La Transgression Des Règles Au Theatre

CM. Dramaturgie contemporaineBecket, en attendant Godot-> débat interne sur comment articuler ce besoin et nécessité d’exprimer-> trilogie de Becket composée de 3 romans :- Molloy- Malone Meurt- L’InnominablePremière didascalie :- incipit, situation initiale- informations : sur l’action essayer de retirer sa chaussure- négations immédiates par Estragon- relation plutôt amicale entre Estragon et Vladimir- première didascalie : titre de tableau « Route à la campagne, avec arbre »-> imaginaire

Les notions de tragique et de tragédie ont connu une évolution au cours de l’histoire littéraire. Le genre tragique qui est né très probablement du théâtre athénien tragique n’a cessé d’évoluer tant au plan littéraire (de l’écriture) qu’au plan de la pratique (représentation). Ce genre littéraire doit mettre en scène des personnages illustres venus de l’histoire ou de la mythologie. Le mythe d’Œdipe est l’un des mythes les plus réécrits dans l’histoire de la littérature. Celui d’Antigone constitue

subalternes proches des malades) et compétence de droit (celle de titulaires de diplômes qui croient que leur parchemin vaut l’excellence). Cette illusion technocratique va de pair avec un certain loyalisme. Les centres de santé deviennent alors un théâtre de confrontation entre au moins deux logiques : si certains acteurs sont acquis à la cause de la ligne technocratique, d’autres au contraire considère que l’exercice de la santé publique est compatible à flexibilité et une socialisation qui doivent

lui-même et libérer les autres. L'ART: Tout comme la technique dont il n'est pas immédiatement séparé ni séparable, l'art est indissociable de l'humanité. Pourtant l'art n'est jamais soumis ni aux techniques ni aux règles: le chef-d'oeuvre témoigne souvent d'une transgression. Par ailleurs, art et technique ont des finalités différentes: la technique vide l'utilité, l'efficacité, tandis que l'art suscite des émotions, génère un plaisir esthétique et sollicite la réflexion. L'art est une manifestation

ils la fondent même. Cependant, la fête est une initiation aux règles de la société et à I'ordre des choses. Remarquons que c'est la jeunesse qui gouverne la fête traditionnelle. Celle-ci lui est même destinée. En réactivant la mémoire du groupe, en transmettant des usages, des modèles et une étiquette, en codifiant les relations entre hommes et femmes par le biais des danses, en contenant leur puissance virile dans les règles des compétitions et des joutes, en les soumettant à la discipline militaire

charnelle, un oubli de soi, et c’est pourquoi il n’est pas jugé utile de la théoriser. Généralement dénué de règles précises, il repose plutôt sur des habitudes et des pratiques locales. Il cristallise les oppositions sociales et géographiques au lieu de les transcender. Dans la noblesse française de cette époque, le tournoi et la joute restent avant tout de violents simulacres de combat sans règles fixées. Face aux dangers que ces jeux présentent, leur pratique est progressivement abandonnée pour laisser

Castellucci a présenté à Avignon une adaptation de La Divine comédie, de Dante, qui a marqué les esprits. Ce n'est pas le cas de son nouveau spectacle, Le Voile noir du pasteur, qui lui aussi sera présenté à Avignon. La création a eu lieu mardi 15 mars, au Théâtre national de Bretagne, à Rennes. On sentait que tout n'était pas en place, comme cela peut arriver dans des productions aussi sophistiquées que celles de Castellucci. Mais on ne peut s'empêcher de douter que les ajustements gomment l'impression d'un

l’élaboration d’un message. C’est un processus de l’esprit qui ne repose pas sur un fond de réalité, davantage sur la forme qu’on veut bien lui prêter. Cette théorie orale est indissociable du mythe pour l’auteur. Le mythe n’est pas conçu par des règles linguistiques préétablies, mais nous le restituons sans remettre en question sa véracité. Grossièrement, c’est le principe même du téléphone arabe, à une échelle sociale plus importante. Le mythe doit satisfaire le goût du public pour le sensationnel

ils la fondent même. Cependant, la fête est une initiation aux règles de la société et à I'ordre des choses. Remarquons que c'est la jeunesse qui gouverne la fête traditionnelle. Celle-ci lui est même destinée. En réactivant la mémoire du groupe, en transmettant des usages, des modèles et une étiquette, en codifiant les relations entre hommes et femmes par le biais des danses, en contenant leur puissance virile dans les règles des compétitions et des joutes, en les soumettant à la discipline militaire

sorties) ; l’importance des dialogues et des répliques ; l’extraordinaire tension dramatique créée d’emblée : « Ce n’était jamais arrivé », « curiosité inhabituelle1 », « qu’il n’avait encore jamais vu », etc. ; comme dans une scène d’exposition au théâtre, la construction du personnage se fait progressivement, touche après touche, en situation : c’est ainsi qu’on apprend que Joseph K. est célibataire (puisqu’il vit seul dans une pension de famille), qu’il a trente ans, qu’il travaille dans une banque