Laideur Est Une Réalité Objective

à destination des rhinocéros) * Regrets et remords : (qui ne sont ni action ni détermination) : j’ai eu tort; comme j’ai mauvaise conscience; j’ai trop honte; hélas (3 fois) + utilisation du conditionnel comme incapacité, refus d’accepter la réalité : je voudrais; il m’en faudrait; comme je voudrais; si je pouvais; j’aurais dû; je voudrais bien; je voudrais tellement… Honte et culpabilité, impuissance aussi du personnage. 2. Un personnage indéterminé, sans identité, sans individualité Bérenger

les cruautés du système monarchique ; que dire des fables (publiées en 1668 et 1678) de Jean de La Fontaine [1621-1695] ou des sentences d'un La Bruyère [1645-1696] , des maximes de La Rochefoucauld [1613 1680], qui toutes, jettent un regard sur la laideur du monde et pourfendent les vices ou travers de la société aristocratique sous le règne de Louis XIV. Les moralistes affichent un souverain mépris pour la médiocrité humaine, les fabulistes débusquent les vices humains ; on aimerait, à les lire

admirateurs de l’œuvre de Balzac, qui a écrit un ensemble de romans intitulé La Comédie humaine, reconstituant toute la société française de la première moitié du 19e siècle. Pour Zola, il s’agit de restituer de façon « scientifique » et « objective » la réalité et d’en montrer tous les aspects, y compris les plus déplaisants : la littérature doit s’intéresser à toutes les classes sociales, à tous les aspects du réel. C’est ainsi que Zola, dans cet extrait du roman Thérèse Raquin publié en 1867 se

Emma se laisse séduire par Charles et se marie avec lui. Fascinée par ses lectures romantiques et nourrissant une vision exagérément lyrique de l'existence, elle rêve d’une vie qui correspondrait à ses désirs de jeune fille grâce à son mariage. En réalité, sa vie en couple est étroite et sans relief, son mari ne répond pas à ses attentes d'une vie pleine de péripéties et rythmée par la passion. Le bal chez le Marquis d'Andervilliers, à la Vaubyessard, où elle et son mari sont invités, marque un tournant

dialectique précédemment énoncée, c’est-à-dire la déploration de la misère et du désespoir antillais. Le narrateur-personnage retourne aux Antilles, sa terre natale, à la fin de ses études supérieures en métropole, et y découvre avec stupeur et dégoût la laideur d’un corps social aliéné, psychologiquement décomposé. A la fois frappé de douleur et de rancœur, le jeune intellectuel dresse alors le portrait spectral de la communauté antillaise qu’il ne reconnaît pas et à laquelle il ne peut s’identifier, ce

une réalité extérieure à la parole, et de l'autre côte de la difficulté de s'approcher d'une civilisation étrangère. Nous savons en particulier depuis l’échec du roman réaliste et naturaliste que ni la littérature ni les autres arts ne peuvent nous fournir de vues objectives de la réalité. La « manière absolue de voir les choses » dont parla Gustave Flaubert ne se réalisera jamais. Il existe donc un problème herméneutique dans la représentation de la réalité, même s’il s’agit de la réalité qui

qui est particulièrement long, ces déformations sont voulues par Ingres qui préfère sacrifier la vraisemblance pour la beauté, on remarque aussi tout un jeu de courbes comme dans les œuvres de Raphael. Ingres ne cherche pas à rendre compte de la réalité anatomique du nu mais soumet son modèle à sa manière. Ce dernier a beaucoup mit a l’honneur le nu féminin il a été notamment l’élève de David mais son style va un peu s’éloigner de néoclassicisme. Il a été marqué très tôt par le courant orientaliste

SIGNATURE Sujet : Préface de Pierre et Jean (1887). « Le réaliste, s’il est un artiste, cherchera, non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même. Les grands artistes sont ceux qui imposent à l’humanité leur illusion particulière. » Le sujet porté à l’étude est tiré de la préface du roman naturaliste (psycho-réaliste) Pierre et Jean de Guy de Maupassant publié en 1887, soit six ans avant

« ancrant » son âme dans le sol fixe des Idées. Comme les enfants n’ont pas atteint encore l’âge de raison, ils ne peuvent saisir directement les essences ; mais, en habituant les âmes à la mesure musicale, on leur donne une pré-notion des essences objectives et éternelles, on les prémunit donc contre les caprices de leur « subjectivité ». Ainsi, avant même que leur intelligence soit formée, ils sont préparés par la musique à découvrir la philosophie, laquelle est évidemment, avec les mathématiques et

fréquente beaucoup les guinguettes où l’on s’amuse sur les bords de Seine. Entre 1871 et 1880, il prépare sa carrière : il compose des poèmes ; mais surtout il subit l’influence de Flaubert, ami d’enfance de sa mère, qui l’entraine à observer la réalité avec des yeux neufs, il lui impose des exercices de style et lui fait des « remarques de pion ». A la même époque, Maupassant est reçu chez Zola : une nouvelle, Boule de Suif, parue en 1880dans Les Soirées de Médan lui vaut son premier succès et détermine