouvoir temporel des rois et des princes (« théocratie »pontificale : théorie d'une primauté du pouvoir pontifical sur les gouvernements civils). Le  pape, successeur de l’apôtre Pierre, 1er évêque de Rome, se perçoit comme le seul chef de l’Église, suite au déclin des patriarches de Jérusalem, Antioche

Jusqu'en 1453, c'est un Empire chrétien orthodoxe. (L' Empereur Byzantin s'appelait Basileus.) Rappel : Empereur couronné par le patriarche de Constantinople dans l'église Sainte Sophie. Il est le représentant de Dieu Terre donc c'est une théocratie ( gouvernement où l'autorité, considérée comme émanant de Dieu, est exercée par ses ministres. La rupture officielle avec la papoté remonte (1054) à la séparation des catholiques et des orthodoxes. A partir de 1054, les orthodoxes ne reconnaissent