La Vengeance Est Elle Juste

Rome est, par nos forfaits, plus que par ses exploits, L’instrument de notre supplice. Craignez, Romains, craignez que le Ciel quelque jour Ne transporte chez vous les pleurs et la misère, Et mettant en nos mains, par un juste retour, Les armes dont se sert sa vengeance sévère, Il ne vous fasse, en sa colère, Nos esclaves à votre tour. Et pourquoi sommes-nous les vôtres ? Qu’on me die En quoi vous valez mieux que cent peuples divers. Quel droit vous a rendus maîtres de l’Univers ? Pourquoi

(vers 157), il parle évidemment d’Hector, mais nous remarquons que par cette phrase, Oreste cherche à sous entendre que si Pyrrhus lui donnait Astyanax, la sécurité du peuple Grec serait garantie et qu’une telle peur n’arriverait plus. D'ailleurs, juste après, Oreste précise la menace que représente Astyanax « Et qui sait ce qu'un jour ce fils peut entreprendre ? Peut-être dans nos ports nous le verrons descendre, Tel qu'on a vu son père embraser nos vaisseaux, Et, la flamme à la main, les suivre

répond qu'Andromaque est mieux placé pour faire cette requête à Pyrrhus. Scène 5 Céphise confirme les dires d'Hermione car Pyrrhus est amoureux d'Andromaque. Scène 6 Andromaque vient demander grâce à Pyrrhus qui refuse. Elle demande donc d'être juste de na pas séparer les dépouille. Scène 7 Pyrrhus propose à Andromaque de l'épouser et de renvoyer Hermione. Elle a donc le choix entre épouser Pyrrhus ou perdre son fils. Scène 8 Céphise essaye de persuader Andromaque d'épouser Pyrrhus mais celle-ci

de sa vengeance vis à vis du roi → cf I, 2 tirade : « Le roi ! Le roi ! » et discours de haine, II, 3 « je vous hais... » - Affirmation de soi dans la haine, mais le duel n’aura pas lieu – Trajectoire descendante → Carlos l’écrase de son mépris et le condamne à n’être qu’un assassin ; Hernani recul sur scène et « brise sa lame sur le pavé » → défaite annoncée symboliquement. Dernière scène de l’acte II préfigure le dénouement. Trajectoire du héros qui montre son échec dans la vengeance... Don

dialogue n’a pas eu lieu et a laissé place à une violente dispute entre les deux, au cours de laquelle l’adolescent a sorti un couteau et a poignardé à plusieurs reprises l’homme, âgé de 56 ans. Selon certaines sources, cet acte peut être qualifié de vengeance et il y aurait eu préméditation. Une amie d’enfance a témoigné : «  Kevin en voulait à son père, il m’a prévenu qu’il était prêt à tout pour venger sa mère ainsi que lui-même. ». La mère quant à elle est restée dans la voiture comme son fils lui

avisé sait quand il doit s'effacer. 17. Le courage fait les héros, mais la confiance cimente l'amitié. 18. Choisis ce qui est juste, pas ce qui est facile. 19. La plus dangereuse des bêtes est la bête intérieure. 20. Qui était mon père importe moins que le souvenir que j'ai de lui. 21. L'adversité est le véritable test de l'amitié. 22. La vengeance est la confession de la douleur. ------------------------------------------------- Saison 3 1. Les frères d'armes sont des

l'esclavage en Europe connaît un certain recul du fait de l'expansion du Christianisme cependant, il connaît un essor certain dans les colonies américaines. Les Royautés comme celle d'Espagne réprouve l'esclavage mais l'autorise dans le cadre d'une « guerre juste ». Par exemple, les espagnols étaient contre l'esclavage sauf pour les Tainos parce qu'ils étaient des indigènes anthropophages. Il y eut à cette époque plusieurs contestataires de cette pratique, le Pape Paul III dans ses bulles pontificales condamnent

comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant une gifle (un « soufflet » dans le langage de l'époque). Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel. Chimène essaie de renier son amour et le cache au roi, à qui elle demande la tête de Rodrigue. Mais

volonté qui est le désir d'un bien accompagné de raison, la colère est irraisonnée. Elle est un désir de vengeance, secondaire à une marque de mépris, et, comme tout désir de vengeance, elle s'adresse toujours à quelqu'un en particulier : On n'agit jamais avec colère contre une personne sur qui l'on ne peut exercer sa vengeance. Le plaisir qui l'accompagne vient de l'espoir de cette vengeance. Par mépris, il faut entendre le dédain, la vexation et l'outrage. Le mépris n'assigne aucune valeur à

2 : Le juste (...) est ainsi la proportion, et l'injuste ce qui est en dehors de la proportion. L'injuste peut donc être soit le trop, soit le trop peu. Aristote, Éthique à Nicomaque (livre 5, ch.7 : de la justice) Sujet 3 : L'action juste est un moyen entre l'injustice commise et l'injustice subie, l'une consistant à avoir trop, et l'autre trop peu. La justice est à son tour une sorte de juste milieu, non pas de la même façon que les autres vertus, mais en ce sens qu'elle relève du juste milieu