La Théorie De Socrate

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(élève de Socrate) Premier philosophe qui va produire un discours dans des formes qui vont se perpétuer jusqu'à aujourd'hui. Il n'empêche que Bertrand Rusell (philosophe anglais) dit "l'Histoire de la philosophie n'est qu'un commentaire de Platon". Platon et le caractère matriciel de son œuvre. Dans chacune de ses œuvres, des mythes. Le mythe de Prométhée dans le Protagoras. Le mythe d'Er dans le dialogue de Phèdre. "Savoir c'est se ressouvenir" théorie de la réminiscence, théorie de la transmigration

sur la "rectitude naturelle des noms". Il affirme que les mots sont justes lorsqu'ils ressemblent à ce qu'ils désignent. Le lien serait donc naturel. Cependant, la fin du dialogue entre Cratyl et Socrate affirme l'impasse d'une telle théorie et cela malgré la séduction qu'elle exerce y compris sur Socrate. Ferdinand De Saussure, fondateur de la linguistique, définit le langage ainsi dans le Cours de Linguistique générale écrit par ses étudiants : le langage est un système de signes qui unit par convention

Suis-je ce que je crois être ? Intro : Depuis l’antiquité les philosophes s’interrogent sur l’être. En effet Socrate répétait que le début de la sagesse consistait à une petite phrase qui se trouvait au-dessus du temple de Delphes : « Connais-toi toi-même. ». On doit donc se pencher sur ce que l’on croit être et ainsi faire le point sur notre existence ou notre essence même. Plus tard Descartes s’interroge sur la notion de sujet et je demande comment se définir et ainsi passer du doute à la certitude

extrêmement réduite, celle d’une théorie taxinomique très rigoureuse, mais somme toute relativement superficielle et inoffensive, et sans grand intérêt, hormis pour quelque nostalgique de la classification et de l’examen des tropes. D’autre part, au contraire, on retrouve le discours comme activité au cœur même de l’intersubjectivité, dans un rôle social et politique loin d’être négligeable. On peut donc noter que dans un cas la rhétorique relève de l’écrit et de la pure théorie, et dans l’autre cas qu’il

I – L'avènement de la raison : un « miracle grec » a – Etonnement face au monde et naissance de la rationalité philosophique « S'étonner, la philosophie n'a pas d'autre origine » déclare Socrate dans le Théétète ( dialogue de Platon qui s'interroge sur ce qu'est la science ). Il est d’ailleurs intéressant de noter que cette réflexion socratique sur l'origine philosophique prend sa place dans la science. En effet l'esprit philosophique a ceci de commun avec l'esprit scientifique que tous deux

qu’elle est. Par conséquent, il semble que pour tenir pour vrai, en d’autres termes donner son assentiment sans réserves, détenir une preuve que ce fait est vrai est nécessaire. La science est le domaine par excellence de la preuve, où la vérité d’une théorie repose sur le fait que l’expérience confirme ses prédictions. Dans ce cas, seul ce qui est appuyé par une expérimentation ou un témoignage est considéré comme vrai, puisque la preuve écarte toute possibilité de doute quant à la véracité d’un discours

tout le corps est raidi. Le croyant est comme le lierre sur l'arbre. Penser, c'est tout fait autre chose. On pourrait dire : penser, c'est inventer sans croire. » affirme Alain. Ainsi le philosophe affirme que la croyance est le fait d’adhérer à une théorie sans examen. La pensée elle, œuvre dans la science, construit un raisonnement avant de parvenir à un résultat que l’on vérifie par une démonstration. Alors que dans la croyance, qu’elle soit religieuse, politique ou encore la foi que l’on place en

écrit Le Banquet, a pour philosophie le rationalisme et l’idéalisme, qui sont des philosophies en quête de la vérité, ces formes de philosophie sont bien connues. Selon Platon, la vérité est accessible à tous, c’est ce qu’il tente d’expliquer dans sa théorie des idées, par le processus de réduction progressive des erreurs, ce qui entraîne une définition universel du sujet en question, dans ce cas l’amour. Le rationalisme que soutien aussi Platon est une philosophie basée sur la raison et sur des principes

défendables. En tant qu’instrument elle sert aux plus belles tâches comme aux plus basses besognes. Les fascismes, les tyrannies, les régimes autoritaires, les colonialismes se sont développés avec des raisons, des arguments, des démonstrations, des théories, de la dialectique, de la science aussi. Hitler, Staline, Mao, Pétain, tous ont eu recours à la raison pour fasciner des peuples et les conduire du côté où triomphe la pulsion de mort, la haine de l’autre, l’intolérance et le fanatisme destructeur