La Vérité Scientifique Est Elle Relative

s'armer de procédures expérimentales et des théories. La confrontation inlassable des hypothèses et des réalités est la commune entre la science et la modestie ,le contraste de plus en plus brutal entre un développement scientifique et technique sans précédent et l'ignorance relative ou les hommes se trouvent toujours de leurs propres motivations et de leurs propres mécanismes de conduite, quand aux sciences de la nature elles ont acquis leur lettre de noblesse , leur perfection , leur objet d'étude

qu’il y a un certain lien entre elle et moi : vouloir déterminer les choses dans l’absolu  en faisant abstraction de moi par rapport à elle serait à la fois une connaissance vaine et une connaissance erronée. Quelle démarche le philosophe ou le scientifique doit-il adopter face à la recherche de la connaissance ? Nietzsche prétend dans notre texte que la connaissance véritable d’une chose passe par la prise de conscience des liens qui existent entre cette chose et moi, et consiste à les expliciter

coutumes dont il est question, plus implicites dans une société (coutumes religieuses, par exemple) mais non moins agissantes. Coutumes traditionnelles, liées à une histoire, une identité, et dont on sait qu'elles varient, qu'elles sont tout à fait relatives. Hobbes montre donc qu'il s'agit là d'une ignorance, puisque il peut s'agir d'une absence de conscience du caractère relativement arbitraire des coutumes. Ignorance, de plus, de la "constitution originaire du droit", c'est-à-dire de la pensée rationnelle

connaissances indubitables, et si nous pouvons nous en contenter. Si tel est le cas, alors nous pourrons en conclure qu’en effet il vaudrait mieux ne croire que ce que l’on voit. Mais si nous constatons que la perception ne nous donne pas forcément la vérité, ou si elle n’est pas la seule à nous la donner, et si nous avons besoin de recourir à des croyances qui ne reposent pas sur elle, alors nous pouvons légitimement croire, du moins en partie, en ce qui n’est pas perçu. Commençons par nous arrêter

juridique : si ce raisonnement est un raisonnement scientifique, son utilisation devient plus sûre et plus sécurisant car on ne les remets pas en doute, mais il est aussi moins souple. Il y a une opposition car l’art semble montrer ce qui à priori raisonne bien subjectivement, alors que la science privilégie ce qui raisonne objectivement et justement. Dans un cas, on considère plus la beauté, et dans l’autre cas, on considère plutôt la logique et la vérité. Mais le DROIT N’EST PAS UNE SCIENCE au sens

version de l’autre pays est présenté comme fausse, ne parviennent pas à présenter une même version des même fait. L’histoire devient ici un instrument de division qui entretien les haines et qui posent le problème de sa vérité. B. La critique de la valeur scientifique du récit historique 1) Les conditions de la science Pour qu’il y est Science, plusieurs conditions sont nécessaires : * il faut qu’il y ait observation possible de l’objet d’étude * il faut pouvoir émettre des hypothèses

moral II Un récit polémique a- Une précision significative b- Le ridicule des explications avancées c- Les interventions ironiques III La leçon de sagesse a- Une généralisation (de fait) dangereuse b- Entre deux formes d'ignorance c- Une vérité toujours menacée Intro : Fontenelle dénonce dans Histoire des Oracles le comportement irrationnel des humains fondé sur les croyances, les préjugés, les a priori (vocab philo = en partant des données antérieures à l'expérience ou non

La vérité Textes "Quand nos passions prennent figure de vérités, de réalités dans le monde, d'oracles et de volontés surhumaines dans le monde, tout est dit. Le fanatisme est le plus redoutable des maux humains." Emile Chartier, dit Alain / 1868-1951 / Propos sur la religion, L'idée matérialiste, 22 juillet 1913 1 – Une conception de la vérité classique depuis Saint-Thomas d’Aquin (XIIIème) : La « vérité-correspondance ». VOIR TEXTE de Bertrand Russel1. Problèmes de philosophie 2 – La vérité réside

!· SOPHISTE (apparition rhétorique, art d’argumenter-> ouverture d’école où on apprend à bien parler) enseignent la rhétorique Les sophistes « savent tout, peuvent tout enseigner », ils en viennent à considérer que les normes sont des choses relatives -> le bien et le mal (= point de vue imposé) c’est relatif Relativisme : norme et valeur universelle, engendre instabilité de la société, met en relativité la connaissance humaine, valeur dépendent des facteurs historiques et sociaux

La VéritéDouter, est-ce renoncer à la vérité ?Si nous définissons la vérité comme l’adéquation entre l'esprit et la réalité et le doute comme un état d'incertitude qui se traduit par le refus d'affirmer ou de nier ; peut-on dire que douter est-ce renoncer à la vérité ?Mais douter ne serait-il pas par ailleurs un moyen d'accéder à la recherche du vrai ?Pour répondre à cette problématique, nous analyserons dans une première partie la volonté d'accéder à la vérité puis nous aborderons l'attitude sceptique