La Vanité Un Défaut

ou « abaisser son chapeau sur ses yeux pour ne voir personne » Ses attitudes et son comportement souligne la mauvaise éducation. Giton agit comme s’il était le centre du monde. On peut le qualifier d'insolent, manque de discrétion, égocentrique, vanité.. Le fait d’être riche excuse le comportement abject de Giton. B/ Portrait de Phédon Phédon est la caricature du pauvre, maigre et fantomatique, qui fait tout pour paraître inaperçu et qui de fait n’existe pas pour les autres. Phédon « a de l’esprit

force et d’achèvement. Elle n’a pu être façonnée par l’apprenti que grâce au maillet et au ciseau qui ont été mis à sa disposition. Une fois compagnon, avec ces mêmes outils il s’efforcera de faire disparaître, comme autant d’aspérités fâcheuses, ses défauts, ses préjugés et ses erreurs. Mais il lui faut encore travailler sans relâche à la réalisation du but que poursuit la franc-maçonnerie. Il doit être bon, juste, digne, dévoué, courageux, exempt d’orgueil et d’ambition, affranchi de tout préjugé et

celui de Don Fernand. C'est un portrait rapide et court. L'auteur nous décrit Don Fernand par une accumulation d'adjectifs, sorte de gradation grâce à laquelle il définit le caractère de son personnage par l'énumération de tous ses défauts. Celui-ci a tout les défauts mondains mais ce qui lui est propre, et qui le définit à nos yeux, c'est sa témérité, et son inclination à exposer sa vie pour un rien. Il ressemble à tous les nobles de province à ceci près qu'il cherche querelle et règles ses comptes

mots faits sur les noms des personnages, comme celui de Thomas Diafoirus. Effectivement, le préfixe grec διά (dia-) se rapporte à la traversée, tandis que -foi- se rapporte au foie et que -rus est un préfixe latin utilisé comme moquerie envers la vanité du corps médical à l’époque de Molière. En globalité, la « traversée du foie » est une manière détournée de parler de la diarrhée, ce qui ridiculise le médecin Diafoirus. Les comiques de genre et de situation amusent aussi le spectateur, comme

sans le savoir, ne jugeant pas son mari et adorant ses enfants, madame de Rênal est d’abord choquée de l’idée qu’un petit prêtre sale et sournois va venir régenter ses enfants et s’entreposer entre eux et leur mère ; elle lutte un peu contre la vanité de son mari, puis finit par se faire une raison. Heureusement le petit Julien, fils du vieux montagnard Sorel, et sur lequel le choix de M. de Rênal est tombé, n’est pas tout-à-fait ce que s’était représenté l’imagination de la jeune mère. Âgé

de sujet. ARLEQUIN : C'est la vérité. IPHICRATE : Mais par combien de bontés ai-je réparé cela ! ARLEQUIN : Cela n'est pas de ma connaissance. IPHICRATE : D'ailleurs, ne fallait-il pas te corriger de tes défauts ? ARLEQUIN : J'ai plus pâti des tiens que des miens ; mes plus grands défauts, c'était ta mauvaise humeur, ton autorité, et le peu de cas que tu faisais de ton pauvre esclave. IPHICRATE : Va, tu n'es qu'un ingrat ; au lieu de me secourir ici, de partager mon affliction, de montrer à

entière. - Proverbe américain Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, mais parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles. - Sénèque Il y a quelque chose de plus haut que l'orgueil, et de plus noble que la vanité, c'est la modestie ; et quelque chose de plus rare que la modestie, c'est la simplicité. - Antoine de Rivarol La plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute. - Confucius Déguiser sous des mots bien choisis

d’humiliation, volonté de rabaisser le roseau (« baisser la tête ») _ « roitelet » = oiseau (« -telet » est un diminutif) _ « Caucase » : se compare a qqchose de très grand : comparaison hyperbolique. Le chêne symbolise la puissance, le roi, la vanité, l’orgueil. B- Le roseau * Changement de personnage par un tiret (marque du dialogue). Rigueur de la fable : «  le chêne dit (…) le roseau répondit (…) » * « compassion » = diérèse + mot à l’hémistiche + enjambement : proposition

Après 17 années de travail, La Bruyère publie “Les Caractères” en 1688. L'œuvre se compose de 16 livres avec des portraits satiriques visant à critiquer, grâce à une argumentation, certains comportements de son époque et plus généralement des défauts humains universels. Dans ce passage que ce situe au livre X intitulée : “De la Société et de la Conversation” dont La Bruyère fait le portrait de Acis qui ne sait pas bien parler car il complique trop ses propos. Comment La Bruyère critique

certain talent de comédien, cependant. Enumération de ses rôles (l.18 à l. 25). Mais toutes ces qualités annulées par la critique qui suit : "une vanité insupportable" ligne 26. De là, s'ensuit une énumération des défauts de La Rancune (l. 26 à l. 28). Gradation dans cette énumération. ×Les défauts cités sont de plus en plus détaillés (le 1er défaut est suivi d'un adjectif qualificatif, le dernier par un adjectif + une préposition subordonnée.). ⋄Rythme de la phrase ternaire. ×Deux