La Trame Conjugale

univers. Pas de frontière , pourvoir illimité Bien que très flatteuse, l'emphase même du propos ( superlatif « le plus grand ») soulignera le paradoxe qu'il y a entre tant de grandeur et le dessein incestueux que va nourrir le roi et qui fournit sa trame au conte. V23 à 28 : « aimable en Paix, terrible en Guerre » : parallélisme dans la construction de l’ antithèse. Tout est excessif en ce roi curieusement lunatique. « ses voisins le craignaient, ses états étaient calmes » : L'alexandrin qui suit

Endormi par un puissant narcotique, Sigismond devenu jeune homme va lutter, se réveiller et prendre conscience de lui-même. Mais alors, que croire ? La réalité est-elle une fiction ou la fiction du sommeil est-elle la réalité ? À partir de cette trame, Calderon joue de l'aller-retour grisant entre rêve et réalité. Chef-d’œuvre de l'art baroque La vie est un songe a marqué par sa puissante originalité tout le siècle. Corneille s'en souviendra en écrivant L'Illusion comique. La vie est un songe demeure

d'un médiocre officier de santé, rêvant de luxe et d'amours impossibles. Pour tenter de satisfaire ses aspirations, elle prend des amants qui la déçoivent, s'endette et finit par se suicider. Cette extrait raconte qu’Emma, insatisfaite dans sa vie conjugale, rêve de se faire enlever par son amant Rodolphe. Allongée près de son mari, elle laisse libre cours à son imagination romanesque. « Emma ne dormait pas, elle faisait semblant d'être endormie ; et, tandis qu'il s'assoupissait à ses côtés, elle

Emma (rêve oriental, grâce aux tissus) mais un jour la facture arrive et Emma doit payer le prix fort. « J’ai tout lu », se dit-elle dans un moment de découragement. C’est à peine exagéré. Ces lectures ont commencé au couvent. L’ennui de la vie conjugale ne fera que les multiplier. Les romans lui ont donné l’idée qu’on se marie à minuit, aux flambeaux, puis que la vie est faite de voyages à Venise et de valses au bras d’un homme qu’on admire, un prince peut-être, comme dans les contes. Car, quand

(en tout cas ce n’est pas prouvé) Le poids du contexte Des conditions d’existence aux conditions de coexistence B-/ Complexité de la transmission de l’ordre ménager : Jean-Claude Kaufmann (Voir notes du cours du prof) 1. Texte Issu de « la trame conjugale » Les habitudes les objets Le capital de manières 1. des idées (ex. de Sabine) 2. Des techniques (ex. de Romain) 3. Des injonctions à agir (noyau stable et structurant)(Ex. D’isabelle) 4. Le rôle du contexte (de la situation) qui peut réactiver

Emma (rêve oriental, grâce aux tissus) mais un jour la facture arrive et Emma doit payer le prix fort. « J’ai tout lu », se dit-elle dans un moment de découragement. C’est à peine exagéré. Ces lectures ont commencé au couvent. L’ennui de la vie conjugale ne fera que les multiplier. Les romans lui ont donné l’idée qu’on se marie à minuit, aux flambeaux, puis que la vie est faite de voyages à Venise et de valses au bras d’un homme qu’on admire, un prince peut-être, comme dans les contes. Car, quand

souvent due à la domination de l’homme dans le couple. Néanmoins, Kaufmann et l’analyse du couple par son linge, démontre que cette domination est bien plus ambigüe que ce qu’on l’on croit, et peut bien nous surprendre : Dans son livre  « la trame conjugale », il nous apprend que le pouvoir dans un couple est mieux reparti qu'on pourrait le penser car les femmes ont une contrepartie de pouvoir : La domination, cette hiérarchie homme femme est donc plus ambiguë que ce que l'on pourrait penser et

joue dans « la sphère privée » : le genre entre anthropologie de la parenté, sociologie de la famille, sociologie de la sexualité. Bibliographie : Segalen Martine, Sociologie de la famille, Armand Colin. Kaufmann Jean-Claude, La trame conjugale. Analyse du couple par son linge, Nathan, Paris, 1992 Bozon Michel, Héran François, La formation du couple. Textes essentiels pour la sociologie de la famille, La Découverte, coll. "Grands Repères Classiques", mai 2006. Bozon Michel, Sociologie

amants, les bonnes et les bourgeoises prises en faute. En ce sens, la cour intérieure en tant que vide-ordure est en quelque sorte une métaphore des ménages bourgeois de l’immeuble. Une critique acerbe de la bourgeoisie Pot-bouille n’a pas de trame romanesque précise. Les chapitres constituent davantage les paliers d’une diatribe contre la bourgeoisie que les épisodes d’une intrigue véritable. Il s’agit pour l’auteur de montrer l’hypocrisie bourgeoise, et sa peur viscérale du scandale et de

donne à voir à travers les caprices de Marie-Antoinette, ce qui touche dans ce film, c’est l’écrasante solitude de la jeune dauphine. Seule enfermée dans un protocole rigide, gravissant de monumentaux escaliers ou délaissée par son époux dans le lit conjugal, ces quelques instants d’une intimité vécue sous le regard mesquin de la cour incarnent l’ingratitude de la condition de la future reine. Le rythme du scénario est très lent. Heureusement, le film est doté de plusieurs petites touches humoristiques