La Théorie Du Producteur

TP : Calculer des avantages absolus et relatifs Les théories de Smith et de Ricardo préconisent le libre échange. Selon eux, ce libre échange amène les pays à se spécialiser dans une production particulière. Pourquoi et à partir de quels critères cette spécialisation a-t-elle lieue ? ACTIVITE 1 : Calculer des avantages absolus ● Adam Smith, dans Recherche sur la nature et les causes de la richesse des Nations, a montré que deux pays en situation d’échange amélioraient leur situation productive par

: Les post keynésiens Section 4 : Les monétaristes Section 5 : Les « supplie spiders » Conclusions Section 1: Les néoclassiques La demarche neoclassique Les hypotheses de depart Les consommateurs Les producteurs L'équilibre economies Le role de d’état Difficultés avec la théorie néo-classique 1) la démarche néoclassique Continuité des méthodes entre le 19e et aujourd'hui. Principes de base : -Individualisme méthodologique -Marginalisme -Equilibre général concurrentiel

INTRODUCTION Les théories traditionnelles du commerce international telles que la théorie ricardienne des avantages comparatifs, la théorie pure du commerce international (loi des proportions de facteurs, théorème H-O-S…), fondées sur l’hypothèse de concurrence pure et parfaite se sont trouvées dans l’incapacité d’expliquer certains traits observables des échanges mondiaux. Tout d’abord, ces théories fondent l’explication des échanges internationaux sur la base de différences, soit de productivités

permet d’égaliser la quantité de produits demandés avec la quantité de produits offerts. Ainsi se fixent une quantité d’équilibre et un prix d’équilibre. L’autorégulation est omniprésente sur le marché : ce mécanisme est permis selon Adam Smith par la théorie de la main invisible que nous allons étudier plus en détails au fil de notre analyse. La « régulation économique » permet d’évoquer tout ce qui ramène à une stabilité dans un système. Cette régulation permet aux pouvoirs publics d’encadrer les marchés

La théorie de l’équilibre général de Walras A- Le cadre d’analyse : la concurrence pure et parfaite et une économie d’échanges Dans une économie de concurrence parfaite, les échanges qui se déroulent sur chaque marché (celui des biens et services et celui de chacun des facteurs de production) se déterminent grâce à la fixation de prix d’équilibre tels qu’il ne soit pas possible d’imaginer une situation meilleure pour un quelconque agent économique, producteur ou consommateur sans détériorer

2 Le problème de l’allocation des ressources . . . 1.2.1 Les différents types de ressources . . . . 1.2.2 Choix et coûts d’opportunité individuels 1.2.3 Choix et coûts d’opportunité collectifs. . 1.2.4 Frontière des possibilités de production 2 La théorie néoclassique du consommateur 2.1 La contrainte budgétaire . . . . . . . . . . . 2.2 Les préférences du consommateur. . . . . . 2.3 La fonction d’utilité . . . . . . . . . . . . . 2.4 Fonctions de demande individuelles . . . . . 2.5 Conclusion . .

transformé en marchandises alors que ces choses ne l’étaient pas et qu’elles n’étaient pas faite pour. On fabrique donc marchandises fictives qui sont au nombre de 3 : travail, terre, monnaie (facteurs de productions tels qu’ils sont envisagés dans la théorie Libérale). Ces trois choses ne peuvent donc pas être de vraies marchandises car elles ne sont pas produites pour être vendues. Par exemple, l’être humain n’est pas conçu pour vendre sa force de travail. De plus, la monnaie ne se résume pas à l’échange

marchés sont interdépendants et sont régis par des individus indépendant entre eux, de sorte que le mécanisme entraine un équilibre. C'est-à-dire que pour eux le marché s’autorégule. Alors que pour Keynes le marché fait partit d’un circuit où les producteurs, les consommateurs, les investisseurs, interagissent entre eux de sorte que le marché est tributaire de ces interactions. Dans son analyse des marchés, Keynes contrairement aux classiques, n’exclut pas la possibilité d’une crise généralisée.

LA NOUVELLE THÉORIE DU CONSOMMATEUR Traditionnellement, l'analyse économique traite le consommateur comme un agent final. C'est un individu qui gagne un certain revenu, est doté d'un certain nombre de besoins ou de désirs qu'il essaie de satisfaire en achetant sur le marché un certain nombre de biens et de services, dans la limite du pouvoir d'achat qui est le sien. Bien que, conformément au postulat de départ de toute la théorie économique, ce soit un être rationnel, calculateur et maximisateur

notamment celles qui ont des coûts fixes importants, réalisent aussi des rendements croissants. - Dans certaines activités, il existe des contraintes naturelles ou technologiques qui limitent le nombre de producteurs. Lorsque la production requiert l’utilisation de ressources rares, le nombre de producteurs est limité (De Beers contrôle environ 80% de la production de diamants). Il s’agit des ressources naturelles (eaux minérales, gisement minier, industrie du pétrole…) qui sont contraintes par la découverte