La Vérité Est Elle La Valeur Supreme

15 (c) Dionysiaque et apollinien (Nietzsche) 15 (d) Beauté et utilité (Gautier) 16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 17 B. Le vrai 18 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 18 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 19 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 20 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 21 5. L’expression des forces (Schopenhauer, Deleuze) 23 6. L’art révèle la perception

naturelles de toute relation interpersonnelle. Sur un virtuel axe horizontal, lié à l’ancrage temporel, une relation pourrait se situer par rapport aux pôles de l’intégration ou de la désintégration ; quant à la dimension verticale, elle réserverait les valeurs du haut à une qualification positive- culminant avec la communion- et celles du bas à une interprétation plutôt négative, aboutissant à l’individualisme. Dans l’occurrence, on pourrait situer la relation de Tristan et Yseut au premier stade, puisqu’elle

met en valeur que si la rhétorique est capable de rende un discours crédible, c’est qu’il se réfère à la justice des choses. Ensuite, il reconnaît la rhétorique comme un art de persuader puisqu’elle exerce un très grand pourvoir. Elle permet de faire découvrir la vérité aux autres et représente le bien par rapport aux hommes. Pour conclure, la rhétorique traite des affaires de l’humanité. Par la suite, il émet une seconde thèse qui serait la morale platonicienne; la justice est le bien suprême, elle

philosophie de Socrate qui, contrairement aux sophistes, acceptait de ne pas imposer sa personnalité pour se mettre au service de la vérité : critiquant Agathon qui ne peut contredire Socrate, ce dernier affirme : « ce n’est pas moi que tu ne peux contredire, il est facile de contredire Socrate, mais c’est la vérité même que tu ne peux contredire ». Or comme la vérité est universelle, elle n’appartient par conséquent à aucune époque déterminée. Ce discours vise à nous donner une idée de ce

les pères de la constitution avaient une conception relativement étriquée du rôle dévolu au conseil constitutionnel. Ils n'avaient pas envisagé d'en faire une cour, une juridiction chargée de veiller au respect des droits et libertés, comme la cour suprême des Etats-Unis ou le tribunal constitutionnel allemand. Le conseil devait être, selon Michel Debré : « une arme contre la déviation du régime parlementaire ». Son objectif était en fait d'empêcher l'assemblée et le sénat d'empiéter sur les prérogatives

pouvoirs politiques et religieux. C'est dans ce contexte que Descartes décide de s'adonner à la philosophie, la seule discipline capable de rendre compte des avancées techniques et scientifiques. En effet, la prétention de la philosophie à parvenir à la vérité par le moyen de la raison naturelle s'oppose aux préjugés et aux opinions communes et plus profondément encore à l'autorité de ceux qui en font usage pour se maintenir au pouvoir, tant temporel que spirituel. Le but de Descartes, dès les Méditations

dans les cœurs, vives clartés, déceler » → Le roi est au-delà des masques. LA VERACITE : caractérisation : « ennemis de la fraude » Antithèse vers 1915/1916 : « amour les vrais …/ les faux » - LA JUSTICE : vers 1922 : hyperbole → « équité suprême » - L’OMNIPOTEMCE : (pouvoir total) : « d’un souverain pouvoir » vers 1935 « Il brise les liens » : image → Le roi annule la donation qu’Orgon avait faite à Tartuffe (don de toute sa fortune). → Le roi à un pouvoir législatif. Il est plus fort

puissante que l’on porte à un principe supérieur et à un ou plusieurs êtres suprêmes. C’est un ensemble de récits, rituels, règles et vérités absolues qui définit la relation du croyant envers son sacré. La religion répond aux quatre types de questions existentielles, soit les questions d’origine, les questions d’identité, les questions relatives à la conduite et les questions de finalité. La religion dicte sa théorie sur les valeurs, les comportements et les origines sans que nul ne puisse changer ses

peut toucher par les lumières) Christianisme religion fond » sur la doctrine du Christ catholiques obéissent à un clergé tant dis que les protestant favorisent le libre examen Siècle des Lumière 18ème siècle. Problématique : Relation entre les valeurs des lumières et la religion : Le siècle des lumières persécutent-ils la religion ? ou quelle est l’influence des lumières sur la religion ? Les pays catholiques (affrontement) et les pays protestant (influence pacifique) problème du libre examen catholique

tortionnaires inventent, raffinent, discutent autour des chevalets. On s’étonne, on s’indigne. On dit : « Comme c’est curieux ! Mais, bah ! C’est le nazisme, ça passera ! » Et on attend, et on espère ; et on se tait à soi-même la vérité, que c’est une barbarie, mais la barbarie suprême, celle qui couronne, celle qui résume la quotidienneté des barbaries ; que c’est du nazisme, oui, mais qu’avant d’en être la victime, on a en a été le complice ; que ce nazisme-là, on l’a supporté avant de le subir, on l’a