La Violence Est Elle Justifiable

fait de leur vulnérabilité. Elle a donc condamné pénalement et civilement le prévenu pour agressions sexuelles aggravées. Or le prévenu se décharge de ses responsabilités en déclarant que le délit d’agression sexuelle qui se constate par l’usage de violence, contrainte, menace ou surprise ne peut se déduire du jeune âge des victimes alors que cet élément ne constitue qu’une circonstance aggravante. Donc la cour d’appel aurait privé sa décision de base légale. La cour de cassation est alors amenée

spécialiste et à l’expert, elle est conférée sinon transmise à ceux désignés par ses détenteurs. L’autorité est d’autant plus forte qu’elle est symbolique, ne se justifie pas et n’est pas justifiable. C’est pourquoi, l’autorité déléguée, cas de figure qui ne souffre que quelques exceptions, parce que justifiable est de nature différente. Création de son tutélaire, et non pas titulaire en propre de l’autorité, celui à qui cette dernière est déléguée doit gagner sa légitimité. La légitimité L’attitude

un politicien, etc.) Vous débattrez par groupe de trois ou quatre. Le jour du débat, vous aurez le choix entre deux sujets tirés au sort. Vous aurez 15 mn pour préparer avec votre groupe le sujet du débat. 1. Un acte terroriste peut­‐il être justifiable? Est-ce que pour une cause, aussi juste soit-elle, on peut tuer des innocents, avancer la main meurtrière ? yes (FLN ; no other option) – no (ethical opposition to killing innocent people) – sometimes/depends on situation (like french soldiers

opposés et semblables à la fois. En effet, Tamango et le capitaine Ledoux sont tous deux des trafiquants de chair humaine. e) Lecture et explication d’un passage caractéristique du livre Une nuit, la mer était agitée, le vent soufflait avec violence, et l'obscurité était si grande, que de la poupe on ne pouvait voir la proue du navire. Ayché était couchée sur un matelas dans la chambre du capitaine, et Tamango était assis à ses pieds. Tous les deux gardaient le silence depuis longtemps. “Tamango

d'eux se sont transformés en déesses du remords. Oreste et Electre se réveillent dans le sanctuaire, le lendemain matin, et Electre est horrifiés par ce qui s'est passé. Elle rejette Oreste, en disant qu'il a apporté la culpabilité sur elle par sa violence. Le Mouches harcèlent Electre qui se livre à leurs tortures pour échapper à sa culpabilité. Jupiter entre en promet à la fratrie qu'il leur donnera le salut et le trône d'Argos s'ils se repentent de leur crime. Oreste refuse. Jupiter dit à Oreste

autre par l’entrée ou la sortie d’un personnage mais ici le Père Ubu effectue cette transition en « défonçant la porte » suivi d'une légion de « grippe-sous ». On notera la violence de cette entrée du personnage, qui est peut-être un clin d’œil comique du dramaturge aux conventions du théâtre occidental. D'autre part, la violence physique du Père Ubu à une place assez importante et se laisse apercevoir à deux niveaux. Premièrement, dans le récit des paysans de la scène III, où ils rapportent les meurtres

jusqu’à s’ingérer, grâce à la Constitution, dans les libertés individuelles. Bien sûr, cette prohibition, largement soutenue par les femmes et quelques pasteurs, avait un but noble à la base : vise à améliorer les conditions de la femme victimes de violences conjugales dues à l’alcoolisme. Cette prohibition donc, amendée grâce à un soutien populaire, empêchera les personnes vivant aux États-Unis d’avoir accès à des boissons alcoolisées. Cet amendement pourrait être vu comme brimant les libertés individuelles

notamment grâce à l’élection de Obama de 2008 ? Mais faut-il toutefois être optimiste ou espérer plus pour le futur ? Pour l’auteur, il reste encore des failles bien visibles telles que l’obésité inquiétante, la dette impressionnante, ou les drogues, la violence, le laxisme sur la sécurité intérieure en particulier avec la permission du port d’armes dans les écoles etc. Mais contrairement aux autres pays de l’Occident, les Etats-Unis ont bien intégrés le processus d’immigration comme un des fondements du

plus problématique et nous amenant à nous poser la question des limites de la tolérance. VI) Anticipation des conséquences négatives liées aux réponses possibles à la question-sujet : Nous en venons donc à identifier deux postures intenables ni justifiables qu’il nous faudra repousser : En effet, si j’admets qu’on ne doit rien tolérer, alors nous tomberons dans le piège de l’intolérance. Nous n’accepterons pas ce qui est différent de notre propre culture, et chercherons à homogénéiser les pratiques

gouvernail... donc le pouvoir = le recours à la violence d’Etat pour mater une rébellion = la nation • D’où il ressort une idée de l’Etat relativement convenue : en temps de guerre, le peuple est composé de brutes indisciplinées, les officiers sont corrompus, le gouvernement est “faible” et conduit la nation à sa perte. En somme, la thèse de Créon pourrait se formuler ainsi : la nécessité de sauver la nation passe avant tout, et légitime le recours à la violence, qui n’a pas à être justifiée. • Lien évident