La Vieillesse Sagesse

Mme Geoffrin est important. Marmontel l'évoque ainsi dans ses Mémoires, non sans quelque condescendance : «Assez riche pour faire de sa maison le rendez-vous des lettres et des arts, et voyant que c'était pour elle un moyen de se donner dans sa vieillesse une amusante société, et une existence honorable, Mme Geoffrin avait fondé chez elle deux dîners, l'un (le lundi), pour les artistes ; l'autre (le mercredi), pour les gens de lettres ; et une chose assez remarquable, c'est que, sans aucune teinture

pouvons rappeler que c'est un père âgé, « la seurté de ma vieillesse » écrit-il, et rompu à la guerre, qui écrit à son fils alors encore jeune. Et ces héros, que sont le Frère Jean des Entommeures et Gymnaste, sont jeunes et sans autres responsabilités que leur personne. C'est pourquoi leur action louable est de type carnavalesque, où un homme seul peut en battre cent, et non humaniste comme cette lettre à Gargantua. La sagesse de la vieillesse est aussi prise en compte par Rabelais, malgré l'époque

temps que l’homme goutera le bonheur de la vie. La vie est riche (« garnie de telles circonstances »), adaptée à notre usage ; c’est la nature elle-même « qui nous l’a mise entre les mains ». Certes la vie a un défaut : elle nous achemine vers la vieillesse (« en son dernier décours ») et la mort : il faut « [se] compose[r] à la perdre », mais la mort est un attribut de la vie (« elle est perdable de sa condition »). Montaigne souligne longuement par une l’antithèsel’opposition entre le plaisir de

« coutume ». (Il faut saisir l’occasion pour tordre le cou à l’idée que Nicole a systématiquement supprimé le terme « imagination » : on trouve  deux fois le substantif en 1670, et trois fois en 1678, et une fois l’adjectif « imaginaires »  (« les sages imaginaires » ) : ce qui renforce l’idée d’une différence sémantique claire entre « opinion » et « imagination » dans l’esprit de Nicole). Par la suite, le chapitre s’intéresse aux autres puissances trompeuses : le comité respecte l’ordre du manuscrit

§ 1, 2 , 3 NB il n'est à aucun moment question d'un au-delà, d'un paradis. Il n'y a aucune transcendance. En revanche il y a l'idée de la transmigration des âmes qui vient de l'Antiquité et qu'on trouve chez Platon (la métempsycose) : § 3"ma vieillesse refleurir en ta jeunesse", "je passe d'un lieu à un autre" "en toi et par toi, je demeure en ma forme visible en ce monde"" , § 5 "te laisser après ma mort comme un miroir me représentant". Par ailleurs il semble bien (§2) que l'Histoire permette

valeurs collectives. II. Le héros comme figure exemplaire 1) Humanisation du héros a) Les limites du héros Guillaume se perd auprès de Guibourc (§200) ; Vivien se perd au combat. La blanche barbe est associée à la fois à la sagesse, puisque signe de vieillesse, mais également à la faiblesse (idem pour Charlemagne dans la Chanson de Roland) + Humiliation du héros à Laon. Les petits ont faim : Guiot / Renouart a faim mais ce n’est pas la même faim. La démesure de ces héros peut être négative

dans les airs) et se construire afin de trouver « sa vérité d’existence». Ainsi il affirme « Plutôt que l’amour, que l’argent, que la foi, la célébrité, que la justice…donnez-moi la vérité ».  Grâce à ce voyage en pleine nature, il acquiert de la sagesse. De ce fait, il déclare « Dorénavant j’apprendrai à accepter mes erreurs, aussi grandes puissent-elles être » et « Quand on pardonne, on aime. Quand on aime, la lumière divine descend sur nous ». De plus, il s’adonne à une philosophie de vie : « J’ai

son environnement seul aurait pu suffir. Sixième, septième, huitième et neuvième phrases : Notre personnage est comme le négatif de la fête puisque chacun des verbes qui reprend les actions de la foule est ici associé avec une négation : la vieillesse, c'est d'abord le renoncement progressif à tout ce qui donnait de l'intérêt à l'existence. Au bout du compte, on est «muet et immobile », on a renoncé à toute communication, à tout mouvement, ce qui est déjà un peu l'image d'un cadavre. Les 2 dernières

pose et illustre la notion de vertu. Intérêt commun. Critique sévère des méchants Troglodytes dominés par leurs passions égoïstes. Tableau patriarcal des familles vertueuses. Lettres 15 à 23 : Voyage jusqu’à paris. Usbek est parti chercher la sagesse. Lettre 16 -> état d’allégeance au mollak Méhemet-Ali, la suivante fait état de doutes. Philosophe de la relativité des mœurs avec le droit pour chacun de suivre l’appréciation de ses sens : renversement des points fondamentaux de la Loi. Les doutes

-2 Numa Pompilius : (715-673 av J-C (~42 ans)) d’origine sabine. Il était connu pour sa justice, sa sagesse et sa religion dont il établit beaucoup de rites. Il établit également un calendrier en douze mois, les jours fastes et néfastes et les portes de Janus, signe de paix et/ou de guerre. Ce fut un roi très pacifique car tout au long de son règne il n’y eu aucunes guerres. Il mourut de vieillesse. image> -3 Tullus Hostilius : (672-641 av J-C (~32 ans)) d’origine romaine. Roi belliqueux