La Titrisation Liquidité Bancaire

etc) implique un accroissement durable des prix-shadow et une baisse des coû de ts développement de nouveaux produits pour stimuler l’innovation. Une étude empirique de Silber et Ben-Horim montre que ce modè rend compte de toutes les innovations bancaires de le 52-70 et de 60% des innovations financiè sur la pé res riode 70-82. Contrainte de la dialectique ré glementaire La dialectique renvoie au processus lancépar la tension entre deux forces opposé Chez es. Hegel la synthè permet de ré se soudre

ECONOMIE : La crise : On peut divisez l’explication en trois temps : - crise des subprimes - crise financière et bancaire - crise au niveau économique I/ Crise des subprimes : Dès mars 2007 ( le phénomène va se révéler pleinement en septembre 2007. A. le marché hypothécaire américain et le phénomène de la titrisation : Tout d’abord on va voir ce qu’est un marché hypothécaire : quand on fait un emprunt immobilier prend une sureté (un gage ( la maison elle même) si

financières et augmentation des risques Les innovations financières comme la titrisation ont entraîné une augmentation des risques financiers. Doc 3 : La titrisation ou comment les banques transfèrent les risques de crédits aux marchés ➢ Définition  La titrisation permet à un établissement financier de transformer n’importe quels types de créances (crédit bancaire, crédit à la consommation, au crédit immobilier …) en titres négociables* sur des marchés

financier………………...……………………………………………....18 1- Etude de l’équilibre financier (BF, TR, FR)…..……… 18 2- La rotation du BF………………………………………….19 Section 3. Analyse par ratios………………………………………….21 1- Ratio d’endettement……………………………………… 21 2- Indicateur de liquidité…………………………………… 23 Section 4. Diagnostic et solutions…………………………………… 25 1- Diagnostic………………………………………. ………. 25 2- Solutions de recouvrement des créances …………….. 26 Conclusion………………………………………………………………….29 Bibliographie……………………………………………………………….

CHAPITRE 2 LE PASSAGE DE LA CRISE FINANCIÈRE 11 À LA CRISE ÉCONOMIQUE 11 16 22 L’impact macroéconomique des crises bancaires Les canaux de transmission de la crise à l’économie réelle Une crise mondiale d’une ampleur exceptionnelle Partie 2 la gestion publique de la crise CHAPITRE 3 41 L’ACTION DES BANQUES CENTRALES 41 Qu’est-il arrivé à la liquidité ? Le point de vue d’un banquier central L’évolution des politiques monétaires 43 BANQUE DE FRANCE • DOCUMENTS ET DÉBATS

même séparées. C’est une spirale infernale, les clients ne peuvent plus rembourser les banques, et elles-mêmes commencent à avoir des difficultés. Le 15 septembre 2008 est une date importante, plus aucune banques ne prêtent de l’argent, le système bancaire se fige. La confiance dans le marché financier est ruinée, les prêts vont donc être de plus en plus rarement acceptés aux ménages. Le Royaume-Uni est aussi un pays très touché. Le niveau d’endettement des britanniques est 30% plus élevé que les américains

Concurrence dans la sphère bancaire et financière : 1-Sphère bancaire et Sphère financière 2-Concurrence a- stratégies suivies par les banques b- Avantages c- Inconvénients d- Exemple: Attijari wafa bank/bank chaâbi II. Risques systémiques 1-Risque de marché 2-Autres risques a) Risque de crédit b) Risque de liquidité c) Risque

le 16 décembre 2010 sont des propositions de réglementation bancaire[1],[2]. La réforme Bâle III fait partie des initiatives prises pour renforcer le système financier à la suite de la crise financière de 2007 (crise « des subprimes »), sous l'impulsion du FSB (Financial Stability Board) et du G20. Elle part du constat que la sévérité de la crise s'explique en grande partie par la croissance excessive des bilans et hors bilan bancaires (via, par exemple, les produits dérivés), tandis que dans le

Les ménages s’endettent pour continuer à consommer. * Contexte d’innovation financière va entrainer la création des crédits subprimes pour que certains ménages n’ayant pas les moyens puissent accéder à l’immobilier et la titrisation des créances (mécanismes de titrisation). * L’économie américaine est donc tirée par l’endettement des ménages et de l’Etat. 3. PM active ------------------------------------------------- La politique monétaire suit la doctrine Greenspan qui consiste à

pour les prêts à très court terme (quelques jours). Les intérêts sur l’emprunt sont déduits du versement initial et non pas rajoutés au remboursement de l’emprunt comme dans les prêts classiques). Dans cette phase, les négociants recourent au crédit bancaire pour acheter plus aux producteurs ce qui augmente le revenu des consommateurs. Il en résulte un processus cumulatif alimenté par l’expansion du crédit. Cependant les prix augmentent lorsque les limites dans les capacités de production sont atteintes