La Théorie Des Risques

WEEK 6 1ERE PARTIE: LA THEORIE DES RISQUES Lorsque dans un contrat synallagmatique, l’une des parties est empêchée d’exécuter par la force majeure, l’autre partie est-elle ou non tenue d’exécuter sa propre obligation ? La théorie des risques permet de répondre à cette question. Ainsi, on emploie la théorie des risques en droit des obligations lorsque le débiteur d'une obligation se voit dans l'impossibilité de l'exécuter à la suite d’une force majeure. Cette théorie prévoit deux situations :

1,0283 puisque 1,0283 x 106 = 109). Le taux de change PPA (ou théorique) est celui qui ne donne aux différents pays aucun avantage d'origine monétaire en ce sens que chaque monnaie est censée fournir le même pouvoir d'achat dans tous les pays (la théorie de la PPA repose sur la loi du prix unique selon laquelle des biens identiques sont censés se vendre au seul et même prix partout). Ce taux de change PPA (1,0283) est différent du taux de change nominal qui est le taux de change courant (1,05), donc

exposé porte sur la théorie des coûts de transactions, qui s’est construite en plusieurs temps et qui repose dans ses développements actuels, sur certaines hypothèses différentes de celles de l’analyse néoclassique ,qui stipule que les entreprises ne sont pas un objets d’intérêt et que seul le marché existe, ce dernier étant considéré comme un system de prix donnant des signaux nécessaires aux entreprises pour ajuster leurs niveau de production . La théorie des coûts de transaction

éthique d’entreprise n’est pas nouvelle. Depuis l’Antiquité, les activités économiques se sont toujours exercées dans des rapports de tension avec les sociétés humaines. Une tension qui s’exerce entre la nécessité de produire et la supportabilité des risques occasionnels par la production de biens. Par exemple dans le code Hammourabi5 on trouve que les esclaves devrait être protégés par des fortes, en Moyen Age on parle déjà d’une vision à très long terme, de l’équilibre agro-sylvo-pastoral dans les grands

qui aboutit à la formation du tx de change. (foreign, exchange, forex) Le taux de change : prix relatif d’une monnaie par rapport à une autre= cours (on parle de parité d’une monnaie). L’arbitrage :op qui assure un profit strictement positif sans risques -Les arbitrages en fonction du taux de change : Les déterminants des agents éco= la compétitivité, l’élasticité prix/demande et le taux de change (les consommateurs vont choisir des pdt importé si le tx de change de leur pays est élevé ; les entreprises

Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Théories des bulles spéculatives Exposé présenté par : Aliou Diarra Emir Hamdi Ibrahim Mchezani Dominique Ramamonjisoa Table des matières : Introduction générale Partie I : bulles spéculatives et rationalité des comportements et d’anticipations A- Définition et cadre théorique B- Bulles rationnelles de première génération C- Bulles de seconde génération D- Conditions d’existences Partie II : les bulles comportementales A- La présence

court aucun risque. Leurs théories de l’investissement reposent sur la liberté individuelle d’investir ou de ne pas investir. Cette liberté de la figure de l’investisseur est garantie par l’existence d’un taux d’intérêt sans risque, payé à qui prête à l’Etat. L’hypothèse d’un tel taux est pourtant assez difficile à admettre. ll faut avoir la mémoire courte pour imaginer qu’un Etat ne fait jamais défaut. Il s’agit ici de savoir si le taux d’intérêt sans risque est toujours « sans risque » actuellement

délictuelle et quasi delictuelle : l'idée de faute, on est fautif, on doit payer. Responsabilité subjective responsabilité sans faute = responsabilité objective : Théorie du risque. Par ex : responsabilité des companies aériennes (même si leur faute n'est pas prouvée) lors lors d'accidents d'avion théorie de la faute sociale théorie de la garantie Les conditions de la responsabilité délictuelle ou quasi délictuelle (QCM) un dommage, « la casse » (condition essentielle) un lien de causalité

référentiels » et, par conséquent, sujette à des critiques portant sur le caractère plus ou moins ambigu de celle-ci, que la réflexion stratégique puisse faire évoluer plus favorablement les entreprises « conscientes » de leurs possibilités ainsi que des risques encourus, soumises à nombre de difficultés dont celles résultant de la mondialisation. 1. L’évolution de la pensée stratégique La pensée stratégique trouve son origine dans la nuit des temps, et notamment dans le domaine militaire. Etymologiquement

………………………………………………………..…………..4 Première partie : Les caractéristiques d’un portefeuille : I. Rentabilité d’un portefeuille: 1) Rentabilité d’une action……………………………………………………….7 2) Rentabilité d’un portefeuille.8 II. Risque d’un portefeuille: 1) Définition du risque.8 2) Diversification.9 a) b) c) III. Risque d’un portefeuille. Portefeuille efficient. Le MEDAF. Performance d’un portefeuille: 1) L’indice de Jensen13 2) L’indice de Treynor13 3) L’indice de Sharpe13 4) Critique des mesures classiques de performances14