La Tyrannie Du Corps

(Présentation du passage) Nous nous demanderons alors (Problématique) Nous étudierons dans un premier temps, comment Sartre tient son narrateur à distance, présentant un personnage étranger à lui même et à sn corps, dans un 2nd temps, nous examinerons l’opposition que fait Sartre entre corps et esprit et tentons de trouver les liens entre existence et pensée. (Annonce du plan) I- L’art de sortir de soi [Transition] Nous entrons alors dans l’art de AR de sortir de soi par la présence d’un : a) Un

les deux corps du roi → mystique et physique. Le mot roi désigne aussi l'Etat. Le roi ne meurt pas en France → pas de deuil car continuité → souveraineté transmise instantanément au successeur. Au prince vous mourrez, mais votre Etat doit être immortel. Res : ministère royal. Couronne : pouvoir royal, attribut de la souveraineté, prérogatives → porté par celui qui est en-dessous. Royaume : territoire et société organique. Roi → serviteur du royaume qui veille au bien de tous. Eglise = corps mystique

Laachari Malak TA1) Si l’on s’accorde à ce que dit Socrate, la tyrannie découle de la démocratie. En effet, un excès de liberté engendre une transformation de la démocratie en tyrannie. La liberté est, tout comme le besoin de s’enrichir dans une oligarchie, un élément nécessaire à la démocratie mais aussi sa faiblesse. La démocratie conduit à des excès notamment à des excès de liberté qui deviennent dangereux pour la société. C’est une véritable envie insatiable de liberté qui habite le peuple de

mouches ») le père Ubu et Egisthe prennent le pouvoir et font régner la terreur autour d’eux. Le roi Ubu après avoir tué toutes les personnes qui se mettaient en travers de son chemin devient un vrai tyran, les lignes 4 et 5 « J’ai vu emporter les corps de plus de trois cents nobles et de cinq cents magistrat qu’on a tués » nous montre la monstruosité du roi et les lignes 5 et 6 « Il parait qu’on va doubler les impôts » est une rumeur qui viens des paysans et qui affiche un coté encore non révélé

romantique en prose, Angelo, tyran de Padoue est une pièce méconnue du répertoire de Victor Hugo (1802-1885). C’est âgé d’une trentaine d’années mais déjà empreint de maturité, que celui-ci a écrit pour la scène du Théâtre-Français cette histoire de tyrannie et de sentiments. Une tragédie pétrie de puissance et de fragilité, où le destin de quatre êtres passionnés se joue en l’espace de trois journées. Écrivain, dramaturge et cinéaste, Christophe Honoré ne laisse pas indifférent. Monté de Bretagne à

à son paroxysme en ce qu’il louerait l’instantané -et nous y sommes avec Internet-, conduirait à la « tyrannie », donc à la fin de la démocratie. « Vitesse et politique du pire ». La démocratie, c’est la discussion, et la discussion entre personnes responsables -entre citoyens, au sens grec du terme-. Et voici qu’on nous préparerait tout le contraire, qu’on abolirait tout ou partie des corps et des esprits qui sont les ingrédients majeurs qui font la citoyen, la démocratie. Ce que Virilio appelle

vient d’une même personne qui exerce ces mêmes fonctions. ( « Tout serait perdu si le même homme ou le même corps exerçait ces trois pouvoirs ». Car il existe un risque de tyrannie. 2. Démonstration a contrario : il ne faut pas attribuer le pouvoir de faire la loi et d’exécuter les lois et le pouvoir de juger à un même corps ou une même personne. Il faut les attribuer à des corps ou des personnes distinctes et bien différentes. 3. Postérité : Le livre aura beaucoup de succès notamment

distincts de Créon à propos de la décision rendue à l’égard de Polynice : 1) Comme Créon venait d’être nommé roi, il avait besoin de faire ses preuves auprès du peuple pour leur prouver qu’il est digne de gouverner Thèbes donc, il décide de laisser le corps de Polynice sans sépulture à cause du geste qu’il a commis. Pour Créon, c’était une juste décision et digne d’un roi. (p.50 L.15) 2) D’après Créon, le méchant n’a pas droit à la part du juste. (p.63 L.11) 3) Polynice qui avait été banni par Étéocle

avec des autres : car ce n’est pas n’importe quel contrat qui met fin à l’état de nature entre les hommes, mais seulement celui qui consiste à se mettre d’accord les uns avec les autres pour entrer dans une seule communauté, et pour former un seul corps politique. 15/ Locke affirme que les hommes sont naturellement ds l’état de nature et qu’ils le restent jusqu’à ce que, de leur propre consentement, ils deviennent membres d’une société politique. Chapitre 3 : De l’état de guerre 16/ L’état de guerre

d’Œdipe et Jocaste[2], elle représente la moralité, les mœurs, la religion et la famille. Elle préfère perdre la vie plutôt que de trahir ses convictions. Créonte : roi de Thèbes, oncle d’Antigone et père d’Hémon. Il représente le pouvoir, la tyrannie. C’est l’opposé du personnage d’Antigone, et nous présente une confrontation entre la Raison et la Politique. Ismène : sœur d’Antigone, elle représente la soumission et l’acceptation des règles et de sa condition en tant que femme, face à la