La Tradition Scolastique

surtout cette période coïncide avec le règne de ce qu’il est convenu d’appeler la philosophie scolastique (mélange entre l’aristotélisme et du thomisme).La scolastique était une philosophie qui ne laissait aucune place au libre examen et elle était considérée comme philosophie officielle de l’époque. B/Chez Descartes Pour la tradition philosophique c’est Descartes qui a libéré la raison de l’empire de la foi, qui l’a rétablie dans

maintenait la paix parmi ses peuples et a faire régner la justice, défendre les ordes du saint esprit et de saint louis. - - portée du sacre : le roi de France était ordonné comme un évêque. Le roi sacré était hors du commun, et conformément a la tradition romaine, le mot sacré en faisait un protegé de dieu. Le roi devenait alors une personne inviolable, qualité essentielle pour placer le chef de l’état au sommet d’un ordre. Le sacre moralise la fonction royagel, legitime les dynasties et protege

à la répression. L’intérêt, bénéficie à tous (main invisible de Smith), il possède les qualités de prévisibilité, constance et de douceur. Les contemporains des XVII et XVIIIème siècles sont-ils les scolastiques : Non, les scolastiques sont des universitaires ayant des idées issues de la tradition chrétienne apparaissant au 13 jusqu’au16 siècle les mercantilistes et les Physiocrates à ces périodes. Keynes  Contre système économique autorégulateur

Aristote et à Pline l'Ancien et était reconnu comme un idéal culturel. La connaissance de toutes les disciplines formaient le philosophe, idéal grec, et le parfait orateur, idéal romain. Dans l'Europe médiévale les monastères et les universités scolastiques se donnent pour mission de constituer une culture chrétienne. Le monde est considéré comme achevé mais imparfaitement connu par l'homme. Répertorier les choses qui l'environne permet à l'homme de mieux saisir son destin, ici se rejoignenet deux

l’excellence. Manichéisme de la Vision des Lumières. A/ Un temps de troubles politiques, moraux et religieux créant un climat non propice à l’émergence artistique B/ Le cas de la France. L’impossible émergence intellectuelle. (+ critique de la scolastique) Une France marquée par les vices du Moyen-Age/ enfermée dans une culture « marquée par le sceau de la barbarie ». C/. La nécessité d’un Etat législatif et institué : une volonté caractéristique de l’Esprit des Lumières. I/ Le renouveau des arts et

Constantinople (1453) a fait affluer en Italie érudits grecs et manuscrits anciens. - L’humanisme. L’enseignement des Universités est devenu une routine étroite et stérile. On enseigne aux jeunes selon la méthode d’autorité, la philosophie scolastique, la logique formelle et la rhétorique. On encombre leur mémoire sans développer vraiment leur intelligence ni surtout leur sens critique. On a besoin d’idées nouvelles et par conséquant on fait retour aux textes originaux. Pour celà on a besoin

portant principalement sur les problèmes humains fondamentaux, sur la société, sur le savoir, cela afin de mieux orienté l’action individuelle et collective [5]. Saint Thomas d’Aquin est considéré comme le grand maitre à penser de la philosophie scolastique caractérisée par l’union étroite de la Philosophie et de la Théologie. D’une manière particulière, il a subi l’influence d’Aristote dont la pensée a dominé le moyen-âge. Il a tenté de concilier la foi et la raison, d’adopter l’aristotélisme à la

préparer le texte ne s’imposent pas dans l’esprit d’une disquette scolastique mais bien plus constituent une invitation à la comparaison et à l’esprit critique. La réalité est un palimpseste. Hier, je vivais la dualité d’un feu créateur-destructeur. La volonté de faire table rase du passé encombrant pour recréer du neuf : Le feu de la révolte qui trouve l’une de ses ramifications dans la destruction : à bas la famille, à bas la tradition, à bas le consensus, à bas la tiédeur, à bas l’hypocrisie je veux

chrétienne révélée par les facultés de théologie. | |Les lettres humaines représenteront au XVI ° siècle un enseignement constitué des principales disciplines issues de la tradition | |médiévale, complété des études sur les textes antiques. Ce complément est appelé par les écrivains de cette époque instauratio, | |restauratio, restitutio banarum litteratum. D'autres l'appèlent reflorescentia, renascentia.

gosier). 8. Le narrateur décrit les habits de son héros, en insistant sur leurs dimensions improbables et sur les quantités astronomiques de matières premières requises pour leur conception. Ce genre de chapitres sont de parfaits exemples de la tradition de l’humour gigantesque.9. Le narrateur discute des couleurs que s’est vu attribuer Gargantua, le blanc et le bleu, censés représenter la joie pour l’un et le céleste pour l’autre. Il part dans des considérations qui rappellent, dans leur forme,