Lâcheté

mais jure donc. LE PAUVRE. Non Monsieur, j’aime mieux mourir de faim. D. JUAN. Va va,] je te le donne pour l’amour de l’humanité. Mais que vois-je là, un homme attaqué par trois autres ? la partie est trop inégale, et je ne dois pas souffrir cette lâcheté. (Il court au lieu du combat.) Le plan détaillé du commentaire : I. La séduction 1) Deux visions contradictoires Cette scène permet d’opposer deux systèmes de valeurs et de les éprouver. Dans tout le début de la scène jusqu’à ce que Dom Juan

il est en enfer : il est un homme cruel ayant pris, durant sa vie, du plaisir à faire souffrir sa femme en la trompant ostensiblement sans rien regretter. De plus, il tendait vers l'alcoolisme et avait déserté. Sa prise de conscience révèle que sa lâcheté est insoutenable pour lui. En conséquence, Garcin est condamné à passer l’éternité en enfer pour existence lâche. Inès de Serrano De première apparence, Inès semble être impolie et peu aimable. Elle est la seconde protagoniste à arriver en enfer et

L’oiseau est vulnérable et l’homme profite de cette situation et va laisser étaler ses mauvais penchants. Lâcheté, brutalité des marins qui n’ont aucun effort a faire et qui s’attaquent à plus faibles qu’eux. Oiseau > jouet. Dans cette volonté de s’amuser se lisent la stupidité et la cruauté des hommes. 2) Un oiseau martyrisé L’albatros apparaît comme une victime offerte a la lâcheté des marins. Non contents de l’avoir capture facilement, ils éprouvent une jouissance malsaine à le tourmenter

d’experience qui apprend de la vie. Il commet donc des erreurs. Ce mélange que l’auteur effectue entre trois stéréotypes de héro font d’Adolphe un personnage ambigue ayant des caractéristiques plutôt péjoratives puisqu’elles soulevent sa médiocrité et sa lacheté. Cela mene donc a observer les differents decalages du comportement d’Adolphe qui confirment la platitude et la faiblesse du personnage. Tout d’abord, le chapeau du texte nous informe que le personnage quitte Ellenore car il s’est lassé

pouvait penser par eux-mêmes : des personnes n’étant pas autonomes dans leur pensée. Pourtant ceci ne semble pas être des plus simples. Il serait plus simple de se laisser aller dans sa minorité et de ne pas avoir à penser par soi-même, la paresse la lâcheté ou même la peur pouvant affaiblir la volonté. Kant le disait la minorité serait devenu comme une seconde nature. Etre libre serait donc devenu contre nature et l’homme aurait perdu la capacité de penser par lui- même. Réfléchir serait devenu un mécanisme

quotidiennes et sur les conditions de vie des détenus. L'expression des sentiments : de nombreux sentiments sont développés dans cette oeuvre et on retrouve les plus classiques à savoir : la peur, l'espoir, l'angoisse, la colère, l'amertume, la lâcheté, l’égoïsme, le remord et la nostalgie. Il exprime ses sentiments sur sa vie avant d'être condamné et sur ses états d'âmes. A travers ce récit fait par le personnage, on peut très bien imaginer ce qu'il vit.

Jarry lui a consacré plusieurs cycles. Il est vrai que le personnage d'Ubu a connu une grande postérité, puisque son nom-même est entré dans le langage courant. En effet, l'adjectif « ubuesque » fait référence à un mélange grotesque de cruauté et de lâcheté; ce terme existe depuis l'année 1922. Le nom de la pièce pourrait être inspiré de Sophocle et de sa pièce Oedipe Roi. L'oeuvre de Jarry est considérée comme avant-gardiste du mouvement surréaliste, mais aussi du théâtre de l'absurde. Elle n'hésite

moment d'égalité (en tant que valet), pour s'exprimer dans le patois qui apparaît souvent chez Molière il parle aussi bien que le ferait Dom Juan. Dans la scène 1 de l'acte I, Sganarelle précise qu'il déteste son maître mais doit le suivre, plus par lâcheté que par sens moral. Il ne cesse d'implorer son maître de se repentir et le menace du châtiment divin. Il y a quelque chose de paradoxal dans son attitude. Il n'en est pas moins fasciné par cet homme d'exception, qui, par sa personnalité, par sa transgression

entretiennent un cercle infernal. * L’amour La relation Estelle – Garcin Estelle et Garcin désirent s’unir, s’aimer dans le but d’oublier l’enfer, et le crime commis sur la terre – l’infanticide et l’adultère pour Estelle, la lâcheté pour Garcin. Ce refuge est vain, d’autant plus que Inès, par son regard enflammé de jalousie, les réduit tout deux à l’état d’objet. Or, on ne peut s’aimer d’objet à objet, mais de sujet à sujet. Garcin : « Laisse-moi. Elle est entre nous. Je ne peux

rien y faire. Que le monde ait changé, nous sommes bien obligés de le constater, mais c'est aussi l'argument qu'utilisait Pétain pour justifier la collaboration avec l'Allemagne nazie. Le contexte du moment ne saurait en rien excuser pour autant la lâcheté. Ceux d'aujourd'hui n'ont même pas l'excuse d'avoir en face d'eux des canons, les armes de l'adversaire n'étant constituées que de dollars, euros et autres monnaies. Affirmer que nous devons nous résigner à vivre de plus en plus mal dans un