La Violence Et L Insécurité

d’insécurités. Tout d’abord nous aborderons la notion du terrorisme. En effet les grands conflits entre nations ont laissé place à un nouveau type de menace pour de nombreux pays, le terrorisme. On peut définir le terrorisme comme un ensemble d’actes de violences commis par une organisation pour créer un climat d’insécurité ou pour renverser le gouvernement établi. Depuis les années 1990 ont voit apparaitre de nouveaux groupes terroristes comme l’Euskadi Ta Askatasuna (ETA) qui sévira sur le territoire

l’intégrité physique, psychique ou aux agressions sexuelles, l’emploi courant du mot « maltraitance » va de paire avec la mesure de ce phénomène et les actions engagées pour lutter contre celui-ci. À la fin des années 1980, il désigne les formes de violences faites aux mineurs. La commission Jacques Barrot, commission préparatoire à la loi du 9 juillet 1989, a proposé, en décembre 1988, une première définition de la maltraitance : On désigne communément sur le vocable d’enfants maltraités : « les

circulation des capitaux et la baisse des coûts de l’information (A) . Cette nouvelle phase de globalisation induisit des mécanismes automatiques de rejet qui se traduisirent par une relocalisation des identités (B) , laquelle généra de nouvelles formes de violence que les instruments de contrôle internationaux ne parvenaient plus à endiguer (C). Démocratie libérale et économie de marché On parlait d’une guerre pour la conquête de « l’empire du monde » ( Raymond Aron ) entre deux entités étatiques

mental : ◦ Conséquences : Peur de l’exclusion, de mal faire, objectifs non atteints ◦ Souffrance : angoisse, perplexité, impuissance Violence morale : ◦ Conséquences: Harcèlement moral : on parle de « victimisation » ◦ Solitude et de la désolation   Pouvoir  Plus d’autonomie pour les employés, mais plus de responsabilité ◦ Conséquences : pression et insécurité professionnelle ◦ Risque de sanction et de culpabilisation Manifestations principales : ◦ Conséquences : Stress  bouleverse la santé

mill d'habs. Cette explosion démographique frêne le dvpt car les pays du Sud, les PED ont des difficultés à nourrir leur population, à les loger, à les soigner, à les éduquer, à leur fournir du travails et ces difficultés engendrent souvent une insécurité ds le pays. B/ La population est de + en + urbaine 2010=51% / 2050 = 70% PED - 25 à 30% PID - 70 à +80% le taux de ruralité dans les PED est élevé. Dans les PID, le tx d'urbanisation est peu élevé mais les populations rurales

politique : La réforme agraire qui est le transfère d’ici 2014 de 30 % des terres détenue par les blancs au peuple noirs INSECURITE Forte progression de la criminalité et du VIH. Crime en hausse et omniprésent L’AF est (l’un des pays le plus dangereux avec l’Irak et la Colombie) Incidences : 2008 vagues contre l’immigration des pays voisins, qu’on accuse de voler les emplois Grosses violences. Meurtres pillages lynchage. Citographie http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/pays/ZAF/fr.html http://fr

métropoles de plusieurs millions d’habitants. Si les sociétés du Nord, qui font face au problème dès le XIXe siècle sont arrivées à maîtriser le processus, il n’en n’est pas de même dans les pays du Sud, espaces au faible développement, confrontés à la violence du phénomène d’urbanisation. La gestion des espaces urbanisés est problématique car les moyens font souvent défaut. Comment caractériser le l’urbanisation des pays du Sud ? En quoi le phénomène illustre-t-il les disparités de développement ?

raison de leur croissance extrêmement rapide et incontrôlée. Les bidonvilles n'ont souvent pas accès à l'eau courante, à l'électricité ou aux égouts. Les bidonvilles regroupent des populations pauvres qui se tournent vers la violence et les trafics qui génèrent une insécurité importante. Le gigantisme des métropoles crée des problèmes de conditions de vie : pollution importante de l'air, saturation des transports, embouteillages. Les villes n'ont généralement pas les moyens de répondre aux besoins

d'une vie collective par la production de certaine règle. Les philosophes des Lumières ont tenté de décrire des sociétés sans notions de droits. Ces sociétés se caractériserait par une domination par la force physique ou règnerait une totale insécurité où le pouvoir serait basé sur la force d'autrui. Rousseau, dans son essai "le contrat social" , a prouvé qu'une société sans droits permettrai à l'homme de jouir d'une liberté absolue mais il démontre que cette liberté absolue empièterait

délivré de la contrainte et de la violence exercées par autrui » : la loi contraint chacun à respecter les droits inaliénables de tous. Cependant, si la loi est ressentie comme contraignante, permet-elle vraiment l'existence de la liberté ? A quelles conditions peut-on concilier contrainte et liberté ? [B. Obligation et contrainte] Dire que la loi est contrainte, c'est considérer qu'elle va à l'encontre de la volonté de l'homme. Mais si l'absence de loi génère insécurité et risque de perdre ses droits