La Théorie Du Producteur

Le dilemme du prisonnier est un exemple célèbre de la théorie des jeux. Dans ce jeu, comme dans bien d'autres, il est fait l'hypothèse que chaque joueur ici appelé « prisonnier » essaye de maximiser ses bénéfices sans tenter d'en faire autant avec ceux de l'autre joueur. PrincipeLa forme habituelle de ce dilemme est celle de deux prisonniers (complices d'un délit) retenus dans des cellules séparées et qui ne peuvent communiquer. si un seul des deux avoue, celui-ci est certain d'obtenir une remise

des salaires sur l’évolution du marché du travail ? Dans un premier temps nous verrons la vision des néoclassiques sur le chômage et les salaires. Puis nous verrons qu'il existe des limites à la théorie néoclassique et que d'autres économistes ont tenté d'y répondre par le biais de différentes théories. I. Du point de vue classique, la réduction du chômage nécessite une baisse des salaires : 1. La diminution des salaires et embauche : Chez les néoclassiques, sur le marché du travail

Chapitre III Les théories des crises et des cycles Introduction : Explication de la crise ➢ Par les cycles : c-à-d la crise est un moment particulier du cycle ➢ Par des facteurs exogènes : facteurs externes du système exemple : crise de pétrole des années 70 ➢ Par des facteurs endogènes : facteurs internes, liés au système I – théories du cycle A/ Définition : Le cycle est l’oscillation du produit global autour de son trend, c’est un mouvement qui peut être conjoncturel

instrument de régulation privilégié pour les keynésiens et un déficit budgétaire n’est pas néfaste. Ce courant s’oppose à la théorie classique. En 2eme partie, on se demandera ce qu’apporte l’intervention de l’Etat et les limites. 1/La théorie de Keynes Keynes (1883 – 1946) est la source d’une importante évolution de la science économique. Son œuvre principale est : la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie. L’approche de Keynes prend en compte les mécanismes de la macro économie

pas toujours efficaces ? Selon les économistes libéraux, le marché serait capable de s’autoréguler, c'est-à-dire que des mécanismes sont mis en place pour que l’Etat n’ait pas à intervenir dans le marché. Même si ces mécanismes ne sont qu’une théorie, ils permettent de réguler le marché mais jusqu’à un certain point seulement. Le marché, le lieu fictif ou réel où se rencontre une offre, venant des entreprises, et une demande, venant des consommateurs, est le lieu d’échanges et de détermination

Léon Walras (1834 – 1910) Léon Walras (1834-1910) est un économiste français installé à Lausanne où il enseigna ; il est surtout connu pour sa théorie de l’équilibre général, qui consistue le cœur de la théorie néo-classique L’époque à laquelle vit Walras est une période de crise profonde en France. Il est né sous la monarchie de juillet, a vécut le second empire et la guerre entre la France et l’Allemagne. La défaite a entrainé la chute de Napoléon III et une dette française 5 milliards de

Cours d’économie internationale CHAPITRE 3 : Les politiques commerciales Introduction : Les principales recommandations de politique économique auxquelles conduisent les théories traditionnelles du commerce international sont celles du libre échange. On considère que l’exploitation des avantages comparatifs des pays et un commerce libre de toute entrave conduisent à l’amélioration du bien-être des populations et que les politiques nationales apportant des restrictions aux flux commerciaux

LA CONCURRENCE IMPARFAITE INTRODUCTION I) LE MONOPOLE II) LE DUOPOLE A) LE DUOPOLE SYMETRIQUE DE COURNOT B) LE DUOPOLE DE BERTRAND C) LE MODELE DE STACKELBERG III) L’OLIGOPOLE A) LE CARTEL B) COMPORTEMENT DE L’OLIGOPOLE ET THEORIE DES JEUX IV) LA CONCURRENCE MONOPOLITIQUE A) LA DIFFERENCIATION HORIZONTALE ET VERTICALE B) L’EQUILIBRE EN CONCURRENCE MONOPOLISTIQUE CONCLUSION INTRODUCTION L’étude des marchés en concurrence imparfaite suppose la maîtrise de la structure

ne doivent pas être soumises au jeu de la concurrence, et qu’il faut les sortir du marché pour les faire gérer par l’Etat. => Mais parce que pas perçu le sens profond de la concurrence. 1) monopole et concurrence, contrainte et liberté ? => La théorie de la concurrence pure et parfaite est au fondement de la politique de la concurrence. Mais approche erronée à son sens, car considère l’atomicité du marché. Et on voit le monopole comme l’opposé strict de la concurrence. Pour rester dans le sens

deux principes élémentaires d'analyse des prix, la détermination du prix dans l'échange (Walras), la détermination du prix dans la production (Ricardo), chacun souffrant inversement de l'unilatéralité de son propos. Encore faut-il préciser que la théorie des prix ne saurait se limiter à celle de leur détermination. L'étude du processus de formation de ces mêmes prix importe au plus haut point. Il convient au préalable de préciser la notion de formation des prix en la distinguant de celle de détermination