La Vassalité L Hommage Et Serment De Fidélité

familles germaniques, anciens sénateurs romains) de lui être fidèle, le Roi leur demande de se lier à lui par un serment de fidélité (la promesse est renforcée par la prise à témoin de Dieu → si désobéissance punition terrestre et divine) Les membres de la garde personnelle du Roi sont appelés les antrustions (qui vient de la confiance, …) Pour les grands aristocrates ils devront prêter le serment du Leude (n’ont plus le choix d’être fidèle au Roi après) Donc ils sont dans une relation contractuelle (avec

capétiens (10ème-12ème siècle) Jusqu’à la fin du 12ème siècle, on assister à un système tout à fait surprenant, ce système de la féodalité fondé sur le lien de vassalité et elle va persister et le pouvoir va s’exercer par l’intermédiaire de ce système. Mais dans ce système, le royaume est morcelé en principautés. Les rapports de vassalité forment autant d’écrans à l’exercice de l’autorité royale et c’est une aristocratie militaire qui apparait comme la principale force politique. Mais la féodalité

La féodalité est une société qui va reposer sur un sytème particulier. Le système de la féodalité est global et non que politique. Les dimensions de la féodalité reposent sur une hiérarchie (A) et sur ses charges et devoirs (B). A) Une hiérachie: fidélité contre une protection La féodalité est une organisation politique qui donne pouvoir à une multitude de seigneurs. Le système de féodalité repose sur l’idée du fief. En l’absence de pouvoir souverain, les seigneurs en ont profité et vont exercer

une base territoriale mais personnelle. D ailleurs le roi ne s intitule pas roi de france mais roi des francs. Le liens de subordination entre le roi et ses sujets s exprime au traers d un serment de fidelite qui porte le nom de Leudesamio, lien d H a H. Dangereux pcq les sujets qui n ont pas preter serment ne se sente pas obliger de lui obéir.le dager princiale est que les gd du royaume font ecran etre le roi et le peuple. A l idée d une souverainté perso, est relié que la onarchie est patrimoniale

invasions menacent la Francie occidentale. Dès 843, honores contre aide conseil et fidélité. A fonction de comte, on associe une terre. 877 : charges deviennent héréditaires à Quercy entre 888 et 987 : naissance des grandes principautés. Roi ne peut exercer son pv partout. Charles le Chauve et successeurs développent politiques de grand commandement → prince sur leur terre. Origine, lien d’homme à homme / hommage. Mais indépendance quasi-totale et roi ne peut gouverner hors de son territoire. Sociétés

un guide, évêque du dehors. Cette notion de peuple chrétien va permettre la restauration implicite du droit public car pour la première fois, nous avons enfin l'idée d'une collectivité publique. Le roi franc protège les personnes qui lui ont prêté serment. 

 La fonction royale
. A partir du sacre, renait l'idée de fonction. La couronne est une fonction et non plus la propriété du roi. a) La renaissance législative. Sous les Mérovingiens, pas de lois. Sous les carolingiens, renaissance

descendants des trois « races », mérovingienne, carolingienne et capétienne. L'établissement d'une religion royale. La force de la royauté médiévale a été de s'entourer de rituels, de lieux de cultes et de symboles qui entretiennent la fidélité des sujets. Les rituels : le sacre comporte plusieurs phases : l'adoubement (on entre en majesté comme on entre en chevalerie), l’onction, la remise des insignes royaux, le couronnement. Il manifeste que le roi reçoit son pouvoir de Dieu

montrer plus agressives. Elles constatent qu'ils refusent les charges publiques, la fonction de juge et de servir comme soldat de l'armée. Face cela, Rome exige qu'ils changent d'attitude. S'ils refusent, c'est parce que les charges impliquent un serment de fidélité à l'empereur et aux Dieux de Rome. La cité va se servir de ce refus pour orchestrer la politique de persécution. B- La politique de persécution. Dès le 3ème siècle, Rome devient une royauté militaire. L'armée devient donc plus importante

traditions carolingiennes, est la reconnaissance obligatoire du pouvoir royal. Comme Charlemagne qui fait exiger de tous les hommes libres de plus de douze ans de son royaume un serment de fidélité au souverain, Otton Ier reçoit le couronnement officiel pour être reconnu aux yeux de tous (l.7 « lui promettant la fidélité »). Hormis le fait qu'Otton se passe peu à peu des ducs pour gouverner, s'appuyant davantage sur l'Église, la seule différence avec les traditions carolingiennes rapportée par la

forment ce que les germains appellent Gefolgschaft. Celle-ci est composée des personnes qui suivent le roi en permanence, que l’on appellera plus tard sa suite. Ces proches doivent prêter un serment particulier qui les obligent à la fidélité la plus stricte à la personne du roi et non à sa fonction, serment qui les voue au service quotidien. Parmi ses proches se trouvent les officiers du palais, de simples domestiques qui, ayant une proximité extraordinaire avec le roi, seront au fur et à mesure