Lâcheté

caverne (Platon) A partir du moment où je prends conscience d’être inconnu à moi-même et déterminé par autrui, il peut résulter, par désespoir ou lâcheté, la tentation de la mauvaise foi : si je ne suis pas libre a priori mais que j’ai à réaliser ma liberté, la tentation peut être grande de me servir d’autrui pour le rendre responsable de ma lâcheté (ma peur d’assumer ma contingence c’est-à-dire ma liberté). Par peur d’assumer le fait d’être moi-même la propre cause de mes actes, je fais d’autrui

est vrai), est-ce que je l'ai entreprise vraiment parce que je la crois juste ? Oui et non »  (page 205-206) 4) Page 203 : « Quand il était sur une place publique déserte, en pleine nuit, dans cette ville si complètement terrorisée que la lâcheté la plus ignoble y paraissait naturelle, seule avec la nonne, que quatre ou cinq cadavre nus étaient alignés dans le rond de leur lanterne et qu’ils lavaient ces cadavres en allant chercher de l’eau à la fontaine il se disait : « On ne peut m’accuser

enlevée d’un couvent, et que l’auteur de cette offense est un Don Juan Tenorio… ») Durant cette conversation, Don Juan apprend qu’il se trouve en face d’un de ses ennemis et préfère donc ne pas divulguer la vérité sur son identité (ce n’est pas de la lâcheté mais on sait que Don Juan aime manipuler autrui) Toutefois, cette rencontre représente un avertissement du Ciel, comme le naufrage (entre l’Acte I et l’Acte II) et que le héros ferait mieux de se repentir le plus rapidement possible (à ce stade,

Résumé Le héros de ce roman, Brodeck, revient dans son village après avoir été déporté dans un camp. Dans ce texte, les thèmes du crime, de la lâcheté, de la mauvaise conscience et de la xénophobie sont abordés. Le rapport de Brodeck est une sorte de parabole, de fable. L'action se déroule dans un village de montagne, située près de la frontière allemande. Le narrateur, Brodeck est chargé de rédiger un rapport sur la mort d'un étranger, der Anderer (l'autre), qui séjournait dans le village. Son

philosophe allemand du XVIII siècle. 2]Sapare Aude = Ose penser réfléchir et prendre de décision par soi-même. Propre entendement jugement) = compréhension. 3]Selon Kant tous les hommes ont une raison mais la plus part ne l'utilise pas. Paresse, lâcheté, facilité, habitude = est devenue la nature de l'homme. Tutelles = ils étaient soumis à une autorité (M.A), une façon stricte de penser, voir les choses. (travail – payer – prier ..). Métaphore: consiste a comparé les êtres humains à des bétail

sert les appétits sexuels du duc. Il met les gens en relation. «épée» = symbole de la virilité, annonce la mort du duc. « gratteur de papier, méchant poète » = termes très péjoratifs ; manque de talent de Lorenzo « l’ombre » utilisé 3 fois, = lâcheté de Lorenzo, il ne peut pas être dangereux puisqu’il n’est qu’une ombre. Mélange des religions monothéiste et polythéiste : Dieu ≠ Bacchus (Bacchus = Dionysos, le duc rappelle son goût pour les plaisirs de la chair, la fête et le vin. LE

mort de peur mais fait semblant d’être courageux. Inès remarque qu’il a peur, Garcin a une excuse pour expliquer sa façon d’agir, les lâches ont toujours une excuse. La lâcheté. Ce n’est pas un caractère, ni une hérédité. On a la liberté d’être lâche ou de ne pas l’être, on n’est pas lâche de naissance. Ce qui fait la lâcheté c’est l’acte de l’abandon, c’est refuser d’assumer ses actes ou c’est refuser de se tenir à son choix. La liberté est d’une exigence lourde et redoutable, ce n’est pas Dieu

société et son père s'offusquent de cette liaison qui entrave sa carrière et les ambitions qu'il peut nourrir, mais Adolphe entend décider seul de la rupture. le problème est qu'il ne se résout jamais à cette issue. Adolphe fait preuve d'une grande lâcheté et ses tentatives de rupture échouent devant les larmes d'Ellénore. Il se fait un devoir de la protéger et de la soustraire au jugement de la société, mais ce devoir lui pèse et il l'accomplit sans noblesse. Ellénore elle-même ne s'y trompe pas :

jugement, de l'intelligence!!] 2) Ce sont les réticences de l'individu, sa paresse et sa lâcheté, qui rendent compte de son maintien dans l'état de tutelle. §2. La paresse et la lâcheté des hommes sont la cause de leur maintien dans l'état de tutelle. Par paresse, ils préfèrent se décharger de la réflexion sur les livres, les directeurs de conscience, les spécialistes, quitte à payer pour cela. Par lâcheté, ils préfèrent ne pas se risquer à penser par eux-mêmes, d'autant que leurs tuteurs les

court qui prend la fuite ». Ainsi, il oppose les traits de bravoure chez les révolutionnaires aux traits de lâcheté chez les colons en fuite. Il ne s’agit donc plus de français ou d’étrangers à la patrie ,non il n’existent désormais sur le sol algérien qui ne leur appartient pas que par leur entité de colonisateur au vu des trois occurrences présentes du mot « colon » employé par l’auteur. Lâcheté précisément retrouvé par la suite chez l’agent qui tire sur le drapeau « dissimulé à ‘l’ombre d’une arcade »