Lamartine La Foi

c’était la fleur préférée d’Aphrodite, la déesse de l’amour, de la beauté et du désir. Par sa grâce et sa beauté, elle est la fleur achevée de la Perfection ;elle est partout glorifiée et chantée par de nombreux poètes tels Ronsard, Lamartine pour ne citer que les plus connus. Evoquée pour exprimer un sentiment de beauté et tendresse et d’amour. Par sa forme et son parfum, elle est la fleur symbolique la plus utilisée en Occident bien qu’elle soit venue d’Asie mineure, de Chine et surtout

pourtant, une majorité de citoyens s'y sentent tout de même obligés. Pourquoi ? N'est-ce pas, tout simplement, par crainte de l'exclusion  - dans le souci de ne pas se mettre en marge de la société ? Cette attitude sociable, que Kant nomme la "bonne foi", même dictée par un intérêt bien compris, n'en est pas moins impérative. Respect de la parole donnée, respect de l'adhésion personnelle à l'Etat, elle constitue à proprement parler un devoir envers soi-même. Plusieurs champs de recherche s'ouvrent

n'y croyait pas") - émouvoir en faisant partager des émotions communes à travers un certains champ lexical. (ex : Pitié, compation dans L'Albatros - Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire) - exalter, l'auteur en étant inspiré par son angoisse, sa foi ou sa révolte, c'est une recherche du spirituelle, une élévation. (ex : L'angoisse du temps qui passe dans L'horloge - Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire)   Le poète peut être messager du divin, un médiateur du sacré et voyant privilégié car

désigne alors le terme «Orient» ? A l’époque le dictionnaire universel du XIX ème siècle de Pierre Larousse dit : «Rien de plus mal défini que la contrée à laquelle on applique ce nom». Le terme ne s’est réellement imposé qu’en 1835 sous la plume de Lamartine, il était auparavant toujours pluriel, les Orients qui pouvaient être remplacé par le levant. Ainsi dans les esprits de l’époque L’Orient recouvre les terres ottomanes , la Mésopotamie, les Balkans et certains y incluent même l’Italie et la Grèce

Octave, le narrateur, qui est sincèrement épris, découvre que sa maîtresse le trompe avec un de ses amis : pour lutter contre sa douleur, et après avoir blessé son rival dans un duel, il s’adonne à la débauche, où il perd la pureté de son âme et toute foi. À la mort de son père, il se ressaisit, et se retire à la campagne où il fait la connaissance de Brigitte Pierson, dont il devient amoureux. Elle est légèrement plus âgée que lui, délicate et austère ; il parvient à se faire aimer d'elle. L’idyllle

RELIGION MONOTHÉISTE « Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l'immensité du résultat sont trois mesures du génie de l'homme, qui osera comparer à Mahomet un grand homme quelconque de l'histoire moderne ? » Lamartine Voilà ce que disait le poète Lamartine, montrant ainsi l'influence considérable qu'a eu la naissance et l'expansion de l'Islam sur nos sociétés. Ces dernières années et, notamment depuis les évènements du 11 septembre 2010, on a beaucoup parlé de l'Islam qui a été

shakespearien. Enfin, il y a les circonstances historiques et politiques qui permettent l’éclosion du mouvement romantique en France. En effet, si la Révolution de 1789 a privé d’aucuns de l’enseignement des collèges (et pas des moins grands : Hugo, Lamartine, Vigny furent de ceux dont l’instruction fut décousue), cela ne leur fut que bénéfique, en leur permettant de se forger un goût plus personnel, moins soumis à la tradition classique. Plus encore, la chute de l’Empire entraînera avec elle la future

Il semble donc bien établi que les notions de poète et de professeur sont étroitement  liées, dans la mesure où le versificateur tente souvent de faire passer un message.   S’il se fait prophète et exprime un propos positif qui donne à ses lecteurs foi en  l’avenir, on peut affirmer qu’il constitue une source d’espérance pour le lecteur, que le  poète est bel et bien un professeur d’espérance…   ’autres poètes vouent leur talent à l’expression de leur détresse…  Les  romantiques sont loin d’enseigner l’espérance à leurs lecteurs

vermiceaux. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, Le priant de lui prêté Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle. 1 : la somme prêtée avec l’intérêt de l’emprunt « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’aout, foi d’animal, Intérêt et principal1 . » La fourmi n’est pas prêteuse C’est là son moindre défaut «Que faisiez-vous aux temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse -nuit et jour à tout venant Je chantais ne vous déplaise. -vous chantiez ? J’en

le calme, la simplicité, la noblesse, la clarté. Ce romantisme serait spécialement d'esprit médiéval, avec ses sentiments profondément religieux, son enthousiasme pour une société chevaleresque, son amour du miraculeux ; il se soucierait plutôt de foi, de sentiment et de fantaisie que de critique, de raison, de mesure ; il serait en un mot l'expression de tendances absolument opposées à celles des Anciens, raisonnables, moralistes et païens. L’homme est libre ; il ne dépend plus que de sa volonté