Lâcheté

maître ne croit « ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou ». A ce propos, celui qui est censé défendre la religion n’est d’ailleurs autre qu’un valet qui se ridiculise, par sa prétention et son usage de références érudites qui le dépassent et brille par sa lâcheté et son hypocrisie, être défendu par un tel personnage semble déjà une remise en cause, d’autant plus qu’il semble tenter par le modèle de son maître mais que c’est justement à cause de sa peur du « loup-garou » qu’il ne la met pas en pratique.

Aristide murmure désormais, bien conscient de l’immoralité de sa conduite. Cette immoralité éclate dans la suite de ses paroles, l’aveu est complet : « je n’ai rien dit », il aurait pu mais a décidé de ne pas le faire. On voit alors l’étendu de la lâcheté et de la bassesse du personnage, qui fuit ses responsabilités dans le silence, un silence qui a condamné son cousin. Les points de suspension montrent son hésitation à se chercher une excuse, à se défendre, il y renonce. Il n’a aucune justification

affirment leur lâcheté ; leur sentiment de peur est omniprésent. Bardamu, lui, ne semble pas avoir de quête non plus, il se place en parfait antihéros puisque qu’il ne se démarque pas des autres et semble seulement guidé par la peur et le désir de survie. Il n’est en rien héroïque et se fond dans la masse. L’antihéros est bien trop passif pour qu’on se prenne d’affection pour lui. Il est lâche, inactif, contemplatif des évènements. Mais il a pour seul qualité d’assumer sa lâcheté, qui le rapproche

liberté, la dignité, la justice, la vertu sans épithète, celle de tous les temps, empruntent la voix de ce citoyen emprisonné et condamné par des « bourreaux barbouilleurs de lois »… L’ironie y est généreuse ; elle cingle et châtie la lâcheté des amis, que cette lâcheté même ne préservera pas. Le style (sauf une périphrase un peu trop élégante sur l’heure) y est franc, dune simplicité robuste, d’une souplesse d’acier bien trempé.   Chénier écrivain   C’est comme écrivain et versificateur que Chénier

ainsi. Or, la seule liberté possible est de reconnaître que l'on a toujours le choix de faire autrement : on est « condamné à être libre ». La lâcheté n'a pas d'excuse. Cette conception de la liberté est très morale car elle engage une responsabilité absolue. Ainsi le seul obstacle à sa liberté serait de ne pas la reconnaître, de vouloir y renoncer par lâcheté. Mais alors, ce n'est même pas à la liberté que l'on renonce (puisqu'on y est condamné), mais à sa jouissance. En ce sens, être libre serait

plus on peut remarqué que Maxime est efféminé : « Cette famille […] dans une société qui pourrissait », dans cette citation on peut remarqué que plusieurs adjectifs comme « lâcheté » ; « créature frêle »… permet de décrire Maxime. De plus dans la citation « Mais une lâcheté mangeant les fortunes faite », Maxime est appelé lâcheté qui mange les fortunes de son père (fortunes faites). Zola à travers ce passage donne une image de Maximje péjorative. Accumulation, Allitération en « eur » et assonance

Juan mais elles le questionnent et il est piégé : il fuit, en mentant et peu courageusement : « J’ai un petit ordre à donner ; je reviens dans un quart d’heure ». II. Une scène comique A. Comique de situation · Double jeu de Sganarelle : lâcheté devant son maître malgré sa bonté : « Mon maitre est un fourbe » ; « il n’est point fourbe ». · Les deux femmes qui se disputent alors que Don Juan est le responsable. Ce sont les plus ridicules et les plus naïves. · Le lecteur ou spectateur

perdre tous mes meilleurs amis, ceux qui me font vivre et me donne envie d’exister depuis que je suis née. Et j’ai peur sans vous, mais il faut que j’essaie. Il faut que j’essaie parce qu’un jour vous serez plus la et moi je serai quoi ? Oui par lâcheté et égoïsme je préfère vous perdre aujourd’hui et en prendre moi même la décision plutôt que de laisser le temps nous détruire et continuer une histoire avec des mensonges du type « on se voit vite, tu me manques » alors que non pas du tout, on n’ose

Dans ce cas précis, les indirectes prennent le dessus. Elle ne se trouve pas en face de Mr. Sarkozy mais elle dit un maximum de calomnies ou de déformations de vérités pour le discréditer. L’attaqué n’étant pas là il ne peut pas se défendre d’où la lâcheté de ces attaques. Les déformations de certaines vérités sont une grande part des attaques personnelles indirectes en politique, en effet ces attaques se basent sur une fausse interprétation malgré tout plausible mais surtout voulue d’un sujet politique

imaginaire en médecin. La pièce nous met sous les yeux la manie d'un homme qui veut être malade en dépit de la nature et devient ainsi la proie des médecins et des apothicaires : sujet triste, au fond, puisqu'il nous dévoile une fois de plus les lâchetés de l'égoïsme, qui apparaît chez Argan (tel est le nom du malade imaginaire), et l'hypocrisie de Béline, sa seconde femme, qui ne l'a épousé que dans l'espoir de le tuer à force de remèdes. Ajoutez que Argan veut contrarier l'amour de sa fille Angélique