La Verité Desirable

qui est digne d'être poursuivi par soi, nous le nommons plus parfait que ce qui est poursuivi pour une autre chose, et ce qui n'est jamais désirable en vue d'une autre chose, nous le déclarons plus parfait que les choses qui sont désirables à la fois par elles mêmes et pour cette autre chose, et nous appelons parfait au sens absolu ce qui est toujours désirable en soi-même et ne l'est jamais en vue d'une autre chose. Or le bonheur semble être au suprême degré une fin de ce genre, car nous le choisissons

bien désirer c'est bien choisir son objet, donc développer une connaissance de ce qui augmente ou diminue ma puissance d'exister. Bien des personnes pensent que le désir naît d'un manque or le désir est toujours là en premier, les choses sont désirables par moi- même car je désire et c'est aussi moi qui choisis ce que je dois désirer ou pas. La leçon à retenir d'après Spinoza, est que le désir est comme une énergie productrice, une activité qui accroît notre joie, si elle vise le bon objet.

idées évoquées. Lien possible entre la deuxième et la troisième partie : Si ni la confiance, ni la défiance ne sont de mise face aux mots, ne faut-il pas instaurer avec eux un rapport de vigilance. 3Ème partie : trahir, c'est aussi exprimer une vérité. Conclusion Finalement, In fine Plan détailléNuméro de la partie en chiffres romains. Noms des sous-parties sous forme de phrase entière. Ne pas utiliser le stylo rouge. Compte rendu dissertation n°1 Orthographe c'est-à-dire

La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ? Ce sujet interroge sur le rapport que l’homme entretient avec la vérité, la connaissance mais aussi son évolution. Dans l’antiquité, la vie théorique contemplative étant présentée comme la vie la meilleure, la plus adéquate à notre nature d’homme. Mais déjà à l’époque Epicure revendiquait que la vérité ne valait pas pour elle-même mais « pour ses suites ». On peut rechercher la vérité pour elle-même mais le fait-on ? L’intérêt se réduit-il

La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ? RECHERCHE : c’est peut-être le terme le plus important de l’énoncé, qui porte sur une tension propre à l’homme. Si on recherche quelque chose, c’est qu’on ne l’a pas, et que cela crée en nous un certain manque. VERITE : la vérité, Idée au sens platonicien du terme, idéal vers lequel doit tendre l’homme, est fondamentalement liée à la raison, l’absence de passions, l’objectivité. Elle est posée comme étant une, universelle, atemporelle. PEUT-ELLE

est-elle toujours nécessairement désirable ? Certaines personnes répondront oui à cette question tandis que d'autres seront contre ce sujet. Dans mon cas, je répondrais : oui, car la liberté est quelque chose que tout être humain mérite et nécessite. Je vais, vous vous expliquez, particulièrement le libre arbitre, la liberté de spontanéité et la liberté du du sage. Ce sont des libertés différentes, qui vous prouveront que la liberté est nécessairement désirable dans la vie. Le mot "liberté"

Préférer à : aimer mieux. Préférer une chose, une personne à une autre. •vérité : La vérité concerne l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours. Qualité d'une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification

Le Désir Mimétique, un concept-clé de la pensée de René Girard par Jean-Michel Logeais       C’est vers la fin des années 1970 que j’ai commencé à lire René Girard. Deux livres l’avaient alors fait connaître : Mensonge romantique et vérité romanesque (1961) et La violence et le sacré (1972). Ces premières lectures m’ont durablement marqué. Depuis je n’ai cessé de lire et de relire une œuvre qui, au fil des années, s’est enrichie de nombreuses autres publications et surtout qui a bouleversé bien

« La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ? » La question nous invite à réfléchir à la notion de « vérité » et de ce qui la motive. Il faut donc, pour cela, s’interroger sur une possibilité et non sur une obligation : en effet, le verbe interrogatif est le verbe « pouvoir » et non le verbe « devoir ». Le terme « désintéressée » est un terme clé pour pouvoir répondre correctement au problème, cela suppose que la recherche de la vérité est toujours intéressée, auquel cas la question

[pic] [pic] « La science a-t-elle promis le bonheur ? Je ne le crois pas. Elle a promis la vérité, et la question est de savoir si l'on fera jamais du bonheur avec de la vérité. » Emile Zola Selon l’encyclopédie la définition du bonheur est : la réussite, le succès, la chance, l’état de la conscience pleinement satisfaite. La notion de bonheur a été développée au XVIIIème siècle par les philosophes des lumières. Qu'est-ce qu'un philosophe ? L'idée la plus générale