La Vérité Subjective Et Relative

oasis. A bout de forces, il s’y dirige pourtant précipitamment. Il se rend très vite compte que l’oasis n’était qu’un mirage. Nos sens, en tant qu’ils nous permettent de percevoir le monde peuvent nous tromper, quand bien même ils soient criants de vérité. Il est alors aisé de dire que ce ne sont pas nos sens qui nous ont trompés mais bien les conditions extrêmes du désert qui, pour telle ou telle raison physiques ont faussé la vision que l’on avait de lui. Certes, mais quoi qu’il en fût, nos yeux

« les lois sur les pauvres créent les pauvres qu'elles assistent » nous dit Maltus. L'objectif de ces lois n'est évidement pas de créer de la pauvreté, mais si Maltus dit vrai on est forcé de reconnaitre le caractère pervers des mesures relative à la pauvreté. Cette conclusion est certes hâtive mais elle amène une véritable question sur les effets des politiques économiques de manière générale, sur la façon dont l'État intervient dans l'économie via ces « politiques économiques », sur leurs justifications

Elle signifie à l’origine que chacun a sa propre sensibilité et que donc les sensations (odora, gout, etc.) sont particulières et subjectives à chacun. La théorie s’étend aussi jusqu’aux opinions, telles que politiques ou philosophiques. Chaque être a sa propre opinion et il n’existerait donc pas une vérité absolue, mais plutôt un nombre indéfini de réalités relatives aux circonstances. Le point de départ provient du fait que certains accordent plus de valeur à certaines choses plutôt qu’à d’autres

connaissances indubitables, et si nous pouvons nous en contenter. Si tel est le cas, alors nous pourrons en conclure qu’en effet il vaudrait mieux ne croire que ce que l’on voit. Mais si nous constatons que la perception ne nous donne pas forcément la vérité, ou si elle n’est pas la seule à nous la donner, et si nous avons besoin de recourir à des croyances qui ne reposent pas sur elle, alors nous pouvons légitimement croire, du moins en partie, en ce qui n’est pas perçu. Commençons par nous arrêter

connaissances, de l’expérience, des différentes vérités. Pourquoi ne peut-on pas se baser sur l’expérience pour aboutir à une vérité générale ? Comment connaitre les vérités nécessaires ? Comment faire « ressortir » les idées innées ? Pour Leibniz, les expériences ne mènent qu’à des vérités particulières car elles ne reposent que sur nos expériences sensibles. On ne peut passer d’une vérité particulière à une vérité générale. Mais il existe des vérités nécessaires applicables universellement et qui

peut-être à tort, interrompre le flux des réflexions initiées sur ce que certains désignent comme étant les « grandes questions », telles le sens de la vie, la conscience cosmique, l’interrogation sur la divinité, la certitude de savoir, les valeurs de vérité et de morale, l’éternité, l’infini, etc. Cette question brutale s’est imposé dans le dessein de mettre de l’ordre dans diverses notes, lectures, pensées spontanées. Elle m’a parut susceptible d’orienter des réponses et un espoir de clarification de

→ André comte Sponville : la vie avec la vérité comme norme → Gramsci : la manière dont on conçoit le monde et dont on agit sur lui → Russel : se libérer des préjugés, questions qui restent insolubles dans les autres sciences et qui ne sont pas encore résolus → Jaspers : tout ce qui existe et la situation de l’homme dans l’être, les questions que posent les enfants A quoi ça sert ? → André comte Sponville : procurer le bonheur dans la vérité, sagesse, béatitude → Gramsci : être son propre

La raison et le réel. Présentation. I/ Théorie et expérience. II/ La démonstration.III/ L'interprétation.IV/ Le vivant.V/ La matière et l'esprit.VI/ La vérité. I/ Théorie et expérience. Définitions. Théorie: Du grec « théoria », action de contempler, d'observer, « théoria » provient elle-même de « Théos », c'est-à-dire de « Dieu ». L'équivalent français serait la procession, cortège en l'honneur de la divinité, en vue de son adoration. Cette origine révèle combien la théorie comporte

mensonge. Pourtant, mentir semble pour la majorité des êtres humains être une pratique immorale et dévalorisée. D’autant plus que « La vérité » est l’adéquation entre la chose et l’esprit : c’est une représentation du réel conforme à ce qu’il est en lui-même (Lorsque son histoire est cohérente, il dit la vérité, car elle correspond à la révélation systématique de la vérité). « Toujours » signifie en « toutes circonstances » mais aussi à « n’importe qui » et même à « n’importe quel moment. » Convient-il

de l’ardoise vierge de Locke à remplir d’apprentissage Référence : Malebranche, Recherche de la vérité, 10e éclaircissement (1674) Vérités subjectives = jugeons subjectivement = tenir pour vraies certaines choses qui dépendent ainsi de nous-mêmes et de la relation que nous entretenons avec elles = raisons particulières (valables que pour nous) DONC pas d’unanimité ni d’universalité car relatives, irrationnelles et déraisonnables MAIS une raison universelle = unanimité sinon on s’entretuerait