La Vérité Indubitable

pour établir une vérité ? Sujets / La raison et le réel / La vérité / Un début de problématisation ...     INTRODUCTION : La question contient trois mots clés: - Vérité - Démonstration - Etablir. Vérité: Parle-t-on de LA Vérité dans l'absolu, une vérité universelle? ou de la vérité concernant un état des choses à un moment donné? La Vérité ne se démontre pas, elle se suffit à elle même et on pourrait clore ici le débat. Cependant, la question parle d'établir UNE vérité... il faut en

Les philosophes Marcel Conche a) -Il est indubitable, en effet que le supplice des enfants a été et ne devrait pas être, et que dieu pouvait faire qu’il ne soit pas. Comme dieu ne s’est pas manifesté dans des circonstances ou, moralement il l’aurait du, s’il existait il serait coupable. La notion d’un dieu coupable et méchant apparaissant contradictoire, il faut conclure que dieu n’est pas. - La religion, a la différence de la philosophie, est sous la catégorie de l’utile. Elle promet

Sceptiques : « Prouve ta preuve » > on ne pouvait atteindre aucune vérité quand bien même on utilisait la démonstration (raisonnement > étapes). Si C est vrai grâce à A et B. Il faut que A et B soient aussi vrais et démontrés, etc..... Ça ne s'arrête jamais ! Une démonstration c'est un raisonnement (pas 1 résultat immédiat, étapes). Ce qui est vrai dans une démonstration c'est le résultat, la conclusion. Le sceptique dit : la vérité de C n'est pas absolue c ar dépend de la valeur des propositions

opinions A. La diversité des opinions un premier constat s'impose : diverses, variables et opposées. Pascal, dans les Pensées : « Vérité au delà des Pyrénées, erreur en deçà » = les opinions ne sont pas des vérités universellement partagées mais de simples croyances. B. Caractère douteux des opinions Sceptiques grecs = volonté d'établir une vérité ferme et indubitable, éprouvaient la valeur de chaque opinion en la confrontant à son opinion opposée mais la raison semble donc nous conseiller de n'accorder

Le doute, comme doute méthodique au sens de Descartes, est un instrument de découverte. Il consiste à tenir pour faux tout ce qui est simplement douteux afin de découvrir s’il n’y a pas de vérité. Il ne peut pas ne pas déboucher sur la certitude soit d’une vérité, soit sur la certitude de l’impossibilité d’accéder à toute certitude. En conséquence, il apporte à qui s’y engage l’assurance d’arriver à la connaissance. Mais il reste limiter et cantonner à la pensée. Dans le

intuitivement une vérité semble éternelle ou ne pas être une vérité. En effet, peut-on penser une vérité qui ne serait valable que pour un jour voire dix ans et fausse par la suite ? La vérité peut se définir comme la propriété objective de la connaissance. En ce sens, elle doit nécessairement comporter en elle la certitude ; et cela d'autant plus qu'elle est censée produire un énoncé nécessaire sur la monde ou le réel plus largement. Ainsi, l'homme est un animal semble être une vérité qui se comprend

Le doute est un état d'esprit qui remet en cause la vérité, c'est-à dire que nous sommes à la recherche de la vérité. En cela, le doute peut apparaître comme un échec de la raison. Le raison, elle, est le fait de savoir ce qui est vrai ou faux, soit ce qui est juste. Cependant le doute est une manière d'arriver à la raison car une personne qui doute est une personne qui raisonne. Pour parvenir à la raison il ne faut pas douter, car si l'on doute cela veut dire que nous ne sommes pas sûr, dans ce

diversité est la critique de Descartes. Critique du cogito cartésien Descartes fait du cogito (la certitude de sa propre existence comme être pensant) la première vérité indubitable. Pour Leibniz, le cogito n'a pas de priorité. Les vérités de raison sont fondées sur les principes logiques de contradiction et du tiers exclu et les vérités de fait sont fondées non seulement sur le cogito, mais sur la diversité de l'expérience. La logique Leibniz rêve de construire une logique qui ne se réduise pas à

capable. Trouver l’exemple pour toutes les autres recherches. Préparer la meilleure morale avec l’intégration de toutes les sciences pour une plus grande sagesse. Il fait du livre Les Méditations Métaphysiques une façon de trouver des propositions indubitables sur la base desquelles il pourrait construire tout le reste du savoir. Pour cela, il se sert du doute, qui est un moyen de tout repenser depuis le début. Au 17ème siècle la métaphysique est à l'époque le modèle de la vraie connaissance, celle qui

problème de la vérité. Celle-ci se définit par des termes qui sont eux-mêmes basés sur elle. Si bien que ce problème peut etre qualifié d'insurmontable. Il illustre le fait qu'un changement de méthode s'impose. Il convient de montrer l'enlisement de cette méthode en exposant d'abord la définition indubitable de la vérité, puis l'apparition d'un ostacle qui devient ensuite, un problème insurmontable, et pour finir une illustration de son enlisement. Kant propose une définition de la vérité aux lignes