La Versification Ou Metrique

Image du loup qui, tel un boucher méthodique, couperait le chien en quartiers (V.5) Image du loup qui pleure de tendresse en imaginant son futur bonheur! (V.31-32) = contraste avec la représentation traditionnelle du loup féroce. Versification en vers libre donne rythme et vivacité, aucune monotonie : rimes plates et vers courts au début puis rimes embrassées avec alternance alexandrins/octosyllabes, enfin rimes croisées au rythme + irrégulier. II. Des animaux humains Traits de

sont évoqués selon des tonalités nuancées et adoucies ; c’est pourquoi le nom « Aquarelle » fut choisi pour le titre de cette section. 5.Il y a une diversité incontestable dans ce recueil ; en terme de métrique des vers et dans le nombre des strophes. En effet chaque poème à sa versification propre. Aucun poème ne se ressemble; ce qui créer une grande diversité dans ce recueil. Par exemple Ariette I comporte 7 syllabes dans chaque 18 vers qui sont eux divisés en 3 sixains alors qu’Ariette II

suit les règles de la poésie classique. En effet, « La jeune Tarentine » est un poème au rythme régulier car composé de 30 vers qui sont tous des alexandrins avec une césure à l’hémistiche et provoquant parfois des enjambements. L’emploi de cette métrique le désigne d’ailleurs plus comme un ouvrage littéraire à scander. Les vers se terminent par des rimes suivies (ou plates) tantôt féminines et tantôt masculines plutôt suffisantes dans leur richesse, la présence de nombreuses figures de styles (comme

se plie à un genre et aux règles qui sont propres à ce genre, lesquelles peuvent le mener, à force d’exercices, à la perfection. Ainsi Racine, en dépit d’un très faible corpus de mots, parvient-il, par l’entremise d’une connaissance solide de la métrique et de la prosodie, à susciter des émotions tout aussi fortes que lors d’un représentation du Roi Lear de Shakespeare, où le vocabulaire est pourtant autrement plus riche. La contrainte est le marchepied de l’excellence, cette résistance sur laquelle

(idée, thème, objectif, intérêt...)Annoncer clairement un plan: axes d'étude ou plan du texte dans le cas d'une étude linéaire. |    |    |    |    | LECTURELecture expressive, posée, montrer que l'on a compris le texte. Poésie: respecter la versification. |    |    |    |    | DÉVELOPPEMENTProposer des pistes d'étude valables-pertinentes, (permettant de commenter l'essentiel de ce qui fait l'intérêt du texte, sans oubli) -distinctes et complémentaires (pas de redites)Proposer une étude structurée-Remarques

cet idéal obsédant ». Mais le passage d’un alexandrin canonique (« À la fin tu es las de ce monde ancien ») aux vers en bordure de verset dans « Zone » d’Apollinaire en représente un autre emblème. De la prose aux vers libres mais aussi aux vers métriques, la diversité des écrits d’Aragon finissant par reconnaître « J’ai plus parlé de toi Paris que de moi-même », montre cependant qu’aucune forme n’est imposée, et que l’opposition entre formes dites « traditionnelles » et modernité apparente du thème

Anciens. Citons encore les Héroïdes d’Ovide, et l’Énéide de Virgile, en particulier Les Amours de Didon et Énée. Réception[modifier] Tout dans Phèdre a été célébré : la construction tragique, la profondeur des personnages, la richesse de la versification et l’interprétation du rôle-titre par la Champmeslé. Contrairement à Euripide dans Hippolyte porte-couronne, Racine fait mourir Phèdre à la fin de la pièce, sur scène : elle a donc eu le temps d’apprendre la mort d’Hippolyte. Le personnage de Phèdre

manteau, l'autre de l'épée du héros et l'accusent faussement.1 ------------------------------------------------- Réception[modifier] Tout dans Phèdre a été célébré : la construction tragique, la profondeur des personnages, la richesse de la versification et l’interprétation du rôle-titre par la Champmeslé. Contrairement à Euripide dans Hippolyte porte-couronne, Racine fait mourir Phèdre à la fin de la pièce, sur scène : elle a donc eu le temps d’apprendre la mort d’Hippolyte. Le personnage de Phèdre

comme les Elégies  (posthume, 1844) de Chénier et les Méditations poétiques  de Lamartine. La poésie lyrique est si diverse que l’on ne saurait en définitive lui attacher de versification particulière. Elle se caractérise plutôt par une extrême variété formelle qui contribue largement à faire évoluer les ressources de la métrique. Mais c’est sans doute l’octosyllabe qui apparut longtemps comme le vers le plus propice à l’expression  mélodieuse de l’inspiration lyrique. On observera par ailleurs que

 Initiation à la versification française 1- Le vers : Maurice Grammont[1] définir le vers comme : « un élément linguistique comptant un nombre déterminé de syllabes, dont certaines sont obligatoirement accentuées et dont la dernière assone [ou rime] avec la syllabe correspondante d'un ou de plusieurs autres vers. » On identifie les vers par le nombre de syllabes (de pieds). Nous verrons ici les vers les plus courants dans la poésie française : - L’alexandrin : il tient son nom