Lamour Maternel

anat@usal.es Résumé L’objectif de l’article que nous présentons est de proposer un cadre permettant d’appréhender la diversité des paramètres qui gouvernent l’accès à la compréhension d’un texte écrit dans une langue différente de la langue maternelle. Plusieurs types d’approches seront développés afin de hiérarchiser les différentes stratégies mises en œuvre par le lecteur non natif pour accéder à la compréhension d’un texte écrit en langue étrangère. Comme point de départ de notre démarche

initiale qui désigne l’ensemble des populations qui parle français, entièrement ou partiellement, dans le quotidien comme forme de communication. Provenant du mot « francophone » elle regroupe donc les gens qui parlent français, étant leur langue maternelle ou seconde langue courant. Puis, il y a la Francophonie avec une majuscule initiale qui désigne le regroupement des pays et des gouvernements qui utilisent le français comme langue de communication lors des échanges internationaux. On appelle ce

dont elle est un élément fondamental de la diversité culturelle. Le mot francophone signifie celui qui parle la langue française, et la Francophonie les espaces où l’on parle le français. Ce sont en fait les pays où le français est soit la langue maternelle, soit la langue officielle, soit la langue courante ou administrative. Alors, la Francophonie est un instrument de rapprochement des peuples. En utilisant cette langue, les peuples peuvent participer au métissage culturel, au partage, au rendez-vous

des habitues et des réflexes. Pour les cognitivistes, l’apprentissage qui se déroule à l’intérieur de l’individu doit être actif. Pour la compréhension orale, plusieurs formes linguistiques peuvent contribuer à transmettre le même message (langue maternelle, traduction, gestes, mimes, même l’erreur inévitable). Actuellement on assiste à une crise au niveau des méthodologies en didactique du FLE, d’où l’éclectisme actuel, puisqu’il n’y pas une méthodologie capable de répondre à toute les exigence

Question no 3 Premièrement, selon le recensement de 2011 pour Venise-en-Québec sur le site internet de statistique Canada à www.statcan.qc.ca, l’âge médian de la population est de 55,1. Sur 1545 habitants, 1350 habitants ont le français comme langue maternelle et 0 ont une langue africaine. Alors que, comme j’ai mentionné plus tôt, c’est surtout les jeunes entre environ 20 et 30 ans ou bien les gens ouvert aux autres cultures qui vont être attiré par le menu de Louw de l’Afrique du sud. D’après moi, Louw

connaissent le français ou l'anglais respectivement, seulement 19% et 17 % des wallons connaisent les neerlandais ou l'anglais. Il y a un fort retard entre nos 2 régions. Pour tout apprentissage, il est très important de maîtriser correctement sa langue maternelle, grammaire, conjugaison, syntaxe...Sans maitrise de cette dernière, il nous est difficile d'en maitriser une autre. Pourquoi apprendre une langue étrangère ? Parler avec les autres est la base de la communication. En effet, grâce à cela nous

Antony (92600)  2011-2012 : Stage de Boulanger/Pâtissiers Boulangerie d’Herblay (95220) 2011-2012 : Job d’été en Plomberie, techniciens sanitaire Entreprise LEMBLETIN, Guadeloupe (971) Langues Créole Guadeloupéen, Martiniquais, Haïtien (langue maternelle) : lu, écrit, parlé Anglais (notion) : lu, écrit, parlé Espagnol (notion) : lu, écrit, parlé Centres d’intérêtsMusique (Dance hall, Zouk, Compas), DEEDJAY, Cinéma (films d’actions, comiques), foot, Jujitsu. 2. Connaissance du secteur professionnel

Influence de la langue maternelle kabyle et arabe sur l’apprentissage de l’orthographe française Med Makhlouf, Denis Legros et Brigitte Marin Certaines des difficultés des élèves de langues maternelles arabe et berbère apprenant le français écrit peuvent être mises en relation avec des différences entre les systèmes linguistiques. Comparaison des trois systèmes linguistiques et effets de leurs divergences sur l’apprentissage de l’orthographe en français. Les innombrables difficultés auxquelles

l’origine dans le but de traduire et de conserver des textes en langue latine et grecque. Ces deux langues n’étant pas utilisées au quotidien, ces leçons plaçaient donc l’oral au second plan, les échanges se faisant presqu’uniquement dans la langue maternelle des apprenants. L’importance était donnée à la forme littéraire sur le sens des textes, même si celui-ci n’était pas totalement négligé. Par conséquent, cette méthodologie affichait une préférence pour la langue soutenue des auteurs littéraires

de péché mortel ? Une analyse sérieuse du système éducatif haïtien nous permettra de trouver les éléments néfastes pouvant justifier ce sujet. L’enseignement en Haïti s’organise autour de trois cycles : le cycle préscolaire, correspondant à la maternelle française, rassemble les enfants à partir de 3 ans et se répartit sur trois années. Le cycle fondamental, de la 1ère année à la 9ème année fondamentale, s’effectue en deux temps : les six premières années, qui correspondent au cycle primaire, aboutissent