La Vérité Est Elle La Valeur Supreme

dans les détails et dans l'ensemble, dans le caractère et dans l'intrigue, des compositions plus achevées qu'on n'en peut voir dans la nature; et l'illusion théâtrale, si elle était complète, empêcherait de voir cette perfection qui décèle un art suprême, et dont le sentiment est un des plaisirs du spectacle. L'illusion semble aux esprits grossiers le principal ou même l'unique but de la peinture. Mais l'imitation exacte de l'objet, la reproduction identique des apparences est fort loin d'être la

de la philosophie => Une chose n'a une valeur que si elle est utile Ce présupposé est donc un préjugé qui vient de la société consommation/matérialiste, car ce qui compte est de produire et de consommer. Or la philosophie n'a pas d'utilité pratique. Est-ce l'utile qui fait la valeur des choses ? Les choses ont d'autant plus de valeurs qu'elles sont inutiles. Ex : poésie, peinture, art La philosophie ne sert à rien, c'est ce qui fait qu'elle a de la valeur. La Fontaine, « La cigale et la fourmi »

sté primitives sont aux sté civilisés ce que les petit enfant sont aux adultes. Le sacré se tient dans une dimension interdite : lieu du divin ou il s’incarne et se manifeste sans être souillé par le reste du monde Profane : monde commun, banal, valeur moindre, accessible a tous. Durkheim : vénère social a travers sacré (sentiment appartenance groupe) puissance du social qui nous fait sentir unie, identité commune. Religion accompagne moments importants vie : ritualisé. Religion structure espace

mesure, des conduites, que se pose le problème. Au nom de la liberté religieuse et de la liberté de conscience, la laïcité de notre société est ainsi mise en cause. Aussi nous a-t-il paru opportun d’examiner à nouveau la question de son sens, de sa valeur et de son importance, dans une période de grande confusion mentale et spirituelle. La laïcité est à la fois un principe éthique et une règle de vie sociale. Elle affirme le respect des autres, en tant que personnes égales en dignité, en droits et

son existence ainsi que les objections qui défendent la position de l'auteur du texte, André Compte-Sponville. Les arguments traditionnels soutiennent l'existence de Dieu. Selon la preuve ontologique, qui traverse l'occident en entier, l'être suprême, parfait, omniprésent, infini, le souverain existe par définition. Le philosophe français Descartes décrit lui -même l'existence de Dieu comme étant inséparable à son essence. Ensuite, vient la preuve cosmologique, que Compte-Sponville définit comme

songeant par exemple à une infinité de carrières possibles, mais dont une seule pourra être réellement accomplie. Il ne s'agit pas ici de ce que l'enfant peut faire, mais de ce qu'il peut être. Ce n'est pas la fonction qui est envisagée, mais la valeur. Aussi bien, l'éducation ne peut-elle se proposer autre chose que de développer cette qualité d'âme, cette transparence qui laisse rayonner en chacun, d'une manière inépuisablement nouvelle, la même Présence. La vie n'a pas d'autre intérêt. Il

suggère que les opinions minoritaires des juges ne doivent pas revêtir d’effets juridiques. La justice constitutionnelle d’un Etat a pour objectif de faire respecter sa Constitution, envisagée comme norme suprême, par rapport aux autres normes juridiques qui possèdent une valeur inférieure. Pour

à l’histoire des civilisations. Dans ce texte Freud étudie le problème suivant : comment la religion raisonne-t-elle ? Quelle est la valeur argumentative de la foi ? Existe-il une obligation fondée sur la croyance religieuse ? Dès lors le fonctionnement de la religion repose-t-il sur des choses fondées ? La foi est-elle un argument s’appuyant sur la vérité ? Sommes-nous obligés d’avoir la foi ou la raison suffit-elle à nous satisfaire ? Au début du texte Freud se place au point de vue

En plus, de pouvoir comparer les diverses idéologies des philosophes. Tout d’abord, selon Socrate : l’ensemble des gens vivant dans une société distincte doit avant tout être concerné par les mêmes préoccupations et sujets s’il veut connaître la vérité universelle et c’est pourquoi il doit vivre en société, avec un ensemble d’individus. En outre, prenons par exemple les changements climatiques, chaque individu doit maintenant réfléchir sur les comportements qu’ils posent dans le but de les éviter

convoiter cette unité, de chercher à l’obtenir, qui est ce que l’on nomme amour » ( 192e ) – Thèse de l’unité perdue ). Cependant, le désir peut aussi être appréhendé, non plus comme manque, mais comme trop-plein : à ce titre, le lien entre désir et valeur ( voir définition plus bas ) est indéniable, ce qu’exprime la phrase de SPINOZA, philosophe qui considère que « l’essence de l’homme est le désir » : « Nous ne désirons pas une chose parce qu'elle est bonne ; au contraire, c'est parce que nous la