La Vérité Peut Elle Laisser Indifférent

d'affection exagérées de Philinte - hyperboles “dernières caresses”, “fureur de vos embrassements” + choix des vbes → démonstrations excessives - pst de narration → récit + vivant (elle se déroule ss nos yeux) - métaphore v.23 “votre chaleur...indifférent” → contradictions de Philinte - ms Alceste généralise sa critique → tous les mondains → périphrases péjoratives : “vos gens à la mode” v.42 “ces affables donneurs d'embrassades frivoles” “ces grands faiseurs de protestation” v.44 à 46 - répétition

utilise des stratagèmes, afin de pouvoir accomplir son désir… D’abord le regard ensuite le billet du rendez vous puis il leur fait la cour (ligne 169 à 175). * Il se fait également passer à la ligne 182 pour le fiancé de ces dernières, qui comme on peut l’apercevoir sont naïves et accepte de leur ouvrir la porte. A partir de la ligne 189 il y a présence d’anaphores :  « alors » en début de réplique qui cherche à insister sur le fait de la séduction mais en même temps qui montre que ces femmes sont

l’autre, « le professeur » et « l’élève ». Ils n’ont donc aucune identité personnelle, il y a une sorte de déshumanisation, une généralisation qui mène au stéréotype. Lors de la scène, le professeur donne une leçon de linguistique à son élève et ne lui laisse pas la possibilité de parler. De plus, la pédagogie est inexistante et le déséquilibre du dialogue est frappant : c’est un cours magistral que subit l’élève. Le titre conventionnel de l’œuvre est compensé par un sous-titre provocateur « drame comique » :

préjugé social lui défend d'aimer. Face à une situation en apparence bloquée, Dorante décide à l’acte II de faire ses adieux à celle qu’il pense être « Lisette » (donc Silvia) et vient alors lui annoncer son départ, mais au cours de ce tête-à-tête, il ne peut s’empêcher d’exprimer à Silvia ses sentiments et de chercher à connaître les siens.On distingue ainsi clairement 3 mouvements dans ce texte : de la ligne 1 à 8 un état de trouble des deux personnages, ils éprouvent clairement des sentiments l’un pour

douleur, exprime sa souffrance, disant de son labeur qu’il est le pire de tous et fait de lui un être méprisable ; Le second, plus loin, au visage sans expression, avoue que ce travail qui permet de nourrir sa famille, lui est particulièrement indifférent ; Le troisième, plus loin encore, au visage extatique, et devant la surprise du pèlerin qui avait encore en mémoire les paroles des deux autres, lui dit alors « moi, je construis une cathédrale ». Moi, ma cathédrale, c’est la RES PUBLICA (la

avec ce dernier vers de cette strophe : « Plus de pleurs ni de chansons. » où l’auteur joue sur l’opposition malheur/ joie. Ici pas même un pleur pour donner signe de vie. Ces anaphores et négations traduisent le vide et l’absence : désormais on ne peut plus évoquer Oradour que par le manque et l’absence. Ainsi la mort de toute vie est annoncée par le massacre de toute une population. Les hommes, les femmes, les vieillards, les enfants sont tous exterminés sans scrupules. La première strophe du

paraître, d’exister, de se promouvoir dans l’exercice de la parole. Tenez, en session publique du Conseil général, intervenir sur un dossier est aussitôt interprété comme la mise en évidence d’une ambition personnelle démesurée. Il faut rester indifférent au débat pour vivre son mandat paisiblement. La politique repose également sur le silence, très apprécié car il permet de terminer les réunions plus rapidement, ce qui est appréciable. Écrire, c’est pire, car il reste une trace de ce que l’on a

rencontre à Paris, il comprend la vérité : l’Allemagne veut simplement dominer et détruire l’âme de la France. Devant cette vérité il dit à ses hôtes d’oublier tout ce qu’il avait dit et il parte pour aller mourir dans une unité combattante. Donc il se rend compte d’être dans l’erreur et il décide de laisser ses grands idéaux et d’aller mourir. Selon moi ce choix est erroné, car dans la vie on doit chercher toujours à changer sa propre situation ; par exemple il aurait pu laisser l’armée allemande. Cependant

méliorative mais il ne s'agit pas d'un personnage important dans cette nouvelle 2-vrai et important:toute la nouvelle repose sur la relation maître-disciple qui existe entre Wang-Fô et Ling .3-faux :la fin de la nouvelle est ouverte et elle laisse planer le doute .4-vrai et importante :les métaphores et les comparaison sont omniprésentes , elles créent des images qui évoquent le métiers d'artiste de Wang-Fô. séance 3: L'incipit de la nouvelle : la mise en scène d'une révélation 1) Les éléments

pleurer pour des parents égarés qui ne veulent rien entendre de La Vérité ?   Si ce n’est pas un parent ou un enfant qui est égaré, c’est un oncle, une tante, un cousin qui l’est…   Lorsqu’un membre de sa famille se trouve égaré, il est difficile de rester indifférent.   Ce sont les liens du sang qui sont mis à l’épreuve et tous les musulmans se doivent de les respecter. Le cœur est touché, affaibli, attristé et de ce fait la foi peut s’en trouver affectée.   Nous avons, à travers les récits des