La Trahison Des Images

psychanalyste ainsi que directeur de Recherches (HDR) à l’Université Paris Ouest Nanterre. Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages personnels portant sur la façon dont les nouvelles technologies bouleversent notre rapport à nous même, aux autres, aux images, au temps, à l’espace et à la connaissance.    Ce livre aborde la relation que l’Homme entretient avec les nouvelles technologies et les répercussions qu’elles finissent par avoir sur notre propre personne ainsi que sur notre vie. Comment le virtuel

traduction. Si nous nous penchons un peu plus sur cet aspect là nous comprenons qu’en effet il est difficile de retranscrire la musicalité d’un poème d’une langue à une autre. Chaque langue à ses propres références historiques et culturelles, ces images et rimes, cela peut être complexe de rendre dans la langue d’arrivée exactement la même chose que dans la langue de départ. Encore une fois pour éviter que le traducteur se trompe sur le véritable sens du texte, il est donc trivial qu’il dépasse le

Raoul Hausmann 1886-1971 : Co-fondateur du groupe Dada-berlin en 1918, il invente le photomontage, collage de photographies. La reproduction proposée à gauche «Tatline vit à la maison» 1920 en est un bon exemple. Il est des premiers à utiliser des images toutes faites pour réaliser ses compositions. Marcel Duchamp 1887-1968 : A ses débuts, il fréquente des artistes cubistes et subit aussi l’influence de futuristes Italiens. Il s’écarte de la peinture , vers 1913-15, avec les premiers ready-made

entre les Muses avait paru en 2006 ; Poésie et illustration est aussi à situer dans ce domaine. Poésie et illustration : on pourrait mettre en doute, souligne Lise Sabourin, la validité même de la notion d’illustration d’une poésie : superfluité, trahison, redondance, facilité ? Il s’agit pourtant d’une pratique fréquente, durable, renouvelée au gré de l’évolution des techniques. Illustrer, c’est enluminer, donner de la lumière à une œuvre littéraire par le recours à d’autres arts, le plus souvent

infernal. Macbeth et Lady Macbeth sont les prototypes des personnages criminels qui ne reculent devant rien pour satisfaire leurs désirs sanguinaires. La guerre racontée au début ou montrée à la fin constitue une autre forme du mal physique. Les images violentes abondent surtout au début avec la mention des plaies béantes et de l’acier encore fumant «Méprisant la fortune, et son acier brandi, qui fumait d’une sanglante exécution (…) Tant qu’il ne l’eut pas décousu du nombril jusqu’ à la

aussi certaines références à l'enfance, comme la figure de la petite sœur (Tyler) ou celle de la fille de Connor, les jeux de Mia et Billy avec le caddie... Mia découvre petit à petit le monde des adultes, avec ses injustices, ses mensonges et ses trahisons. Une complicité assez forte va se créer entre elle et Connor, le nouvel amant de sa mère. Celui-ci semble remplacer la figure d'un père absent : jeu entre Tyler et lui, journée au lac, emprunt d'argent, de sa caméra, soins... C'est lui qui va apporter

déspiritualisation de la nature et du corps. Mais le problème est que l’âme construit un bouclier pour se protéger, puis elle se cache derrière. C'est un masque protecteur, l’apparence sociale qu’aime se donner l’âme, mais sa bonne présentation est aussi sa trahison. Il faut aller la chercher sous la croûte de cette écorce. Pire par derrière, la personne traîne son Ombre. L’Ombre chez Jung est la partie non-éclairée, la zone noire ; mais c’est aussi l’inconscient individuel et collectif, le coté noir et ténébreux

redéfinir l’enfant qu’elle a été en produisant un univers dans lequel le point de vue de l’enfant domine. - « Des images, des mots qui évidemment ne pouvaient pas se former à cet âge-là dans ta tête… - Bien sûr que non. Pas plus d’ailleurs qu’ils n’auraient pu se former dans la tête d’un adulte… C’était ressenti, comme toujours hors des mots, globalement… Mais ces mots et ces images sont ce qui permet de saisir tant bien que mal, de retenir ces sensations. » p. 15. - Pacte autobiographique :

Cette œuvre possède une ligne horizontale, on lit plus le tableau du bas vers le haut, en restant cependant plus longtemps focalisés sur la grosse partie centrale. La ligne horizontale donne une sensation de calme, de profondeur, parmi ce différentes images qui excitent et donnent une sensation d’euphorie, selon le peintre lui même. La ligne d’horizon est pour moi, la ligne qui délimite ce qu’on pourrait appeler des montagnes, dans l’arrière plan du tableau. Cette ligne est cependant brisée à un certain

yeux sans elles Je cours et je cris personne m'entend pourant javais des ailes Les choses ne sont pas aussi simples à la recherche de bonheur On ne tient pas ses promesses on se détruit on s'arrache le coeur Mélancolie... ...plane sur la trahison on se nourrit d'un fer dans la bouche le doigt sur la precussion Pourtant c'était l'été mais le froid te gifle sèchement Avaler sa salive fait si mal qu'on arrache ses vêtements On explose de joie Quand la douceur te touche mais l'avenir