Laid

déposés sur les planches,Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !10 Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !L’un agace son bec avec un brûle-gueule,L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuéesQui hante la tempête et se rit de l’archer ;15 Exilé sur le sol au milieu des huées,Ses ailes de géant l’empêchent

d’un autre coté, les monstres nous fascinent car ils nous inspirent dans leur histoire et parfois nous donne de la pitié face au regard des autres. C’est en effet le cas du monstre Quasimodo un homme au visage difforme et au dos bossu, il été très laid et été même considéré comme l’incarnation du diable mais faisait aussi preuve de courage, d’agilité et de vigueur. Il souhaité être aimé pour ce qu’il a à l’intérieur. Il a souvent été comparé à des animales comme l’éléphant mais de l’autre côté,

physiquement que mentalement. Pour le poète, la société devient un monde hostile et laid ( le bateau), comparativement au monde que lui se créer dans son monde( l’azur). La société le marginalise parce que selon elle, il n’a pas sa place dans un monde où il faut constamment travailler et contribuer aux labeurs. Ce que le poète considère comme son travail est banal et sans importance. Dantin fait de même. Il nous décrit un monde laid et hideux. Pour lui, ce monde est comparable à un marais visqueux et repoussant

tableaux.) Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau. (Il décroche les tableaux, les jette par terre avec fureur, il va vers la glace.) Ce sont eux qui sont beaux. J'ai eu tort ! Oh, comme je voudrais être comme eux. Je n'ai pas de corne, hélas ! Que c'est laid, un front plat. Il m'en faudrait une ou deux, pour rehausser mes traits tombants. Ça viendra peut-être, et je n'aurai plus honte, je pourrai aller tous les retrouver. Mais ça ne pousse pas ! (Il regarde les paumes de ses mains.) Mes mains sont moites

Il s'agit tout d'abord d'une scène émouvante. Les paroles fortes d’Antigone traduit une certaine solennité. Il s'agit là des dernières paroles d'Antigone avant sa mise a à mort. Ses phrases sont empreintes d'émotions « C'est trop laid, tout cela, tout est trop laid. » ton monotone. Des éléments tragiques sont également présents Antigone est présentée ici comme une héroïne humaine. En effet, l'Antigone de Sophocle est une image de résistance et de bravoure et est empreint d'une marginalité. Cependant

de son père qui n'a pas d'affection pour lui. Il est placé par son père chez l'Abbé Choquard à Paris6. Il est emprisonné sur l'Île de Ré par lettre de cachet pour dettes7. En 1754, son père écrit à son frère, le bailli de Mirabeau : « Ton neveu est laid comme celui de Satan8 ». Il a également pour habitude de l'appeler « Monsieur l'ouragan ». Débuts tumultueux Statue d'Honoré de Mirabeau. Palais de justice d'Aix-en-Provence Il étudie à la faculté de droit de l'université d'Aix-en-Provence où

peut alors se douter que ce personnage n'est point comme les autres, effectivement après que le peuple eut son corps entier, ce fut à la fois une surprise « ou plutôt toute sa personne était une grimace » , car le reste de son corps était tout aussi laid et repoussant « entre les deux épaules une bosse énorme dont le contre-coup se faisait sentir par devant » , le bas de son corps était aussi comparé comme sale. Malgré ça, on peut y admirer une forme de splendeur , en effet même ce-dernier n'est pas

en avançant l’idée que l’on pourrait même « découvrir la beauté » de l’enfant pauvre au préalable associé à la laideur. Il suffirait de le « nettoyer de la répugnante patine de la misère ». On comprend là que l’enfant n’est pas laid en lui-même mais qu’il n’est « jugé » laid que parce qu’il est recouvert des signes de la misère. (là encore, différence entre ce qu’il semble et ce qu’il pourrait être) => or si l’on découvre sa beauté (une fois nettoyé de sa suie) c’est qu’il pourrait ressembler à l’enfant

cadavre d’Eudoxie ou de Bertrand, cadavre roulé en boule, yeux liquéfiés, mutilés, blessés et fous de hôpital de campagne… Ces descriptions ont pour but de condamner la guerre. B.      Les conséquences de la guerre La guerre n’est pas belle et rend tout laid : Eudoxie la femme désirable devient cadavre puant, le village de Poterloo natal devient néant, le sage Bertrand devient clown sinistre, le démocrate grec épris de liberté devient une brute, le père de famille un salaud, un sadique. Caractère apocalyptique

Les ressemblances. Tout d'abord les deux contes possèdent la même trame, en effet les personnages principaux sont deux hommes, « Riquet à la houppe » qui était jugé à sa naissance comme étant «  un si vilain marmot » il a donc pour défaut d'être laid et François Luné «  malheureux du fait qu'il ne marchait pas dans le même sens que tout le monde » ( conte de Dumas et Moissard ), ils finissent tous les deux par se mariés, Riquet avec une belle princesse qui compense son imperfection par son extrême