La Vengeance Est Elle Juste

4 Hitler, chef de gouvernement Evocation de son pouvoir sur les foules Evocation des excès commis par les SA Amélioration du niveau de vie et du moral du peuple « Je n’exprime pas mes doutes en public » « La finalité est juste » « L’histoire s’écrira sur une page blanche et propre » Mais Martin s’interroge tout de même. L.5 Evocation des persécutions des Juifs Inquiétude pour Griselle et ses compatriotes juifs. Angoisse L.6 Rejet et persécution des Juifs Exposé

gentilshommes pour essayer d’arrêter le comte, un autre gentilhomme vient annoncer au roi la mort du comte. Entre temps, on vient annoncer au roi l’arrivée de vaisseaux maures. En apprenant le décès de son père, Chimène accourt chez le roi pour demander vengeance, mais celui-ci veut délibérer car il estime que le comte n’aurait pas dû gifler Don Diègue. Acte III : Alors que Chimène vient de perdre son père, c’est Rodrigue qui se présente chez elle car il veut lui offrir sa tête, mais il ne tombe que

peut-être sur le point d'attaquer le royaume. Acte 2 Scène 7 - La mort de Don Gomès : Don Alonse annonce au roi la mort de Don Gomès et la venue de Chimène. Don Fernand est attristé, même s'il pense qu'il s'agit d'un juste retour des choses. Acte 2 Scène 8 - Chimène demande vengeance : Chimène vient demander à Don Fernand de venger son père, fidèle serviteur du roi, tandis que Don Diègue plaide en faveur de son fils. Il demande à mourir à la place de Rodrigue. Le roi dit à Chimène qu'il lui tiendra

une part importante dans le système judiciaire. Premièrement, c’est parce que Apollon le lui a imposé, que Oreste a du aller tuer sa propre mère pour venger son père, puis, ce sont les Erinyes, également des êtres divins, qui se sont chargés de la vengeance de Clytemnestre. Enfin, la pièce se termine avec le jugement du personnage principal, dans un tribunal où la encore c’est un dieu, Athéna qui préside. Dans toute l’œuvre, l’idée de jugement est donc liée très étroitement avec la religion. Ceci

détruire les deux familles qui l'ont fait souffrir. 
 
 Catherine meurt en mettant au monde une fille appelée , elle aussi, Catherine. Heathcliff  met en œuvre sa vengeance  démoniaque. Il épouse Isabelle,  la sœur d'Edgar, qu’il n’aime pas avec pour seule ambition de mettre la main sur la fortune des Linton. Il exercera ensuite  sa vengeance sur Hindley, frère de Catherine, sur Linton son propre fils et sur Catherine, la fille de Cathy.   
Ainsi vengé , Heathcliff , avant de mourir, accepte que sa

toute la communauté, même les absents y sont associés. Ce n'est pas une vengeance personnelle et arbitraire. La mise a mort est très codifiée. Le cannibalisme n'est pas une violence aveugle, mais une coutume où les affects/sentiments ne sont pas de mise et pris en charge par la société. 3 – Fonction et mise en perspective avec d'autres cas Ce n'est pas simplement pour se nourrir, mais pour « représenter une extrême vengeance ». C'est différent des Scythes (ensemble de peuples nomades, d'origine

nuisibles ou destructeurs, le rôle des lois est en effet de dire ce qui est nuisible à la vie en commun, à l’intérêt commun, à savoir aussi bien les crimes que la soif de vengeance. Les lois sont là pour maintenir l’ordre, permettre la coexistence pacifique des libertés. On peut même penser que c’est avec elles, que les notions de juste et d’injuste ( au sens de conforme au droit) sont apparues, avant cela c’est le fait et l’intérêt immédiat, égoïste qui triomphent. Platon associe même la politique à

est celui de la première scène de l’acte premier. Il s’agit du monologue d EMILIE qui a travers celui-ci apprends aux spectateurs la morts de son père le C Torianus et par ailleurs tuteur de AUGUSTE. En outre ce monologue laisse voir le désir de vengeance qu’a EMILIE et le dilemme auquel elle fait face notamment la difficulté de savoir s’il faille encourager CINNA son amoureux dans sa mission qui est de tuer AUGUSTE au nom de l’amour qu’il a pour EMILIE. SCENE2 Dans la scène 2 de l’acte premier

comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant une gifle (un « soufflet » dans le langage de l'époque). Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel. Chimène essaie de renier son amour et le cache au roi, à qui elle demande la tête de Rodrigue. Mais

a eu trop mal peut parfois être humainement impossible. Parce qu’aucune relation d’amour n’est exempte de blessures, La Rochefoucauld écrivait « on pardonne tant qu’on aime ». Le pardon est une action plus noble et plus exceptionnelle que la vengeance. Car se venger d’une offense, c’est se mettre au niveau de l’offenseur, alors que pardonner, c’est se mettre au-dessus de lui. Il existe aussi une autre forme de pardon à caractère plutôt « juridique », que l’on confond souvent avec l’excuse,