La Vérité Biologique

M. Albérès écrit dans Histoire du roman moderne : «  Toute la vérité sur les hommes, celle qu’ils ressentent en eux-mêmes et celle des forces qui les enveloppent ; la saveur et la douleur présentes et derrière elles le cheminement comme calculé du destin, les fatalités biologiques et sociales ; à travers tout cela de grands problèmes, des angoisses, comme des cris : telle est la pureté du naturalisme lorsque la passion d’une vérité totale l’emporte sur la complaisance descriptive et l’art de conter

propos devient beaucoup plus affirmé : elle se place dans le débat et compare les écrits mythologiques à la société actuelle afin de montrer que le statut de la femme a toujours été le même (les mythes ont une pérennité puisqu’ils représentent une vérité générale). Problématique  Comment Simone de Beauvoir fait elle progresser méthodiquement sa démonstration ? Plan détaillé I. Un large spectre de savoir A. Une culture humaniste qui valorise le raisonnement B. Ce socle mythologique

lieu, nous pouvons définir l’identité comme une unité personnelle, un « je » constant, aux conditions physique, sociales, et relevant du sujet même. En effet, si nous nous identifions, c’est d’abords grâce à notre organisme. Nous formons un tout biologique. Il nous revoit une perception d’unité, qui est inextricablement lié à la question de l’identité : mon corps est construit sur le même modèle de l’espèce humain, mais pourtant il est unique, particulier. Parce que mon corps n’est pas séparable en

entrées différentes et opposées dans le champs du questionnement sur l'humain. Une qui fait de l'humain un être absolument dépendant de sa nature biologique. (même si interaction entre culture et nature) Une qui pose l'humain en acteur et créateur de sa culture, et par conséquent de soi. Nous sommes le résultat d'une évolution naturelle, biologique, esthétique... ► L'humain est acteur de son histoire et aussi produit de cette histoire. - Capacité d'auto-construction - Capacité à produire

2°)Montaigne écrit dans ce texte : « comme de vrai, il semble que nous n’avons d’autre mire de la vérité et de la raison que l’exemple et idée des opinions et usances [usages, coutumes, mœurs] du pays où nous sommes » ;c’est une des conséquences de l’ethnocentrisme :en considérant notre propre culture pour seule critère de validité de nos jugements, de nos valeurs, nous oublions de nous interroger sur ce qu’est la vérité, sur ce qui est véritablement valable.Bref, nous ne nous cultivons pas. L’un des autres

établie, l’enfant n’a aucun droit. XVII.principe de vérité des filiations En 1972, on s’attachait surtout à la vraisemblance. Avant d’être un fait juridique, la filiation est un fait naturel, donc le lien existe forcément à l’égard d’un père et d’une mère biologique. La filiation est aussi un fait juridique : il doit être établie en vertu de règles légales. Or il se peut que la filiation juridique ne coïncide pas avec la filiation biologique. Notre ancien système législatif (avant 1972) s’en

m’identifie, sous le regard des autres= valeur de vérité, effort de rendre intelligible par autrui la connaissance de soi pour donner une forme de réalité - intersubjectivité= rapport es sujets entre eux, donation ontologique réciproque - mode intersubjectif, commun = intelligibilité III/ Que suis-je ? La question de l’essence ? (Descartes) Vérité fondamentale première au sein mm de la conscience : existentielle et métaphysique - Doute exagéré, vérité = caractère de certitude - sens révoqués

été contestée en justice, la filiation légalement établie s’oppose à l’établissement d’une autre filiation qui la contredirait (art. 320). La filiation maternelle se prouve par tous moyens (art.310-3) et en particulier par des expertises biologiques, lesquelles donnent des résultats scientifiquement tellement sûrs qu’elles sont largement ordonnées par les magistrats (cour de cassa. 28 mars 2000). La loi distingue la preuve non contentieuse, qui permet d’établir la filiation hors du cadre

Ces deux livres renouvellent la question de nos rapport avec l'animalité. Leurs points de vue me semblent éclairer et compléter ce que j'ai pu avancer sur le rôle du cerveau dans l'ouverture au non-biologique (la distanciation). Nous verrons qu'alors que pour Giorgio Agamben, l'homme est tout entier dans son effort de différenciation de l'animalité (L'homme est un animal qui "se reconnaît ne pas l'être" 46), pour Michel Boccara, et sans contredire à ce processus d'arrachement au monde animal, notre

Nous pouvons distinguer deux grands types de vérités. Comme nous l’avons vu, il y a des vérités qui s’appuient sur la raison comme la démonstration (mathématiques), ainsi que des faits comme dans le raisonnement expérimental (comme en physique ou en biologie). Mais on peut aussi évoquer des vérités qui relèvent de la révélation religieuse. Nous pouvons les appeler des dogmes . Ces derniers sont des « vérités » que l’on demande/ordonne aux fidèles de croire