La Vie Des Bêtes

l’impression d’une certaine proximité. René Char apporte plusieurs références à la vie du poète, particulièrement dans le premier paragraphe. Il évoque « ses dix huit ans », « sa famille […] un peu folle » et dresse ainsi un constat de la situation de Rimbaud au sortir de l’enfance. Il énumère ce qui, dans cette situation, ne correspondait pas plus à l’idéal auquel il aspirait. L’auteur ne se réfère pas simplement à la vie d’Arthur Rimbaud, il s’inspire de son style. Il est premièrement apparent la

rapide du corps des poulets contrairement à la croissance du cœur et des poumons. Commentaire Cet exemple démontre l’ampleur de la mortalité des poulets causé par la course à l’efficacité qui néglige les conditions de vie des animaux. Même s’il convoque l’industrie agricole de l’Union Européenne, ce nombre démontre une bonne idée de l’envergure des statistiques dans d’autres pays comme les États-Unis, le plus grand producteur de volailles du monde . Étrangement, cet

familles et vos viles vies. » (l.7-8). Nous voyons dans cette progression que la dépossession du peuple touche d’abord au domaine pécuniaire, puis à leurs propriétés et à leurs biens. Elle s’attaque ensuite à la sphère domestique et, enfin, à leur vie elle-même. La dépossession du peuple est donc totale. E. de la Boétie ne manque pas de souligner l’attitude paradoxale du peuple qui parait prendre plaisir à livrer ainsi leur existence au tyran : « […] et semblerait que, désormais, ce vous serais grand

profiter (travailler dignement et non plus en esclaves, avoir des loisirs, vivre plus longtemps, etc.). -Possibilité d’une révolution contre le fermier, M. Jones, la source de tous leurs problèmes. -Apprentissage du chant révolutionnaire intitulé « Bêtes d’Angleterre » III-Péripéties : 1-Décès de sage l’Ancien pendant son sommeil, trois jours après la convocation des animaux de la ferme. 2-Révolution des animaux contre le propriétaire M. Jones et ses ouvriers agricoles lors d’une journée où ils

ouvrière des « bêtes fauves » (l.17) aux « mâchoires de loups, ouvertes pour mordre » (l.29) dont les pieds sont devenus de « gros sabots » (l.30) et vouée à retournée à « la vie sauvage dans les bois, après la grande ripaille » (l.32). ZOLA s’attache donc à animaliser la foule révoltée et en montrer toute la fureur et le désarmement. Grâce à la construction de ce tableau animal, ZOLA attribue à ce texte la valeur d’une dénonciation sociale entre les conditions de vie de la classe ouvrière

vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes; il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage. Cependant, comme il y a plus de soixante ans que j'en ai perdu l'habitude, je sens malheureusement qu'il m'est impossible de la reprendre, et je laisse cette allure naturelle à

dérobant le feu (car, sans le feu, il n’y aurait moyen pour personne d’acquérir ce génie ou de l’utiliser); et c’est en 40 procédant ainsi qu’il fait à l’homme son cadeau. Voilà donc comment l’homme acquit l’intelligence qui s’applique aux besoins de la vie. Mais l’art d’administrer les Cités, il ne le posséda pas! Cet art en effet était chez Zeus. Mais il n’était plus possible alors à Prométhée de pénétrer dans l’Acropole qui était l’habitation de Zeus, sans parler des redoutables gardes du corps que

il venait au village . Il était stérile et il est mort à Safi devant sa boutique . Sa veuve s'est remeriée et a eu des enfants. ==> LES CHAPITRES  Chapitre 1: Un vieux couple dans un village reculé Le vieux couple, Bouchaib et sa femme, menait une vie au milieu des ruines hantées par les reptiles et les animaux sauvages dans village montagneux au Sud du pays. Après plusieurs périples au Nord et dans une partie de l'Europe, l'homme y avait éludomicile. C'est un bon croyant et fin lettré qui possédait

| |Illustration 1.1 |Illustration 1.2 | |« Et après qu’il eut fini sa dite harangue, nous lui montrâmes une |« Y a-t-il une vie plus agréable que celle d’un nombre infini de | |hache, feignant de la lui bailler pour sa peau. À ceci il acquiesça et |gens riches à qui rien ne manque ? Ils ont de beaux carrosses, de | |peu à peu s’approcha du bord de notre navire, croyant avoir

lieu saccagé Par la griffe et la dent féroce de la femme. Ne cherchez plus mon cœur ; les bêtes l'ont mangé. Mon cœur est un palais flétri par la cohue ; 10 On s'y soûle, on s'y tue, on s'y prend aux cheveux ! Un parfum nage autour de votre gorge nue !... Ô Beauté, dur fléau des âmes, tu le veux ! Avec tes yeux de feu, brillants comme des fêtes, Calcine ces lambeaux qu'ont épargnés les bêtes ! Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857. C. Le rendez-vous perpétuel J'écris