La Trompette Du Jugement Hugo

lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille, L’Illusion comique ou Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet

à la Littérature qui est un terme labellisé, et dans lequel on retrouve des critères de choix bien définis. Ainsi, la « mauvaise littérature », dont on ne peut nier l’existence depuis toujours, est écartée du concept. Tout le monde sait que Victor-Hugo n’était pas le seul écrivain de son époque, le XIXème siècle foisonnait d’écrivains, mais seuls quelques-uns ont survécu aux autres pour constituer le patrimoine culturel littéraire que nous connaissons. Or, il semblerait que toutes les chansons sont

pour atteindre son/ses but/s : genre littéraire, registre, procédés de style Le BO du 26 juin 2001 précise : « le candidat compose un devoir qui présente de manière organisée ce qu’il a retenu de sa lecture, et justifie son interprétation et ses jugements personnels » → Il s’agit donc de composer un devoir organisé selon une progression qui rende compte de la réflexion structurée et précise sur un texte littéraire → Il s’agit donc de considérer le texte comme une construction, le résultat d’un travail

simplement du sentiment que« l’austérité d’une morale puritaine fait obstacle aux lumières individuelles, et aveugle au vrai bonheur.»12. De même, ce thème, la clairvoyance de l’aveugle n’était pas inconnue à l’époque du symbolisme, des écrivains comme Hugo, poètes comme Baudelaire, l’avaient déjà mentionnée dans leurs oeuvres. En outre, André Gide mentionne dans son livre Si le grain ne meurt deux points essentiels pour la construction du livre La Symphonie pastorale: un épisode 9 Préface pour La

devant l'affirmation de soi au péril des autres" (Gusdorf p 23) De plus écriture du moi - graphie de l'auto et du bio - établit distance entre moi écrivant et moi vécu, entre vie et sa représentation, écart qui fonde nécessairement une relation de jugement, d'évaluation de ce qui a été par ce qui est : écrivain doit avouer et s'avouer vérité sur un parcours que parx n'a pas voulu tel, faut expulser de soi-même être que l'on a été avec ses défauts, ses qualités, ses errances et ses errements : "l'exigence

l’Italie proprement dite (la péninsule). Jules César hésite. Il sait qu’une fois ce mince cours d’eau franchi, il sera perçu à Rome comme sacrilège. Une nouvelle guerre civile serait alors inévitable. Soudain, un géant surgi de nulle part arrache une trompette des mains d’un soldat et passe sur l’autre rive en sonnant la marche. « Allons où nous appellent les signes des dieux et l’injustice de nos ennemis. Les dés sont jetés (alea jacta est) », lance aussitôt César à ses cohortes. Ce prodige bienvenu efface

d'anthropophagie dans "Le défilé de la Hache". H) "tu feras retentir une trompette de terouâ (jubilation) au septième mois, le dix du mois ; au jour de redemption, vous ferez rais resonner la trompette dans tout votre pays" 25, 9. (f° 312 ; Lévitique, tome III, XXV, 9, p. 121) 36 la trompette à chaque nouvelle lune. "Sonnez le schophar à la neomenie , à l'epoque fixée pr le jour de notre fête" LXXXI. on sonnait de la trompette à chaque nouvelle lune. (f° 335 ; Psaumes, tome XIII, LXXXI, 4, p. 183)

l’imagination+ ordure+bizarrerie de la langue = pas une œuvre universelle (lecteurs : seuls ivrognes et érudits). 3)La réhabilitation romantique : un nouveau malentendu ? Mouvement romantique (début 19ième) relit avec passion l’œuvre de Rabelais. Victor Hugo : « Homère du rire, Eschyle de la mangeaille ». Cf le double principe romantique de grotesque/sublime. Rabelais finit par incarner le génie populaire et révolutionnaire (alors que R est aussi un intellectuel, qui a une vision souvent critique du peuple

instruire et émouvoir, et donc à persuader, à l’instar de beaucoup des personnages auxquels il donne la parole. Ce qui distingue ces derniers les uns des autres, selon la fable, ce sont les intentions, plus ou moins bienveillantes, la capacité de jugement, le caractère (différent selon les stéréotypes choisis), le type d’auditoire auquel ils appartiennent ou auquel ils s’adressent (unique ou collectif, hiérarchiquement ou physiquement supérieur ou inférieur...), autrement dit les variables des situations

qu'ils n'avaient aucun besoin de lui. Moi, je dépendais de lui pour tout: il adorait en moi sa générosité. A la vérité, il forçait un peu sur le sublime: c'était un homme du xixe siècle qui se prenait, comme tant d'autres, comme Victor Hugo lui-même, pour Victor Hugo. Je tiens ce bel homme à barbe de fleuve, toujours entre deux coups de théâtre, comme l'alcoolique entre deux vins, pour la victime de deux techniques récemment découvertes: l'art du photographe et l'art d'être grand-père. Il avait la