Laid

fauves/sauvages. Camille - Nous connaissons moins Camille dans le détail : lire les deux extraits dans lesquels il est décrit pour la première fois Extrait 1 : p. 31 : passage très bref. Quelle image nous donne-t-il de Camille ? • aspect plutôt laid : « blond fade » • personnage maladif caractérisé par la faiblesse. « petit », « chétif », « languissant » • personnage enfant. personnage marqué par un défaut de virilité : preuve = absence de barbe. Remarque : que peut-on dire sur son

l’impression que ce sont les paroles rapportées des marins -> phrases exclamatives. Les albatros sont les victimes des marins montrer avec les couples d’adjectifs péjoratifs (v9 : « gauche et veule » v10 : «  comique et laid » v6 : « maladroit et honteux »). L’antithèse « beau et laid » renforce la laideur de l’oiseau et son aspect disgracieux. L’adverbe « piteusement » (v7) renforce l’effet de victime. Le métaphore «  infirme » (v12) et « ailes blanches » (v7) comparé aux « avirons »(v8) montre la

contenant qu’au contenu ; ils accordent plus d’importance à l’apparence de la personne qu’à ses valeurs et sa personnalité. Dans le même ordre d’idée, le poème compare la beauté et la laideur. Le poème dit : «L’apparence, quelle souffrance.» Ceux qui sont laid souffrent même s’ils sont bons. Dans L’exilée, celle-ci «observe leur (les gens de la vile) façon… de poser des regards aigris sur leur ville.» Ces gens souffrent à cause de la laideur de leur ville, comme l’exilée souffre de voir autant de désolation

toujours un défaut. Edward se rendit tés vite compte que s’il voulait une femme il faudrait qu’elle aussi soit parfaite. Edward ne vivait pas vraiment seul, il avait un assistant qui portait le nom de Prosper, il était tout le contraire de son maitre : laid et pas très intelligent mais il était de très bonne compagnie et fidèle. Un soir alors qu’il discutait avec ce dernier et se lamentait du fait de ne pas avoir de femme, Edward

souci de la forme comme absolu. * 1) cf Théophile Gautier, Préface à Mademoiselle de Maupin, "Je renoncerais plutôt aux pommes de terre qu'aux roses".[...]"Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. Tout ce qui est utile est laid" : hatier 19°s. p.287 et 292. * 2) cf les orientations littéraires du 19° s. vers le symbolisme avant de revenir au réalisme et au naturalisme. II). Esquisse de quelques éléments montrant la liberté et le caractère indispensable de l'art

travers L’Albatros bien sûr, est traitée en tant que victime : l'albatros mais aussi le poète sont agressés par les insultes des marins, comme on peut le voir dans les deux vers suivants : (vers 11 et 12) « Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule ». Dans un second temps, analysons les différentes oppositions que l’on note tout au long de ce poème. Effectivement, on peut apercevoir deux aspects très différents de l’Albatros qui donnent à cet

l'infirme (vers 12). Ces oppositions sont soulignées par des antithèses : - " roi " (vers 6) " maladroit " et " honteux " (vers 6) ; - le " voyageur ailé " (vers 9) "gauche " et " veule " (vers 9) ; - " naguère si beau " (vers 10) " comique " et " laid " (vers 10) de plus, ici, la rime intérieure croisée associe encore à l'idée de l'albatros celle d'un animal ayant perdu son rang et son titre de " roi " ; - " infirme " " volait " (vers 12). Les sonorités renforcent le contraste La majesté de

multiplicité anarchique du laid. Le grossissement hyperbolique est le signe distinctif de la description. Par exmenple: "Il s'y rencontre de ces meubles indestructibles, proscrits partout, mais placés là comme le sont les débris de la civilisations aux Incurables"; les meubles se voient dotés d'une dimension épique et fantastique conférée par la laideur: "meubles indestructibles", protégés comme un patrimoine national. Ils ont une grandeur historique, et paraissent voués à l'éternité du laid absolu. Les monstres

totalement opposée. Lorsqu’il se pose, celui-ci parait ridicule ses ailes sont comparaient à des « avirons » ; d’un vol royal on passe au boitement de l’infirme. L’oiseau est agressé moralement en étant caractérisé comme « gauche et veule » « comique et laid » puis physiquement par les moqueries des marins « l’un agace son bec », « l’autre mime, en boitant », puis par « l’archer » et les « huées ». Cette faiblesse de l’oiseau qui nous est représentée est accentuée par les modalités du troisième quatrain

l’obsède, mais c’est aussi une façon d’affronter la réalité. Notamment à la fin du texte avec le sujet des larmes. A la question de Le Bret, Cyrano est indigné car, selon lui, c’est trop laid. Dans sa réplique, on trouve une opposition de deux champs lexicaux : le grotesque et le sublime. Grotesque : « trop laid » (v526) « tant de laideur grossière » (v531) « ridiculisé » (v534) « la risée » (v533) Sublime : « rien de plus sublime » (v532) « divine beauté » (v530) Cyrano utilise beaucoup de points