La Voix du silence

rencontrez une personne pour la première fois, vous vous faites, dans la minute, une certaine idée d’elle Exercices : Observation de deux photos de groupe La communication paraverbale Intonation, élocution, volume de la voix, débit, pauses, silences, la respiration Les silences font intégralement partie de la communication car ils expriment quelque chose. - colère contenue - temps de la réflexion - peur n’avoir rien à dire ou d'oser prendre la parole - incompréhension ou scepticisme - incapacité

enfants à feuilleter un livre. - Etablir des liens entre des livres. - Comparer des histoires qui ont des point communs (mêmes personnages, mêmes univers) - Faire des hypothèses sur la contenu d'un texte au vu des images l'accompagnant. - Ecouter en silence un récit facile mais plus étoffé que l'année précédente. Images pages 1-21 ; Texte p 1 - 21 SEANCE 4 45 mn DECOUVRIR L'ECRIT/ LANGAGE Se familiariser avec l'écrit • initiation orale à la langue écrite • échanger s'exprimer - Compréhension plus

projecteurs le buisson de ronces et on l’entendrait dire : « Attention ! tu vas déchirer ta jupe. ». Au même temps il montrerait du doigt l’obstacle. Elle se serait écartée sans dire un mot, comme le dit le texte. Puis un silence. Pause. Deuxième partie : On n’entendrait « l’écho » de la voix du garçon une fois puis à partir de la deuxième fois, elle commencerait à se déformer et à ressembler au bruit des abeilles, bourdons et mouches. Pause. Troisième partie : On entendrait le bruit d’un ruisseau

l'exposé, bouge, ne reste pas immobile, et respire ! Ta voix peut trembloter légèrement au début, mais tu prendras de l'assurance au fil de l'exposé. Essaie de reprendre calmement ton souffle entre chaque phrase et n'aies pas peur des silences, qui paraissent interminables pour l'orateur, mais l'auditoire, au contraire, les apprécie. Évite les «euh..........», ces périodes pendant lesquelles tu réfléchis à haute voix. Réfléchis en silence et respire, au lieu d'émettre des sons indésirables dont

sable et des étoiles, conscient de la seule douceur de respirer… Et cependant, je me découvris plein de songes. Ils me vinrent sans bruit, comme des eaux de source, et je ne compris pas, tout d’abord, la douceur qui m’envahissait. Il n’y eut point de voix, ni d’images, mais le sentiment d’une présence, d’une amitié très proche et déjà à demi devinée. Puis, je compris et m’abandonnai, les yeux fermés, aux enchantements de ma mémoire. Il était, quelque part, un parc chargé de sapins noirs et de tilleuls

....... 55 2.4 Le récit circulaire: répétition et variation dans le monologue ... '" ............ 60 CHAPITRE 3 LES LIMITES DU LANGAGE VERBAL 3. L'expérience non verbale du monde ................................................ 69 3.1 Silences textuels et rupture dialogique dans La Route des Flandres ........... 73 3.2 Le maniement des lieux communs et les jeux de langage dans Portrait d'un inconnu ................................................................................. 84

votre front, et je voudrais crier... ROXANE, troubleComme vous la lisez, - cette lettre La nuit vient insensiblement. CYRANOEt je crieAdieu ... ROXANEVous la lisez... CYRANOMa chre, ma chrie,Mon trsor... ROXANE, rveuseDune voix... CYRANOMon amour... ROXANEDune voix...Elle tressaille.Mais... que je nentends pas pour la premire fois Elle sapproche tout doucement, sans quil sen aperoive, passe derrire le fauteuil se penche sans bruit, regarde la lettre. - Lombre augmente. CYRANOMon cur ne vous

montrent ses yeux rougis. Ses sanglots et reniflements sont amplifiés par le quasi silence environnant. Pour bien montrer que le jeune homme ne partage pas ses sentiments il ne regarde jamais la jeune fille, il semble toujours absorbé par quelque chose : sa cigarette, ses pieds... Il est indifférent à la tristesse de la jeune fille et cela l'agace même à certains moments, il détourne les yeux et soupire. La voix suppliante et les pleurs de la jeune fille ne l'émeut pas du tout, et cela finit même

Dans un premier temps, nous pouvons montrer qu'au théâtre occidental la parole a un role priviligié, en effet ,les personnages parlent et se font écouter ; dans les quatres textes du corpus, le personnage exprime ses sentiments, réfléchit à voix haute ("Quel motif de croire à ce meurtre?" se demande Lorenzo dans la pièce de Musset " et les mutations sont - elles réversibles ? " dit bérenger dans rhinocéros). Il essaye de justifier son action et de donner un sens à sa vie. Il est courant de voir au

ou la presque innocence, parce que je sus toujours ce que signifiait cela: c’était quelque chose dont nous ne pouvions parler. Des années plus tard, un de mes personnages nomma cette génération: “la génération du silence”, et je crois qu’il donna ses raisons, en plus de cela. Ce «silence» signifiait, pour moi, qu’il existait une contradiction tragique entre le discours officiel et ma propre vie. Dans l’humble école de Tacuarembó dans laquelle j’étais, cette école qui laissait dégoutter sur nos cahiers