La Torture Morale Du Condamné

à parler ou à agir. * devoir : 1) Obligation morale, opposée à obligation juridique; le devoir est une obligation interne au sujet, l'obligation juridique une obligation externe (une contrainte). 2) Le problème sous-jacent consistant à trouver le fondement de cette obligation, Kant fera du devoir un absolu: "Le devoir est la nécessité d'accomplir l'action par pur respect pour la loi." 3) Un devoir: tout ce qui correspond à une obligation morale. * mémoire : 1. Faculté de se souvenir ; ensemble

Le dernier jour d’un condamnéLe narrateur est le condamné lui-même (on ne connait pas son identité) (Rq : Il nous ferra la description de tous les lieux où il va). Il raconte son quotidien en prison ainsi que son procès (d’ailleurs son avocat pensait qu’il n’aurait eu « que » les travaux forcés à perpétuité car son crime n’avait pas été préméditer) et ses pensées. Il nous décrit sa cellule ainsi que ses discussions avec les autres détenus. Il nous parle également de sa famille, il nous explique qu’il

Les combats des philosophes ont été utiles. Ils ont conduit d'une part à l'abolition de la torture et de l'esclavage et d'autre part ont influencé la révolution française. Même si cette dernière fut un épisode de chaos pendant lequel ont été commises des dizaines de milliers d'exécutions arbitraires et de crimes, elle a mis fin à l'absolutisme et permis, à terme, une plus grande équité dans la société française. Les philosophes des Lumières sont donc en partie à l'origine de la devise actuelle de

à mort et brisent son espoir. Tout redevient noir et triste à ses yeux. Résumé chapitre III Retour au monologue interne : Le narrateur se livre à une réflexion sur le bien-fondé de sa condamnation à mort. Il estime que les humains sont tous des condamnés à mort. Ce qui diffère c’est la manière et le temps. Résumé chapitre IVRetour au récit de l’incarcération à Bicêtre : L’arrivée à Bicêtre. En attendant son pourvoi (=recours auprès d'une juridiction supérieure contre la décision d'un tribunal) en

renforcés par la CEDH, pour preuve l'abolition de la peine de mort qui a été promulguée le 9 octobre 1981, et adoptée par la CEDH le 28 avril 1983 dans l'article 1 du protocole n°6 qui déclare sobrement : « La peine de mort est abolie. Nul ne peut être condamné à une telle peine ni exécuté. » De même, la CEDH est intervenu dans la liberté du mariage avec l'article 12, contribuant à son émancipation, ou encore dans le droit du respect à la vie privé garanti par l'article 8 qui a marqué une grosse avancée

organisations, institutions, syndicat, unions international, régional et national dans le domaine des droits de l’Homme. B. L’Association Marocaine des Droits de l’Homme (AMDH) En 1977, soixante-dix militants de la gauche marocaine avaient été condamnés à des peines allant d'un an à la perpétuité. La décision de créer une nouvelle association des droits de l’Homme est en relation directe avec les vagues d’arrestations et de procès qualifiés de massifs. C’est dans ce contexte, que l'USFP, né de la

Selon ce principe, un juge ne peut pas étendre un texte à des situations qui ne sont pas couvertes par celui-ci. S’il le faisait, le juge parviendrait à condamner sans texte : violation du principe de la légalité. Ce principe a souvent été bafoué par la jurisprudence. 2e observation : l’infraction comporte un élément matériel et un élément moral. L’élément matériel  consiste en la description du comportement interdit. Il manifeste l’activité extérieur du délinquant. Cet élément matériel va parfois

au procès. Le Procureur est dépendant du juge puisqu’il dispose de mettre la justice en mouvement. Distinction entre 2 procédures : Procédure ordinaire Pour les infraction légères : libre défense + pas de torture … Procédure extraordinaire Concerne les crimes : la torture est un procédé normal l’instruction est secrète : production d’écrits et les juges ne peuvent se prononcer que sur les pièces écrites la défense n’intervient qu’à la phase de jugement. système de preuve légale :

fonctionne selon sa propre loi et tout monde ne possède pas les mêmes lois morales, les mêmes limites. Le meilleur exemple de nos jours est le Burundi, un pays soi-disant possédant des lois mais des milliers de massacres depuis de nombreuses années restent impunis : des tortures, des massacres, des disparitions, … On a même tué l’armée du premier président (paradoxalement) démocratiquement élu Melchior Ndadaye mais personne n’a été condamné en justice. Dans ce cas peut-on vraiment faire ce que l’on veut ?

normalement, mais qui en situation particulière peut basculer dans la criminalité. - Le criminel d’occasion : peut se laisser convaincre. Il y a donc, une typologie des criminels avec des excès, mais elle marque l’époque. La peine perd sa dimension morale, il n’est pas puni parce qu’il a mal agis, mais car ses agissements sont nuisibles à la société. Pour les criminels incurables, on pratique des mesures éliminatrices (la peine de mort, on l’envoi dans des colonies). Quant aux délinquants dangereux