Laid

l'abbé Pirard. A la lecture de cette partie du chapitre, on comprend que c'est un chapitre tournant. En premier lieu, ce texte met en évidence l'aspect du séminaire : l'enfer. Ensuite, à la fin de ce passage, la phrase « c'est la violente impression du laid sur une âme faîte pour aimer ce qui est beau » intrigue et mérite une analyse plus approfondie. Tout d'abord, le séminaire où Julien se rend est assimilé à l'enfer comme le dit Stendhal « voilà donc cet enfer sur la terre ». Avec un rythme lent

des propositions simples, construites sur un simple attribut du sujet " Que c'est laid, un front plat (…) mes mains sont moites (…) je suis un monstre"). Il parle en phrases averbales : "Ah ce corps trop blanc et poilu!" comme si son éducation scolaire et rhétorique n'avait servi à rien. Béranger parle comme un enfant, simplement et dans un niveau de langue familier, comme en témoigne le gallicisme "Que c'est laid, un front plat!". Du héros classique, Béranger n'a plus rien: socialement il n'est

commence au cœur du romantisme Français. Et comme chez Baudelaire dans ce genre de poésie il faut extraire la beauté du mal. Cet essai est une critique des poésies Baudelairiennes. Nous pouvons donc nous demander ce que Friedrich trouve de beau dans le laid ? Et donc pourquoi la poésie moderne serait-elle une poésie de laideur ? Tout d’abord nous verrons en quoi la poésie moderne est une poésie de laideur et enfin nous analyserons si elle est si laide que cela. La poésie moderne est un changement

dégoûtant, du fétide ; différents sens concernés ; allitération en F, en V ; répétition du suffixe péjoratif –âtre) ; oxymore " dentelle noirâtre ". => ambivalence ; dégoûtant mais fascinant ; mélange hétérogène et indissociable de beau et de laid. Le jeu des sonorités qui appuie cette opposition intérieur/extérieur est remotivé par l'étymologie (ex : " firmament " ( l 6 ) vient du latin " firmare " qui sgnifie " fermer ", ce qui ouvre et clos en même temps l'espace) . L'utilisation des doubles

enchantement, comme un témoigne le refrain de ce poème : « Là, tout n’est qu’ordre et beauté, / Luxe, calme et volupté ». [II : La poésie, comme d’autres genres littéraires, doit parler de la réalité, elle doit donc parler aussi de ce qui est laid] Comme d’autres genres littéraires, la poésie doit dire le monde, en peindre la réalité. Il est donc nécessaire, pour rendre compte de la réalité du monde, de parler aussi de la laideur et de la souffrance qui font partie intégrante de la vie et

est devenu « l'anormal », alors que les rhinocéros constituent la norme de référence : il se qualifie de « monstre »l.27 et se compare, à son désavantage, aux rhinocéros Les rhinocéros sont connotés positivement alors que lui ne cesse de se trouver laid. Le contraste de la beauté et de la laideur (« je ne suis pas beau »l.1, « ce sont eux qui sont beaux »l.3) est développé à travers les oppositions de formes (« corne »l.5, « Front plat »l.6 et « traits tombants »l.7), de texture (« moites »l.11, «

Commentaire littéraire du « Crapaud » de Tristan CORBIERE Peu gâté par la nature, laid, maigre et tuberculeux, le poète Tristan CORBIERE né en 1845 et mort en 1875, publie son recueil Les Amours jaunes en 1873 à compte d’auteur. Le titre est déjà très représentatif de l’œuvre unique de ce poète originaire de Morlaix : l’expression lyrique des sentiments annoncée par le terme « amour » sera constamment accompagné du rire, des sarcasmes, comme le connote l’adjectif « jaune ». En effet, dans ce

être sur de qui il est mais aussi qu'on ai pitié de lui. → De plus, par la suite, il devient dur et reprend toute confiance en lui « Tourne-toi, idiote ». → le but de son déguisement est de savoir si elle pouvait aimer un homme différent, vieux et laid et si ce n'est pas le cas il veut les venger ce qui nous révèle bien que ce n'est pas un vrai type de comique II) La mise en scène du seigneur → Le personnage de Solal est mis en valeur au début ainsi qu'à la fin du texte : → Au début c'est

« classiques renieront ensuite le côté morbide et cru de la poésie baroque) puis la peinture dans la seconde moitié va faire coexister baroque et classicisme chez de nombreux écrivains. A compter de l’essor baroque, l'art consiste également à peindre le laid et même l’atroce tout en les rendant attractifs aux yeux du public surpris par une courbe, un regard apte à susciter une émotion. Rubens introduit dans ses compositions des corps plantureux exprimant amour et sensualité. Le Caravage éclaire ses personnages

INTRODUCTION Peu gâté par la nature, rachitique, laid et tuberculeux, Corbière publie son recueil Les Amours jaunes à compte d'auteur en 1873. Le titre est déjà très révélateur par les connotations de la couleur jaune: dans la symbolique, en Occident, le jaune connote la richesse, la joie car il est la couleur de l'or et du Soleil. Mais il évoque encore les traîtres, les faussaires, les femmes adultères ou les fous (symbole de la haine). Ainsi dit-on que le jaune est « la couleur des cocus ». Quant