La Violence Au Cinéma

choisir Contraintes et libertés, avant d’opter finalement pour Réalités, représentations, puisque ce thème se rapproche davantage de notre idée d’aborder le cinéma. Les deux disciplines qui ont servi à notre dossier sont Cinéma-Audio-visuel et l’Histoire. En effet elles conviennent totalement avec notre sujet du faite que nous avons traité de la violence et des répercussions de Fantômas à Paris, dans la société de son époque, particulièrement en 1913 au moment où apparût la série « Fantômas ». Avant que

Projet d'animation culturelle Les métiers du cinéma Du 07/05/2014 au 21/05/2014 Sommaire : I- LA STRUCTURE : 1 1. Historique : 1 2. Situation géographique : 1 3. Statut juridique 2 4. Public accueilli 2 5. Objectifs principaux 3 6. Moyens 3 7. Partenaires institutionnels 3 II- L'ACTION D'ANIMATION 4 1. Présentation du public concerné 4 2. Introduction à l’action d’animation : 6 3. Objectifs et critères d'évaluations 7

Mañas est un réalisateur, scénariste et acteur espagnol né en 1966 à Madrid. Il est considéré par beaucoup comme étant l’un réalisateur les plus remarquables de la jeune génération du cinéma espagnol. Il part à New York étudier le théâtre. Il suit tout d’abord les pas de sa mère, l’actrice Paloma Lorena dans le cinéma. Sa carrière de comédien débute en 1992. Il se tourne ensuite vers la réalisation avec des courts-métrages, et reçoit ses premières récompenses en 1996 pour “Metro” et “Cazadores”. Il

1. Tout d’abord, pour bien comprendre le cinéma burlesque à proprement parler, il faut savoir qu’il est arrivé dans les années 20 et qu’il est une forme d’évolution du «slapstick», cinéma de courts métrages très chaotique et violent. Le cinéma burlesque de longs métrages, à partir de 1919, est différent du «slapstick» sous plusieurs angles, mais partage certaines caractéristiques en ce qui concerne le public visé d’ouvriers et le message qu’on veut passer. Ce message a pour but de critiquer

Le film, dont l'action se déroule sur la frontière entre le Texas et le Mexique, relate les derniers jours d'une bande de bandits tentant d'exister dans un monde moderne qui ne leur correspond plus. Controversé à cause de sa violence, il est célèbre pour sa mise en scène très dynamique et complexe, utilisant des effets de multi-angle, des plans très courts et des ralentis alors révolutionnaires en 1969. Présenté par Peckinpah comme étant « simplement ce qui arrive quand des tueurs se rendent au

le célèbre Quentin Tarantino avec son Boulevard de la mort (Death Proof) dont le but a été de faire revivre le cinéma Grindhouse des années 70, typique d’un cinéma américain plutôt underground et décadent mêlant des scènes gores, du grotesque et des stéréotypes, le tout en ‘double feature’ (projeté l’un après l’autre). Ce dyptique est désormais un des rappels fondamentaux du genre du cinéma d’exploitation basé sur le film d’horreur/gore old school bien qu’évidemment déjanté et propre à chacun des réalisateurs

deux univers ne furent pas des plus simples. Retour sur l’une des grandes questions qui divisa et continue encore de diviser les féministes.    *********               Dès les années 70, l’arrivée massive des films pornographiques dans les salles de cinéma, sur les écrans de télévision, puis leur consommation accrue et décomplexée, n’échappait à personne. Et surtout pas à l’État français qui choisit, dès 1975, d’attribuer l’étiquette X à ces productions controversées. De leur côté, les militants et

b) « La nuit des morts-vivants » 6 III. L’âge d’or du cinéma horrifique 7 a) Les troubles des années 70 7 b) Le déclin 8 IV. Le tournant des années 2000 9 a) L’ennemi a nos portes 9 b) Le torture porn 11 Partie II. L’horreur en Europe. 14 I. L’Espagne 14 a) Petit retour en arrière 14 a) Le pays de Jack L’éventreur 15 b) Que la peur soit avec toi 15 Conclusion 17 Bibliographie 18 Introduction Le cinéma d’horreur, messager d’une vision politique et sociale du

Le cinéma dispose d’une puissance de conviction jamais égalée dans l’histoire de l’art. Quand on parle de cinéma, on est obligé de prendre en compte le pouvoir qu’il a de transmettre et d’avancer des idées, des réflexions sur le monde. Qui, certes, peuvent se retrouver dans bien des formes d’art mais qui sont bien souvent beaucoup plus faciles à percevoir dans ce qu’on appel le 7 ème art. Une personne plus cultivée que la moyenne et intéressée par l’art, vous dira, ampli de vanité, que le cinéma

partie « Meurtre n° 10 » que j’ai choisi de présenter. 1968 a été l’année de émeutes et des grèves (le célèbre Mai 68). A cette époque en France, toutes les classes de la population se révoltaient. La violence et les conflits étaient quotidiens. En 1968 aux Etats-Unis, il y a eu aussi beaucoup de violences : envers les noirs avec l’assassinat en avril de Martin Luther King, grand pacifiste et défenseur des droits des noirs, et celui de Bob Kennedy en juin, frère du célèbre président John Fitzgerald Kennedy