Laid

hôte hideux. » Conclusion: Il n'a pas de nom propre. Le monstre par sa laideur ne fait naître, dans l'esprit de son créateur, que défaut et monstrueuses appellations. Par son physique, Victor déteste la créature et pense qu'avec un aspect physique laid, il ne peut être que mauvais intérieurement. 2.Tout d'abord il a mal aux yeux à cause de la lumière mais va vite s'y habituer. Il sent, il goûte les baies et noix, il touche les branches, il entend les chants des oiseaux, en bref il utilise ses

ployant sous le poids de ses ailes. Il tend faiblement une main vers l'avant, vers la lumière, comme pour se diriger et tâter l'horizon, en cas d'obstacle. Son visage n'est pas détaillé et il a une coupe de cheveux peu flatteuse, qui renforce son aspect laid. Il semble avoir été fait rapidement, comme un croquis. Ce type de personnage est fréquent dans les œuvres de Redon : le peintre cherche à comprendre les choses cachées, le déroulement de la nature, et le fonctionnement de l'univers, dont l'invisible

laideur : « Comme il est gauche et veule » L'inversion des sonorités : « Ce voyageur est laid qu'il est comique et laid » marque cette métamorphose. Pour rendre encore plus sensible cette métamorphose le poète juxtapose dans la 3eme strophe, dans le même vers, L'avant et l'après pour mettre en avant le contraste. « ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ;Il naguère si beau qu'il est comique et laid ». Sa déchéance est physique : « maladroits » « gauche » « emboîtant » Il a perdu toute volonté : »veule »

bien : « Les gens sont tous très laids, … , on ne peut pas se promener dans la rue sans voir des quantités de gens laids? J’adore me promener dans la rue, mais j’ai horreur du laid.»Dans cette citation, l’auteur utilise la ponctuation comme procéder langagier, d’interrogation. Le point d’interrogation sert à amplifier le mot laid qui veut dire qu’il y a juste cela dans la rue, des gens qui sont remplis de défauts, s’il existait un endroit où il n’y a pas d’affreux. Le docteur Schutz s’oppose à la réalité

les académies d'art sur le Beau et dénote un parti pris esthétique qui considérait le laid (voire l'inattendu, le grotesque ou le burlesque) comme partie intégrante de la réalité et digne, à ce titre, d'être représenté dans les scènes de genre ou les portraits. Loin des positions conservatrices de Pacheco, toute une génération de peintres espagnols considérait, au contraire, que ce qui était considéré comme laid pouvait être empreint d'une beauté immanente et profonde aux yeux de celui qui savait

la  laideur  est  associé  au  mal  à  ce  qui  fait  peur  et   qui  est  repoussant,  comme  par  exemple les monstres, le diable,..      L’instinct  primitif  humain  suit  la  loi  de  la  nature.  Un  animal  va  rejeter  son petit  qui  est  laid, différent ou handicapé.    Mais  la  beauté  est   un  fait,  elle  nous  est  donnée  ou  non  à  la  naissance  et  nous  accompagnera  toute  notre  vie.  Notre  apparence  physique  nous  appartient  et  ne  peut  être changée  sauf  si on décide de

des propositions simples, construites sur un simple attribut du sujet " Que c'est laid, un front plat (…) mes mains sont moites (…) je suis un monstre"). Il parle en phrases averbales : "Ah ce corps trop blanc et poilu!" comme si son éducation scolaire et rhétorique n'avait servi à rien. Béranger parle comme un enfant, simplement et dans un niveau de langue familier, comme en témoigne le gallicisme "Que c'est laid, un front plat!". Du héros classique, Béranger n'a plus rien: socialement il n'est

place dans la nature. Baudelaire a dit avec beaucoup de pertinence qu « il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse qui y peut être contenue si minime ou si légère qu’elle soit ». Le fait que les artistes disent eux-mêmes être souvent inspirés par le laid et la misère est d’ailleurs, sous ce rapport, très suggestif : Nietzsche parle justement « d’aiguillon de la douleur » comme source de l’inspiration

par la suite son portrait qui blâme la société. Dans un premier temps le romancier présente un personnage complexe et paradoxal. Tout d'abord la description s'attache à l'aspect effrayant du personnage. Quasimodo est un personnage effrayant et laid « cette bouche en fer de cheval »  « des dents désordonnées et ébréchées ». Cette comparaison nous montre toute la laideur de ce personnage. Il est comparé même a des objets insolites comme un fer a cheval. L'être difforme de Notre- dame de Paris « de

réaliste 2- Utilisat° des 5 sens • la vue, l’odorat, l’ouïe, le gout 3- Au-delà du réalisme • comparaison d’image : strophe 7 (v.5, v.10, v21) • strophe 6 : pas réaliste • strophe 4 : associe des éléments contraires : le beau, le laid • mêle le côté réaliste et surnaturel : donne une sensation étrange II/ Choquant car il mêle le lyrisme amoureux et l’horreur morbide 1- Lyrisme amoureux • champ lexical de l’amour • utilisat° du O : v.40, v.48 • je + vous = nous