La Titrisation Liquidité Bancaire

Les prémices de la crise remontent au début des années 2000 Politique agressive du crédit aux Etats-Unis et contournement des règles prudentielles par les banques ont aggravé la crise de l’immobilier pour la rendre générale La titrisation a propagé la crise à travers le monde. Le Maroc ne sera pas épargné, des points de croissance en moins dès 2009. «Le monde va changer après cette crise financière internationale». C’est ce qu’affirment nombre d’économistes, au Maroc comme à l’international

Université A.MIRA-BEJAIA Faculté des Sciences Economiques, Commerciales et des Sciences de Gestion Département des Sciences Economiques Cours du Module Economie bancaire approfondie Destiné aux étudiants de la première année Master EMB Dr. LALALI Rachid Année Universitaire : 2020/2021 Chapitre introductif Modes de financement de l’économie 1. Situation financière des agents économiques 2. Les modes de financement de l’économie 1. Situation financière des agents économiques

crédit est un risque critique car le défaut d'un petit nombre de clients importants peut suffir à mettre en grave difficulté un établissement (cf. crise actuelle). 1.1.3. Le risque-pays :  Compte tenu de l’internationalisation des opérations bancaires, une composante importante du risque de crédit est le risque-pays. Il manifeste l’insolvabilité de l’emprunteur en raison de sa situation géo. C’est parce que son activité s’exerce dans un pays donné que le débiteur ne peut rembourser son crédit

crédit est un risque critique car le défaut d'un petit nombre de clients importants peut suffir à mettre en grave difficulté un établissement (cf. crise actuelle). 1.1.3. Le risque-pays :  Compte tenu de l’internationalisation des opérations bancaires, une composante importante du risque de crédit est le risque-pays.  Il manifeste l’insolvabilité de l’emprunteur en raison de sa situation géo. C’est parce que son activité s’exerce dans un pays donné que le débiteur ne peut rembourser son crédit

l’application, reste acceptable pour les petits épargnants que nous sommes cependant il y a un mais ! En effet, les garanties de placement dont le gouvernement se fait l’écho, le fonds de garantie des dépôts, permet en cas de défaillance d’un établissement bancaire de couvrir les placements des épargnants à hauteur de 70 000 €. Ce fonds de garanties est valorisé à seulement 1,79 milliards d’€ à fin 2007 (« une goutte d’eau à éteindre en cas d’incendie »). Ce fonds ne pourrait rembourser que 25 600 clients au

à qui ils confient leur argent, le risque de perdre leur placement s'il n'est pas remboursé et la durée d'immobilisation de leur capital. La mission de la finance est de résoudre ces trois problèmes, respectivement d'information, de risque et de liquidité. Plusieurs solutions sont envisageables. Le financement de l'économie peut passer par l'intermédiaire d'institutions spécialisées, les banques, qui prennent le risque à la place de l'apporteur de capitaux. Leur grande taille leur permet de jouer

C’est l’ancêtre du chèque bancaire. Avec la lettre de change on va voir apparaître des systèmes de compensations entre banques. Les banquiers vont s’organiser pour centraliser et évaluer les qualités des lettres de changes. Au 18ème siècle, il y a aussi la pratique de l’escompte : la banque accepte une traite contre des pièces ou des billets. C’est donc une forme de crédit car la banque avance de l’argent à celui qui a une traite. Les banques vont donc avoir besoin de liquidité. Les banques vont alors

s’adapter aux nouvelles contraintes, le système bancaire a connu de nombreuses mutations qui consiste en un ensemble d’innovation en ce qui concerne l’apparition de nouveaux produits, de nouvelles pratiques et procédés qui s’échangent sur des marchés parfois non régulés. Toute fois la crise financière actuelle a montrer encore une fois la sensibilité du système bancaire mondial. Comment les mutations du système financier a remit en cause le système bancaire ? L'objectif de cette partie est d'apporter

La crise financière mondiale Faillites bancaires, des milliards de dollars envolés, une croissance mondiale en berne, des gouvernements impuissants. Le capitalisme financier est en crise. Toute chose qui a poussé Nicolas Sarkozy à expliquer à la population que c'était "la fin d'un monde", sans esquisser des pistes de sortie de crise. Chaque jour, les médias alignent en boucle les chiffres de la crise, les chutes des valeurs boursières, les pertes colossales de certaines banques, sans nécessairement

cause des crises financières et non pas une solution : les forces du marché sont une solution. En effet, l'étude des crises financières était historiquement un domaine important dans les sciences économiques. Or, avec la disparition des crises bancaires dans la période d'après-guerre, l'intérêt pour elles s'est de moins en moins réduit, d'autant plus que les historiens s'en sont de plus en plus accaparés. Maintenant que les crises1 sont réapparues avec des conséquences plus ou moins ravageuses,