La Versification Ou Metrique

France la tradition du sonnet. De plus Marot semble avoir une prédilection pour les genres à forme fixe, hérités de la fin du Moyen Âge tels que les ballades, les chants royaux ou encore les rondeaux. Il est donc fidèle à des modèles spécifiquement métrique, mais ceci dit il n'exclut pas le renouvellement du contenu, voire de certains aspects formels de sa poésie. Alors chez Marot nous pouvons retrouver la coexistance du joyeux épicurisme et un penchant ascétique. Ainsi Marot « butine » ds cette tradition

synthétique. La musique est l’élément même qui rythme le poème et le fait vivre. Chaque poème possède sa propre musique. La Musique qui ressort dans les lectures est expressive grâce aux accents toniques, aux rimes…Mais le plus important est la métrique : elle définit l’allure générale du poème et même l’air sur lequel il pourrait être interprété. Le thème de la musique en lui même est peu abordé. C’est le moyen qui est le plus utilisé et le plus important dans un poème. Chaque sonorité relève de

des vers et des strophes alternance des sujets : 1 strophe −→ un sujet/un groupe qui fait un acte précis =⇒ description assez riche des faits et gestes de tout le groupe grâce à une forme d’expression plus libre, sans les contraintes ‘métriques’ de la versification. De plus, la longueur du poème donne l’impression que les faits décrits se sont déroulés sur une longue période. Clotilde 3 quatrains avec enjambements : 1 phrase par quatrain (−→ impression de fluidité, de continuité) dans chaque strophe

elles étaient en prose. Son but: la plus grande diversité que possible : dans le langage (mots bas au style noble, la burlesque, les proverbes), les sujets (animaux, hommes, dieux, allégories), le style, les techniques narratives, la métrique /versification (de l’alexandrin au trisyllabe), la technique narrative (dscours direct, discours indirect, discours indirect libre). A fait de la fable un genre classique, avant ce n’étaient que de la littérature didactique. La Fontaine = l’auteur classique

donner une traduction à dessein prosaïque et succincte. La plupart du temps, cependant, il sut se montrer simple, clair et même ingénu, dans des passages d'une exquise limpidité apparente. Apollinaire se souvint du passé littéraire : non seulement la métrique traditionnelle, mais la mythologie grecque, les réminiscences bibliques, l’Histoire et ses folklores, et tout un héritage poétique, du Moyen Âge à Ronsard et du romantisme (allemand et français) au symbolisme, à quoi s’ajoutèrent les souvenirs du

Analyser un poème en prose Louise Gérin Collège Jean-de-Brébeuf La nouvelle grammaire propose une grille de lecture fort utile pour analyser un petit poème en prose de Baudelaire, grille qui ne repose pas sur la versification traditionnelle, mais sur les multiples ressources syntaxiques de la langue. Dans cette forme brève, la division des paragraphes, la structure des phrases, les procédés d'énonciation prennent un relief particulier puisqu'ils ne sont déterminés par aucune règle et que le poète

l’élasticité métrique : 6, 8, 10, 12. Ce n’est pas véritablement le vers libre qu’il recherche, ce n’est pas la libération du souffle qu’il privilégie, mais le jeu entre régularité et irrégularité, ordre et désordre. Apollinaire joue notamment sur une hésitation de lecture : si ces vers sont libres on n’en compte pas les e muets, si ce sont des vers réguliers ceux-ci importent… Exemple : « Nous traversâmes des villes qui tout le jour tournaient » peut compter 12 syllabes (horizon métrique, mais au prix

que les romantiques prônaient le laid ou le grotesque comme une nouvelle forme de beauté), ils ont cherché l’impassibilité (alors que la poésie romantique avaient prôné le recours à l’Histoire), ils ont cultivé la forme poétique et la perfection métrique (tandis que les romantiques avaient mis le fameux ‘bonnet rouge au vieux dictionnaire’ et appelé à une poésie plus familière.) La poésie parnassienne cultive son gout de l’érudition et son souci d’élite. Le culte du travail et de la beauté

pour transmettre au publique des faits historiques et des mythes. les récurrences de la forme versifiée de la poésie orale leurs permettant de retenir le récit déclamé plus facilement. Longtemps la poésie fut associée à la versification et aux nombreux codages (comme la métrique, la rime, les formes fixes…). Mais au XIXe siècle elle cherche a s’en dissocié le poème est plus libre, la ponctuation est souvent absente, de nouveaux thèmes apparaissent… II. Biographie De Baudelaire : Charles Baudelaire

premiers vers forment une unité syntaxique : une phrase, dt la syntaxe simple, Verlaine respecte l’ordre habituel des groupes ( S, Vbe, Cment): v1: sujet / v2 : verbe + CCL / v3 et 4 : COD. CCL : Parfaite adéquation entre la syntaxe et la versification d’où une très grande fluidité de l’énoncé et une phrase qui suggère une grande harmonie, notamment entre le paysage et l’état- d’âme dans un jeu de miroirs. Par ailleurs, ce paysage plus que décrit est rendu présent par la personnification