La Tyrannie Du Corps

Discours de la servitude volontaire – Etienne de La Boétie INTRODUCTION Le discours de la servitude volontaire écrit par Etienne de la Boétie vers le milieu du 16e siècle est un court essai contre la tyrannie. La Boétie (1530-1563) appartenait à un milieu aisé et cultivé. Orphelin, il a été élevé et éduqué par son oncle. Il a étudié le droit à l’université d’Orléans à une époque où le droit connaît en France un brillant essor, qui s’appuie sur la connaissance de l’Antiquité et l’étude du droit

modéré pour lutter contre la tyrannie et l’arbitraire Selon Burdeau, la séparation des pouvoirs doit permettre la lutte contre le despotisme, c’est une idée que l’on retrouve toujours dans la pensée de Montesquieu. Selon ce dernier, la liberté politique ne se trouve que dans les gouvernements modérés et pour garantir un pouvoir modéré il faut une séparation des organes, a contrario « il n’y a pas de libertés lorsque dans la même personne ou dans le même corps de magistrature, la puissance

comme ambivalente, prise entre son passé mythique et l’image dégradée que Musset donne à voir. Elle fait l’objet de vives critiques dans le discours de nombreux personnages. • La tyrannie et le viceElle peut être considérée comme un enjeu majeur de la portée critique de la pièce dans la mesure où elle est présentée comme le berceau de la tyrannie et le lieu d’épanouissement du vice. À cet égard, Florence, comme un personnage vivant, semble à l’image de son tyran, Alexandre : « si le duc ne sait pas que sa ville

C’est ce que représente l’ivresse chez Rabelais. Gargantua naît ds une ambiance de fête -> burlesque, mais aussi né ds une énergie vitale. Le comique scato est aussi une énergie vitale, prise en compte du corps et de la vie ds tt son cycle. Le comique lié au corps ne dégrade pas le corps, mais le réhabilite ds ttes ses fonctions. Qd Gargantua dit à boire : énergie vitale, avide de plaisir charnel qui nous ouvre au monde à l’autre et à Dieu. Ouverture 1ère qu’il à au monde. Incarnation du spirituel

Hémon Tirésias Le Chœur/ le Coryphée III. PERSPECTIVES D’ANALYSE L’individu contre le pouvoir étatique L’hybris La tyrannie menace Une lecture de genre I- RESUME DE L’ŒUVRE Les deux frères qui luttaient pour le trône de Thèbes, Polynice et Etéocle, ont été tués au combat. Créon est donc le nouveau maître de la ville. Il décide que Polynice tombera en disgrâce, tandis que le corps d’Etéocle sera honoré. Cela signifie que la dépouille du frère rebelle ne peut être parée des rites funéraires sacrés

arrive au pouvoir en -560/61, et y reste jusqu’à sa mort. Mais il doit s’exiler deux fois surement vers -556 et -546 .Il accède au pouvoir soit par la force soit par la ruse. La première fois il feinte d’avoir été blessé, il demande 300 gardes du corps pour sa protection et occupe ainsi l‘Acropole, la seconde fois, il met en scène son retour à Athènes accompagné de la Déesse Athéna. La dernière fois, s’étant exilé en Erétrie, ou il exploite une mine d’or et d’argent, il s’enrichit et se confectionne

impôts ; autoritarisme brutal : entre en détruisant la porte , redondances pour exprimer les ordres, refus d’écouter les autres, utilise son armée de Grippe-sous ; personnage grossier, mal élevé, vulgaire qui jure beaucoup, mélange le langage bas du corps (celui de la farce) et les saints (religion) : donc scandaleux et blasphématoire ; appétit d’argent unique moteur de son action, donc aucune grandeur, aucun sens des responsabilités ; analphabète incapable de maîtriser le langage : oneilles  pour oreilles

qu'elle est en vigueur, chacun devra s'y soumettre, sans essayer de s'en excepter ou de rallier à son opinion quiconque par « la ruse, la colère ou la haine ». I. Analyse détaillée du texte 1. La liberté constitue la fin véritable de l'État a) La tyrannie des passions L'État est une institution humaine : il ne vaut que par ce qu'il permet, il ne se définit que par la fin dont il est le moyen. Mais alors, quelle devrait être cette fin elle-même ? On aurait beau jeu de croire que l'État n'a d'autre

le Contrat Social, est la condition de possibilité de l’existence du peuple en tant que peuple et non en tant que simple agrégation ; ce qui signifie qu’il n’est pas qu’un simple regroupement d’individus. « (...) Cet acte d’association produit un corps moral et collectif, composé d’autant de membres que l’assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté. » La question de la légitimité d’un pouvoir reposant sur le Contrat Social ne se pose donc plus

richesse publique et non seulement de l'opulence monstrueuse de quelques maisons. Nous voulons substituer dans notre pays la morale à l'égoïsme, la probitéà l'honneur, lesprincipes auxusages, les devoirs aux bienséances, l'empire de la raison à la tyrannie de la mode, le mépris du vice au mépris du mal heur, la fierté à l'insolence, la grandeur d'âme à la vanité, l'amour de lagloire à l'amour de l'argent, les bonnesgens à la bonne compagnie, le mérite à l'intrigue, le génie au bel esprit, la véritéà