La Valeur De L Existence Humaine

2022 / Dissertation de Philosophie générale - Le sujet Faut-il se passer de la notion de sujet ? Spontanément, on a tendance à penser que la notion de sujet est indispensable : autant parce qu’elle est inhérente au ressenti d’existence d’un être humain, que parce que les systèmes sociaux et politiques qui nous structurent en tant qu’espèce se forment nécessairement autour d’un besoin de réunion et de rassemblement de ces sujets individuels. “Faut-il” questionne d’un impératif, ainsi le questionnement

cette dénomination et problème du statut du narrateur à revoir, succède ensuite le « ils » avec insistance, sorte de mise en valeur du comportement quelque caractéristques notables : appât du gain : « pour s’enrichir », « faire des affaires » et« gagner bcp d’ag » « on joue gros jeu », monotonie « on s’y ennuie, on s’y applique à prendre des habitudes », présent à valeur de répétition, d’habitude dans « ils réservent ces plaisirs » par exple, conformisme : « très raisonnablement » avec l’intensif

I. DE LA MÉTHODE D’EXPLICATION DE TEXTE 1/ Thème général du texte : De quoi ce texte parle-t-il ? Ce texte de Pascal nous invite à réfléchir sur la valeur de la conscience humaine qui fait de nous des êtres tout à fait singuliers dans l'univers « (la nature »), ballottés entre grandeur et misère. C'est l'ambivalence de la condition humaine qui semble intéresser B. Pascal dans ce texte. 2/ Thèse. Antithèse Qu’est-ce que l’auteur soutient dans ce texte ? Contre quelle conception s’élève-t-il

social qui fit émerger ce courant fut le soulèvement de Kierkegaard contre la pensée des autres philosophes. Etant généralement présenté comme le premier penseur véritablement existentialiste. Ce philosophe s’intéressait surtout au fait que toute existence humaine souffre inévitablement. Ensuite nous avons René Descartes, Hegel et bien d’autres qui eux sont les penseurs modernes ayant accordé le plus d’importance à ce concept d’existence. On peut aussi dire que Jean-Paul Sartre poursuivit l'idée du courant

professionnelle est si tenue que l’on se demande si elle existe réellement. Ils savent que c’est toujours une personne humaine qui occupe un poste, exerce un métier, appartient à une organisation… Le coaching appréhende la personne humaine dans toutes ses dimensions : système de valeurs, croyances, modes comportementaux, relationnel professionnel, familial et social… Tout être humain va vivre ces différentes dimensions à deux niveaux : celui de « tous les jours » caricaturalement résumé par la formule

biens de l’homme et la durée de son existence sont dérisoires comparés à l’étendue et à la durée de l’univers (évaluatifs négatifs) Conclusion : même le plus puissant des hommes est misérable. II- Dignité de l’homme a) Par sa pensée l’homme peut englober l’univers (évaluatifs positifs) b) Apprendre à bien penser est le devoir de tout homme (modalisateurs de devoir). Conclusion : la nature de l’homme est d’être misérable et son existence paraît vaine, mais par la pensée

s’est affranchi 1) des contraintes venues du monde extérieur et matériel 2) des contraintes que lui imposeraient d’autres volontés 3) des contraintes émanant de son propre corps (maladie par exemple). Cela lui permet alors de diriger son existence comme il l’entend, en fonction des buts qu’il s’est choisit. Cette définition ne manque pas de susciter deux types de questions : - la première concerne la capacité de s’affranchir des contraintes, et engage donc la possibilité même de la liberté

de l’existence. Elle donne du sens à mon existence en en donnant à mes désirs. Elle lui permet d’échapper à un sentiment de déréliction d’où son messianisme. L’illusion est principe donateur de sens à mon existence en me signifiant que je poursuis une vérité celle de mes désirs. Je ne vis plus pour moi mais pour elle, pour la voir se réaliser. Voilà ma raison de vivre. Elle et moi sommes liés par la corde de mes désirs. L’illusion sauve ainsi mon existence du non sens et du sentiment d’abandon. L’attente

Au niveau des relations humaines, on pourrait énoncer une loi qui dirait qu’on ne reçoit qu’à la mesure de ce que l’on donne. De là, si on ne reçoit pas à la hauteur de ses attentes, il est toujours utile de vérifier la nature de ce que l’on donne (ou croit donner) aux autres. Or, en tant qu’êtres humains, nous sommes taraudés par un besoin essentiel : le besoin d’exister - exister à nos propres yeux et exister aux yeux d’autrui. De plus, les êtres humains sont ainsi faits qu’ils ont tendance

savoir ce que la religion lie ou relie ? Relie-t-elle les hommes avec le Divin ? C’est-à-dire une réalité anonyme et impersonnelle à laquelle on se soumet. Ou alors, relie-t-elle plutôt les hommes entre eux en tant qu’ils se retrouvent autour de valeurs, de traditions ou encore d’une foi commune ? Dans ces deux cas, ce lien est d’une tout autre nature que celui que les hommes entretiennent dans la vie ordinaire. Lien intemporel entre le fini et l’infini, le relatif et l’absolu. Autrement dit