La Vanité Un Défaut

". La poésie magnifie ici même les objets même les plus dérisoires. -Toutefois, on note une certaine ironie de l’auteur  avec « éclat » qui rappelle l’écartèlement de l’objet. Car en définitive, c’est bel et bien un objet : « sans vanité » : la vanité étant un défaut humain. Le « bois blanc » matériel trivial rappelle son caractère brut, et blanc est évocateur de simplicité. « Tout neuf  encore » : il va mourir, le poète critique ici un certain consumérisme. Sa mort rappelle sa naissance, d’abord

sceptique du savoir de l’homme qui croit savoir tout mais il ne sait rien. On a tous des idées et des jugements différents  On n’a pas toujours raison Faut être sceptique * Il va prouver aux gens qui ne croient pas à la Bible que croire = vaniter * L’homme est seul, armé seulement de sa propre raison * Il se pose des questions oratoires dont on ne sait pas répondre (ex : Pourquoi la mer est là pour nous ?) * L’homme donne un savoir relatif à son époque : Montaigne est donc successeur

idiot n’a pas de cœur) : « La récolte a été bonne cette année ? » (l. 2, 3) « Et le blé ? L’orge, le maïs ? Les céréales ? » (l.7) « Bonne récolte alors ? » (l. 10) Notez le procédé du comique de répétition, procédé théâtral visant à insister sur un défaut d’un personnage. Ici immense bêtise du chef qui ne comprend rien aux deux premières réponses. Il ne « sait » pas l’évidence… (CF l. 6 « Y a pas au besoin de les arroser, comme tu sais. ») Il est tellement obnubilé par son enquête (promotion à la clé)

été de se conformer à ses préjugés. On l'aura compris, Jane Austen va réunir ces deux-là dans toutes les occasions possibles pour leur permettre de développer un amour passionné et réciproque. Mais sans se priver de les confronter à leurs défauts, à leur vanité et à leurs contradictions. Au passage, Miss Austen en profitera pour dépeindre la bonne société anglaise en égratignant le vernis des apparences et des convenances. Je ne vous raconterai pas la fin de l'histoire (prévisible) mais je soulignerai

mal que j'en avais entendu dire par d'autres hommes que je n'aimais pas. -Être assez intelligent, ce n'être pas assez intelligent précisément. Être à moitié quoi que ce soit est d'ailleurs est inutile - car c'est toujours l'autre moitié qui fait défaut. -Si ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage ! -Applaudir quelqu'un, c'est presque lui serrer la main. C'est parce qu'on ne peut pas toucher sa main à lui qu'on frappe, soi, dans les deux

son jugement : elle essayait de se persuader que son mari lui était toujours fidèle alors que la trahison était évidente « que tant d’apparences me confirmaient ». • Done Elvire ne parle que d’elle : abondance de « je » + fait de ses qualités des défauts. → Done Elvire reporte plus la faute sur elle que sur son mari. • Ses rêves s’opposent à ses doutes « j’écoutais avec plaisir mille chimères ridicules ». → l’amour l’a rendue trop naïve. • Elvire : grandeur pathétique. → Elle demande en

physique, contrôle son poids, évite les excès alimentaires, se méfie de l'alcool, des drogues, des habitudes telles que le tabac, le jeu, etc. Résiste facilement aux sentiments de Est facilement la proie de ses sentiments : vanité, de jalousie, d'envie, de haine ; vanité, désir de paraître, jalousie, colère, en tout cas, il les contrôle suffisamment haine. Se contrôle mal et laisse extérioriser pour ne pas les laisser ces transparaître. sentiments intérieurs. Résiste aux grandes passions

et son Théâtre du Soleil en 1990. (p.51) 18Les tableaux de « vanités » sont extrêmement codés : ils doivent à la fois signifier la variété des occupations humaines (futiles ou sérieuses) et leur retirer toute valeur face à la mort. (p.52) 19Le terme « vanité » vient de l’un des livres de la Bible, L’Ecclésiaste, qui enseigne le renoncement aux plaisirs et à la gloire par ce proverbe : « Vanités des vanités, tout est vanité. » (p.52) 20Les didascalies, inscrites en italique, sont des indications

" [ Le public] peut regarder avec loisir ce portrait que j'ai fait de lui d'après nature, et s'il se connaît quelques-uns des défauts que je touche, s'en corriger. C'est l'unique fin que l'on doit se proposer en écrivant [...] On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l'instruction." ( Préface Pour La Bruyère, l'acte d'écrire n'est pas gratuit, et doit obéir à une fonction didactique. Or, dans la première remarque des Caractères, en affirmant que " Tout est dit et l'on vient trop tard

honte de soi … Certains actes sont reprochés par la conscience et cette dernière nous tourmente c’est ici que la fameuse citation intervient « Avoir mauvaise conscience » cela montre que nous pâtissons d’une culpabilité. L’être humain est doté de défaut il n’est pas parfait alors bien sur que quelques fois notre conscience ne nous donnera pas de bon conseilles c’est alors que nous devrions douter sur nos pensées. Le monde extérieur aussi peut être douteux puisque notre conscience peu nous jouer