La Voix du silence

annoncée par quelques signes que relève DG à l'approche de la mort de sa maîtresse : "mains froides et tremblantes", "la voix faible", "soupirs fréquents", " le silence", "le serrement de ses mains" (allitération en "s"). Les efforts de M. pour s’exprimer se réduisent à une annonce à laquelle DG n'accorde en premier temps pas d'importance, rapportée au style direct : ("elle me dit, d'une voix faible, qu'elle se croyait à sa dernière heure"). Puis les efforts de M.L. sont traduits par des expressions et des

Et pour ceux qu'on fera, Pour le poing qu'on a levé, Pour celui qu'on lèvera. Pour un idéal, Pour une utopie, Allons marchons ensemble Enfants de la patrie. Fils de France Ça pour baisser la tête, ah oui ça, j'aime bien les minutes de silence. Fils de France C'était à peine hier et déjà tu brandis le drapeau de l'ignorance. Fils de France Nous n'oublierons jamais que nous sommes et serons les fils de la résistance. Fils de France Au royaume des aveugles, tu sais bien ce qu'on dit

la vertu », répond Tamino. Il ne cherche plus seulement Pamina, mais se situe sur le plan d’une recherche personnelle sur les grands mystères de l’existence. Cependant, il pense toujours que Sarastro a enlevé Pamina et le prêtre, qui a fait vœu de silence, ne peut le détromper, mais lui annonce qu’elle est toujours vivante. Mais le son des trompettes, ainsi que le chœur, annoncent l’arrivée de Sarastro : « Vive Sarastro, vivat », ce qui n’est pas sans nous rappeler la batterie. Papageno tremble de

"Il t'a trahit Annabelle". Mais, Je vis à travers mes silences incessants, alors que dans le fond je crève, oui je coule tout au fond de moi à ne plus savoir vivre avec tous ces mots, tous ceux que tu attends. Tu voudrai comprendre, et j'aurai aimé te dire. Oui, trouver un seul mot à mettre sur ce que je ressent pour que tu comprennes ..Si seulement j'avais su parler. Mais tu vois ce qu'ils ont fait de moi ? Je ne suis qu'une fille sans voix, sans mots, sans coeur.. Oui dans le fond, c'est ce qu'il

Imitaient son silence, autour de lui rangés ; Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes ; Ses superbes coursiers qu’on voyait autrefois Pleins d’une ardeur si noble obéir à sa voix, L’œil morne maintenant, et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond

sabots crisse. En approchant, il voit que la flamme du foyer projette une ombre rousse sur les vitres de la grande salle. Arrivé contre la porte, il la heurte du poing, sans marquer d’hésitation. -…Entrer…dit une voix à l’intérieur. Il pousse la porte, elle résiste. -Entrez…répète la voix en se faisant plus rude…Poussez de l’épaule, on dirait que cette maudite glace veut tout pour elle. D’une lourde jetée d’épaules l’homme repousse le panneau de chêne qui craque puis cède. La salle de ferme apparaît

« il arrête ses coursiers », « saisit ses javelots », mais aussi de celle des chevaux, « d’une ardeur si noble », « la tète baissé », « semblaient se conformer a sa triste pensée », « le crin c’est hérissé », « il ne connaissent plus ni le frein ni la voix » (v.6-15-37-55) et des témoins : personnification du ciel « le ciel avec horreur voit se monstre sauvage», personnification de la terre : « la terre s’en émeut», l’air : « l’air en est infecté » et le flot : « qui lui apporta recule épouvante » (v

mauvaise ? ANTIGONE, soudain grave. Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE Tu avais un rendez-vous, hein ? Dis non, peut-être. ANTIGONE, doucement. Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE Tu as un amoureux ? ANTIGONE, étrangement, après un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amoureux. LA NOURRICE, éclate. Ah ! c'est du joli ! c'est du propre ! Toi, la fille d'un roi ! Donnez-vous du mal ; donnez-vous du mal pour les élever ! Elles sont toutes les mêmes ! Tu n'étais pourtant

C'était son adversaire. Il le vit très bien, mais il ne pensait à rien qu'à ceci : « Quand on commandera feu, j'élèverai le bras et je tirerai. » Une voix résonna dans legrand silence de l'espace, une voix qui semblait venir de très loin, et elle demanda : - Êtes-vous prêts, messieurs ? Georges cria : -Oui. Alors la même voix ordonna : - Feu ! Il n'écouta rien de plus, il ne s'aperçut de rien, il ne se rendit compte derien, il sentit seulement qu'il levait le bras en appuyant

voulais t'envoyer une lettre, mais... le temps m'a rattrapé, encore une fois. Hanna: Ce n'est pas grave, je ne t'en veux pas. Le principal c'est que tu ailles bien et que tu sois là. Moi: Hanna, tu ne me le présentes pas ? Je m'exclamai de vive voix afin d'avoir l'attention de la jeune fille ainsi que de Matt qui ne cessait de me fusiller des yeux. Je m'avançai vers eux en brisant l'ambiance familiale tout en souriant malicieusement. Hanna: Yanis, je te présente Matt, mon frère. Moi: On