La Théorie Moderne Du Portefeuille Et Le Coefficient Bêta

par le marché durant ces dernières années, qui n’ont pas laissé indifférents les investisseurs tant locaux qu’étrangers. Il apparaît donc intéressant de comprendre comment le marché financier marocain se comporte face à la panoplie d'instruments modernes de gestion des actifs financiers notamment le MEDAF. Plus particulièrement nous nous intéresserons à l'applicabilité du CAPM (Capital Asset Pricing Model) aux actions cotées sur ce marché. Ce travail sera présenté essentiellement en deux volets :

DEUXIÈME PARTIE : LES PORTEFEUILLES .................................................................................. 18 CHAQUE TITRE COMPORTE UN RISQUE QUE L'ON PEUT DECOMPOSER EN DEUX CATEGORIES: LE RISQUE SPECIFIQUE DE CHAQUE TITRE, ET LE RISQUE SYSTEMATIQUE, LIE AUX MOUVEMENTS DU MARCHE.................. 18 LORSQUE L'ON CONSTITUE UN PORTEFEUILLE DE TITRES, ON ACHETE DANS DIFFERENTES PROPORTIONS PLUSIEURS TITRES. L'UN DES GRANDS PRINCIPES DE LA CONSTITUTION DE PORTEFEUILLES REPOSE SUR UN ADAGE

performance des fonds de placement sur le marché suisse Par Serge ZANCANELLA INTRODUCTION ‘ objet de ce travail est double : d’ une part nous allons étudier les différentes contributions théoriques et empiriques relatives à la gestion de portefeuille et au phénomène des fonds de placement. D’ autre part nous aborderons la question avec la perspective de l’ investisseur, en se demandant s’ est intéressant, pour ce dernier, d’ il acheter des parts de fonds de placement. La réponse à cette principale

Analyse du BETA 1. Présentation du MEDAF (CAPM)Le MEDAF (modèle d’évaluation des actifs financiers) ou CAPM (Capital Assset Pricing Model) en anglais est un système permettant d’avoir une estimation du taux de rentabilité d’un actif financier sur le marché, en prenant en compte le risque systématique de cet actif. Le terme a été créé par John Lintner et William Sharpe en 1964, dans le prolongement des travaux de Harry Markowitz sur la diversification et la théorie moderne du portefeuille

dividendes prive l’entreprise de certains moyens de financement internes et de ce fait influe, en théorie, sur la valeur de l’entreprise. De plus, la politique de distribution des dividendes a fait l’objet de plusieurs études, ainsi que d’une importante littérature, qui ont conduit à l’apparition de plusieurs théories. Théories qui doivent être -2- Mémoire de fin d’études Politique

MEMOIRE POUR L’OBTENTION DE LICENCE EN SCIENCES ECONOMIQUES ET GESTION OPTION : FINANCE-COMPTABILITE Titre THEORIE DE LA GESTION DE PORTEFEUILLE Préparé par : NAIT DOUCH Abdelkrim Sous la direction de : Année universitaire 2008-2009 Remerciements C’est avec un grand honneur que je souhaite exprimer ma gratitude et mon respect à mon encadrant Mr MHIN Larbi pour ses précieuses directions et son dévouement, mes remerciements

entre le rendement des firmes et la gouvernance, lorsque les firmes sont groupées et classées en portefeuille selon la sensibilité au risque de marché et à la grandeur de la firme. Par contre, il n’est pas clair que le modèle de gouvernance puisse mieux tarifer les actifs canadiens que le modèle de Fama-French, car les résultats dépendent de la manière avec laquelle nous groupons les titres en portefeuille. Ce mémoire permet de valider l’importance des liens entre la gouvernance et la performance de

compléter au fur et à mesure de ses lectures, en cas de rencontre d'un nouveau terme inconnu ou d'une notion à préciser mise à jour 05/01/2005 Patrice VIAL LEXIQUE relatif à quelques concepts rencontrés en économie page 1 Concept ou théorie Initiateur ou école Signification A accélérateur (effet d') Aftalion constat selon lequel l'investissement amplifie arithmétiquement les évolutions de la conjoncture économique. Si la croissance d'une année sur l'autre est la même, il faut

|18 | | 2- La notion de l’actif net  |18 | |La valorisation du portefeuille titres  |18 | | b) Les revenus bruts distribuables  |19

marché est dû à des phénomènes « globaux» du marché financier, toutes les actions y sont soumises. IL est mesurer par le coefficient bêta qui mesure la sensibilité de la rentabilité d'une action aux fluctuations du marché. Le risque spécifique est dû à des caractéristiques propres à chaque société. Seul le risque spécifique peut être éliminé en diversifiant les titres du portefeuille. Le marché ne rémunère que le risque systématique, étant le seul à ne pouvoir être éliminé par diversification.