La Vanité Un Défaut

est nécessaire de tenir compte de l’histoire, du changement, donc de la temporalité. Or si cela n’est que rarement fait, malgré l’insistance d’un certain nombre de théoriciens, c’est qu’il est difficile de rendre compte du mouvement, il s’agit d’un défaut du langage et j’ajouterai : d’un refus de la dialectique[5] d’une part, du vivant d’autre part.   Revenons d’abord sur la première proposition : « l’institué accepte l’instituant lorsqu’il peut l’intégrer, c’est-à-dire le rendre équivalent aux formes

le seul moyen d'ascension serait le mariage, mais comme elle n'avait pas de dot, elle n'a pas pu épouser un homme riche et distingué. Elle souffre de la misère dans laquelle elle vit. Elle rêve d'échapper à sa vie ordinaire. Elle rêve des petites vanités qui forment le "grand monde", de tout ce qui est vain et superficiel. Elle désire "plaire, être enviée, .."Elle veut être enviée par les femmes, désirée par les hommes, admirée par tous. Elle est envieuse (les autres femmes au bal, son amie Mme Forestier)

parleur sans esprit présenté à travers la bouche d’un moraliste qui se met en scène pour conseiller son locuteur sur le langage à adopter en public. La conversation et le comportement en société se voient mis en pratique grâce à la dénonciation des défauts du personnage et aux conseils prodigués par le locuteur.Comment ce texte permet de définir un art de la conversation à travers un double portrait : un précieux sans esprits critiqué, et celui du moraliste ? I) Un faux dialogue

l'histoire de la littérature, le héros devient moins parfait, il s'humanise. Il porte les valeurs, les rêves, les espoirs de la société dans laquelle il est né. La notion de « héros » s'oppose à celle d' »antihéros », un personnage aux multiples défauts qui sert de repoussoir et qui remet en cause les valeurs traditionnelles de la société. Ce personnage n'a donc rien d'héroïque. Il est essentiellement médiocre et antipathique. Mais alors dans l'œuvre d'Alfred de Musset, Lorenzaccio, que peut-on dire

, ce qu'en langage savant on appelle un hypocondre. En dehors de ce défaut, il est plutôt bon homme et bon père. Il est cependant sous la coupe d'une seconde femme hypocrite qu'il ne veut pas contrarier, ainsi que des médecins qui exploitent sa croyance en une maladie imaginaire. Comme il est aveuglé par cette obsession de la maladie, il ne voit pas qu'on en veut surtout à son argent. Son défaut le rend faible, négligent avec ses filles et insensé. Mais comme il est

considérée que comme une simple formalité. La sagesse consiste à ne pas s'inquiéter de sa mort et à profiter au mieux de la vie. 4. L'homme • Bien que les animaux jouent un rôle très important, l'observation de La Fontaine porte sur l'homme, sur sa vanité, son avarice, son hypocrisie. • Les lois qui gouvernent les hommes sont dénoncées par La Fontaine qui regrette que les puissants, les riches, soient toujours les plus forts. Dans l'ensemble, La Fontaine se montre pessimiste : son univers ne présente

malade imaginaire, ce qu'en langage savant on appelle un hypocondre. En dehors de ce défaut, il est plutôt bon homme et bon père. Il est cependant sous la coupe d'une seconde femme hypocrite qu'il ne veut pas contrarier, ainsi que des médecins qui exploitent sa croyance en une maladie imaginaire. Comme il est aveuglé par cette obsession de la maladie, il ne voit pas qu'on en veut surtout à son argent. Son défaut le rend faible, négligent avec ses filles et insensé. Mais comme il est brave, au fond

culture (car on peut nommer ainsi l'instruction). Celui qui n'est point cultivé est brut ; celui qui n'est pas discipliné est sauvage. Le manque de discipline est un mal pire que le défaut de culture, car celui-ci peut encore se réparer plus tard, tandis qu'on ne peut plus chasser la sauvagerie et corriger un défaut de discipline. Peut-être l'éducation deviendra-t-elle toujours meilleure, et chacune des générations qui se succéderont fera-t-elle un pas de plus vers le perfectionnement de l'humanité

intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits. A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire, il veut dénoncer les défauts des hommes, leur en faire prendre conscience ; il critique aussi des faits de société (ex : Les Précieuses ridicules). Prendre l'exemple d'une pièce et développer-le dans ce sens (L'Avare, L'École des femmes, Le Misanthrope...) B- La lutte

illustrer le fonctionnement de cette société en faisant intervenir le monde animal qui a une symbolique très nette. Par exemple, la fable “Le Loup et l'Agneau” est une dénonciation du pouvoir et de la justice sous Louis XIV. Le loup représente la vanité des hommes alors que l'agneau représente l'honnête homme du XVIIième siècle. Georges Orwell a lui aussi contourner la censure en dénoncant à travers les animaux de la basse-cour dans “La ferme des animaux”. Les hommes y sont tenus comme responsables